Mes récits

Samedi 9 octobre 6 09 /10 /Oct 18:38

Début de l’histoire

 

 

Quelle bougeotte cette jeunesse. Elle  ne tient pas en place,

 

décrit-elle fidèlement, je dois l’admettre, l’impression que lui donne. Sans oublier de se renseigne un peu sur tout. Comment je m’y plais dans le coin. Comment je fais pour marcher sur mes hauts talons au jardin. Pourquoi je ne mets jamais de jeans

 

comme les autres filles de votre âge.

 

A quel point il est rare de trouver une si jeune femme qui est toujours bien coiffée. Sur le joli vernis de mes ongles. Si cela ne me gêne pas pour faire la vaisselle.

 

Et moi je déplace mon poids à chaque question d’une fesse sur l’autre, car j’ai vraiment très mal. Je me jure de ne plus recommencer à embêter mon homme qui est sous toutes ses facettes un être adorable. Avec des avis volontairement tranchés sur bon nombre de questions, certes, mais je sais que c’est lui, l’homme que j’ai cherché depuis mon adolescence. Il a ressenti mon besoin vital de discipline au quotidien et se charge de mon programme éducatif de rattrapage. Objectif fille modèle en tout circonstance.

 

En fait partie bien évidement un comportement irréprochable envers le voisinage et en particulier …

 

…envers la vielle dame d’en face. Une isabelle prévenue en vaut deux !

 

Me voila donc dans une situation délicate. Surtout quand la voisine prend visiblement beaucoup de plaisir à me questionner en long et en large. Avant, je l’aurais envoyée sur les rose. Vite fait, bien fait.

 

Pour montrer bonne conduite je réponds à ses questions avec le sourire forcé. Je sais que cela me donne une allure niaise, un peu attardée. C’est un effet secondaire d’une éducation hyper stricte au martinet qui commence à porter ses fruits. Visiblement il n’y a pas d’âge pour s’y faire. Je constate depuis quelque temps que me dérapages en public se font rares. La bonne mémoire de mon fessier emporte sur mes impulsions. Comme remarque mon homme :

 

Le martinet t’a rendue plus aimable envers tes prochains, isabelle.

 

Incontestablement. Je m’entends avouer :

 

Depuis que je vis avec mon homme je suis pomponnée dès sept heures du matin. Il a su me rendre matinale.

Se lever tôt est  une hygiène de vie très saine

 

, confirme notre voisine.

 

Votre mari respire le sérieux. Vous pouvez être fière de lui.

 

Certes, je suis fière de mon homme. Seulement mes pauvres fesses n’en peuvent plus sur ce banc si étroit et si dur. Il y a un petit soupir qui m’échappe, accompagné de gigotements en conséquence. La voisine n’est pas dupe.

 

On dirait, que vous avez encore mal au  postérieur, isabelle !

 

Elle me sort cette petite pique d’un air triomphant en mettant joyeusement l’accent sur le mot encore.

 

A suivre… Un dimanche, une promenade, une fessée devant les voisines 4 (Petit feuilleton fantaisie)

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : La fessée
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Jeudi 23 septembre 4 23 /09 /Sep 23:38

 

Début de l’histoire

 

Le martinet n’est pas un instrument particulièrement sonore. Il me semble impossible que la voisine puisse l’entendre. Même en se plaçant derrière la haie. Par contre Monsieur quand il trouve que mes abus dégénèrent trop, il recourt à des méthodes encore plus archaïques. C’est par sa main qu’il m’apprend comment marcher au bon pas. Inspiré par Johann Strauss Père qui composa la fameuse Marche de Radetzky, opus qui dure environs trois (très longues) minutes, il y trouve la bonne mesure pour remédier à ce qui lui fâche en moi.

 

Entrée en matière de vive allure, comme ce moreau de musique entrainante, il suit sa cadence sans s’essouffler. Et comme cette marche militaire est sensée de réveiller aussi les soldats au dernier rang, elle s’accompagne d’un niveau sonore qui est considérable. Largement de quoi pour attirer une voisine en manque de compagnie humaine et de distraction à la même occasion.

 

Quand je la croise plus tard, au passage du facteur, les jours d’une manuelle fessée matinale, toujours particulièrement cuisante, elle est d’une humeur exubérante. Depuis un bon moment, il lui arrive dans ce cas de m’inviter systématiquement à boire le café chez elle. C’est un rituel qui s’est installée après ma première correction en plein air.

 

Spectaculaire parce que ma faute était de taille et parce que Monsieur avait sous-estimé la résonnance en zone montagneuse.

 

Le facteur parti, la voisine m’a embarquée d’abord dans un bavardage de longue durée. De fil en aiguille, elle m’a parlé de l’importance de la lune rousse sur le comportement humain. Au début j’ai cru qu’elle se moquait de ma mésaventure qui n’a pas dû lui échapper. J’ai suivi son exposé d’une oreille distraite en me posant bientôt des questions sur l’exactitude de l’observation humaine. Quand enfin j’ai cru entendre quelques piques concernant les êtres têtus qui ne changent qu’avec la lune toute rouge. Alors j’ai commencé à me méfier sacrement de cette voisine qui prend un malin plaisir pour me déconcerter.

 

Elle poussa le vice de me proposer un café entre voisines de bonne entente et je me suis retrouvée dans son salon sur un canapé moelleux et réconfortant pour mon fessier encore tout chaud de son traitement de discipline. La première fois seulement.

 

Par la suite, je n’avais plus que droit à la cuisine. Chef-d’œuvre de mobilier et de vieilleries d’antan. La gentille vieille dame comme elle aime s’appeler, me réserve avec un sourire radieux une place sur un banc en chêne massif qui ne convient pas vraiment à des fesses en quête de récupération.

 

A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : La fessée
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Mercredi 22 septembre 3 22 /09 /Sep 22:37

Il fait un temps magnifique ce dimanche. Monsieur a eu la maudite idée d’inviter la voisine pour se joindre à notre ballade dominicale. De plus elle n’est pas venue seule. Sa sœur est de passage et souhaite se joindre à nous. Cette sœur reflète à mes yeux la caricature de la citadine. Outre son petit air hautain, elle a déjà profité pour nous exprimer généreusement son indulgence pour les mœurs de nos campagnes. C’est comme se promener au de  temps de non grands-parents quand le monde tournait encore rond. Quand le mari était encore le chef de la famille et surveillait étroitement son épouse.

 

Petit regard amusé, lancé à mon égard qui parle en long et en large de fort probables discussions entre sœurs. Discussions se portant sur moi, mon couple et nos « habitudes ». Sur les détails qu’un voisinage plus qu’attentif, arrive à espionner par ses yeux ou oreilles sur un jeune ménage.

 

Mon chéri et moi, nous vivons dans cette jolie maison à la campagne depuis quelques mois. Mon bonheur sera parfait s’il n’y avait pas la voisine. Je déteste cette femme. Elle est curieuse comme tout et semble passer sa journée à pister le moindre de mes pas. Et mes faux pas aussi par la même occasion.

 

Quand mon comportement laisse vraiment trop à désirer mon homme a pris l’habitude de me corriger par beau temps sur notre terrasse.

 

Rien de mieux qu’une bonne fessée en plein air pour remettre en place les idées d’une grande fille mal élevée.

 

Cul nu, cela va de soi. Nous sommes respectueux envers une longue tradition qui a livré d’excellents résultats sur d’autres « grandes filles », aussi récalcitrantes que moi.

 

Evidement, tradition oblige, il y a un martinet à la maison. La patine de ses lanières n’est pas due à une exposition prolongée au soleil qui rentre dès l’aube par les portes fenêtres de la cuisine, rejoignant ainsi notre martinet, suspendu à côté d’autres indispensable de la parfaite ménagère.

 

Non, la patine est due à un emploi fréquent sur la peau de mes fesses et il est facile à deviner la place du martinet dans le mécanisme de cause à effet qui est sensé chez nous de rendre justement la ménagère parfaite.

 

La voisine l’a vu un jour quand elle est passée sous prétexte de manquer une pincé de sel. Son regard s’est attardé, puis m’a valu un sourire de confirmation. Confirmation, car l’épaisse haie entre les deux terrains, ne laisse passer aucun regard indiscret sur la maison. Par contre je doute de son efficacité au niveau de sonorité. Monsieur ne veut rien entende à ce sujet. Il a adopté le langage de campagne.

 

Après tout, nous sommes chez nous, isabelle et les éventuels bavardages du voisinage ne nous regardent pas. Tu n’as qu’à te tenir au carreau si tu veux éviter tes punitions.

 

Logique implacable que j’approuve en troussant ma robe ou jupe selon les jours et en baissant ma culotte pour mon entretien avec mon coach perso, le martinet qui est toujours selon mes expériences de très bon conseil. Rien de mieux qu’un fessier brulant pour adopter des bonnes résolutions. Je me rends compte à quel point je suis en phase avec les points de vu de mon homme.

 

A suivre…

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : La fessée
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Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 11:06

 

Monsieur aime jouer à la poupée avec moi et il sait bien s’y prendre. Au fond je ne suis pas compliquée. Il suffit de me demander gentiment.

 

Il me regarde avec émerveillement dans ma jolie tenue de soubrette pendant que j’effectue mes taches ménagères.

 

J’ai pris les devants dans cette aventure. J’aimerais lui prouver que ses envies avec leurs multiples méandres, n’aient que peu de secret pour moi ; comme si je lisais dans son âme.

 

Puis, mes yeux légèrement baissés, exprimant une docilité parfaite et une moquerie perverse à la fois, je lui parle. Je n’ai pas besoin de changer le timbre de moi voix. Elle est parfaite en ce contexte, juste ce qu’il faut pour insinuer une employée de maison à l’écoute du moindre désir de son maître.

 

Au cas où Monsieur ne serait pas entièrement satisfait de mes prestations, je tiendrai mon fessier à son aimable disposition.

 

Mon culot le dépasse. Il oubli presque qu’il s’agit d’un jeu. Pour marquer son autorité il fait siffler la cravache dans l’air pour me prévenir.

 

Retourne-toi un peu isabelle. J’aimerais examiner ta tenue.. 

 

Je dois le troubler par mes apparences. Il semble chercher un prétexte pour me donner une première leçon. Souvent dans ce genre de jeux la couture des bas est le sujet le plus sensible. Il observe le trait noir sur mes jambes qui est d’une « droiture » irréprochable en alignement harmonieux avec mes talons aiguilles.

 

Cela l’intrigue.

 

Je t’ai dit que je ne veux pas des bas autofixants dans cette maison isabelle.

 

Il me croit vaincue. Je me penche bien avant, ma courte jupe et mes jupons remontent pour qu’il puisse voir les attaches de mes jarretelles.

 

Si Monsieur voudrait contrôler par lui-même.

 

Il me semble déçu. Il ne s’y connaît pas trop en trucs de filles. Il suffit d’enfiler un porte-jarretelles à six rubans et de choisir (parfois selon les modèles) ses bas une taille plus grande pour un résultat impeccable.

 

Pour ma robe de soubrette je suis restée bien sage. J’aime les tenues de vinyle de temps en temps pour provoquer.

 

Mais j’ai préféré pour ce dimanche une allure plus classique. Je voudrais me restreindre sur d’autres formes de provocation : par mes mots, mes gestes, mes mouvements et attitudes. Je trouve cela plus évocateur, plus sensuel, bon enfant quoi. La cybermaid ce serait plutôt pour une soirée animée.

 

Il me fait marcher dans la pièce. Il a un faible pour les hauts talons. Il me fait souvent des compliments sur ma façon de marcher.

 

Tu as une grâce naturelle isabelle qui me fait rêver.

 

Mon homme possède plein de qualités et j’en découvre tous les jours des nouvelles. Mais parfois il n’est pas dans le coup. La grâce naturelle, tu parles. Cela se travaille et se mérite durement. Pour arriver à ce résultat je me suis servie de Tolstoï, "Guerre et paix". Pas pour le contenu du livre, mais pour son poids. Je l’ai mis sur ma tête et je me suis entraînée à marcher sur des hauts talons en imitant des tops models quand j’étais adolescente.

 

Il m’arrive encore de refaire cet exercice, surtout quand le moral me manque. Des soucis se reflètent facilement sur l’allure générale. Ce n’est pas bon pour la vie sociale. Alors le matin avant d’aller au travail je m’entraîne un peu et personne ne se rend compte de rien. Mes états d’âme ne concernent que mon homme (et encore !) et moi. Je suis une adepte de la discipline en tout genre, de la vraie discipline domestique si j’ose dire. J’aime que Monsieur me surveille étroitement, qu’il soit exigeant avec moi, qu’il ne passe jamais sur mes fautes, qu’il me pousse quand il le faut.

 

Monsieur a fini son inspection ? Puis-je retourner à mes occupations ? J’ai le repas à préparer.

 

Il ne peut s’empêcher de soulever ma jupe et de m’appliquer quelques tapes sonores sur mes fesses. Il est très doué pour ce genre de manœuvre. J’ai bien su choisir l’homme qui s’occupe de mon postérieur. Quand nous nous sommes rencontrés il m’a séduite par son charme, son humeur, son expérience de la vie et son savoir.

 

Pour lui faire plaisir je ne me contente pas uniquement de lui préparer un repas raffiné. Cela va de soi quand je cuisine. Je voudrais aussi lui livrer en bon spectacle et bien sur de lui fournir des prétextes pour une bonne fessée. Cela est facile à improviser. Ceux qui me connaissent savent à quel point je suis maladroite. C’est plus fort que moi. Je n’y peux rien. Mes grands classiques sont les plats en sauces, les mousses et bien naturellement la crème fouettée. J’en mets toujours un peu partout. Monsieur le sait bien. Et comme par hasard il arrive toujours au coin cuisine quand je prépare la crème. Je sais ce qui va se passer. Il attend derrière moi, puis au bon moment il me passera un doigt sous ma jupe entre mes jambes. C’est peu original, mais cela marche à tous les coups. Je n’ai jamais pu m’habituer à ce geste. Je fais toujours des bonds comme si c’était la première fois.

 

Sachant mon homme derrière moi je me sens un peu tendue. C’est un peu comme l’attente d’une fessée. J’aime cette tension.

 

Il se met carrément à côté de moi. Je suis surprise, mais continue ma crème. Puis il fait un geste brusque et inattendu envers moi. Il ne fait jamais ce genre de chose. Il sait que je panique facilement dans une situation pareille. L’inévitable arrive, le bol me glisse de mes mains pour rebondir sur le plan de travail. Il y a même un peu de crème sur mon homme. Je veux saisir une éponge mais il retient ma main.

 

Tu n’as pas de langue isabelle ?

 

Si, si et je sais bien m’en servir. Je ne suis pas pressée quand je m’applique, lentement et avec sensualité je m’occupe des tâches. Mon jeu lui plaît, il prend plaisir et attend plus de ma part. Mais là je m’arrête et retourne à mes plats.  

 

Il est confus, déçu. Cela se voit facilement sur son visage.

 

Pourquoi tu t’arrêtes ? J’attends tes justifications isabelle.

 

Cela m’émoustille beaucoup de vous rendre furieux Monsieur.

 

Pour un instant il est vraiment en train de perdre ses moyens devant moi. Est-il fâché pour de bon ? Mon insolence, est-elle plus cinglante qu’un coup de cravache. Quand et comment me fera-t-il payer la note ?

 

Il décidé de punir mes fautes sur le champ. Je dois me présenter à genoux devant lui. Deux êtres humains face-à-face, un homme et une femme, qui se fixent des yeux.

 

Puis je remarque à nouveau cette complicité ludique dans ses expressions.

 

Il me fait lever et me guide vers le salon. Il me renverse sur ses genoux pour me préparer minutieusement à la correction. Cette cérémonie lui prend beaucoup de temps et il semble la savourer. Il adore quand je suis déguisée en paquet cadeau. Sa main remonte mes bas vers la jupe, occasionnant un léger grésillement de l’électricité statique. Il retrousse ma jupe entièrement. L’épais jupon blanc en dentelle lourde, légèrement plus long que la jupe manque de transparence, ne dévoile pas ma lingerie noire. Tout est dans le sous-entendu. À nouveau sa main glisse le long de la couture des bas, se faufile sous le tissu du jupon pour le relever doucement. Le haut de mes bas se dessine, l’attaches des jarretelles, des rubans noirs froncés et élastiques, tendus au maximum. La naissance de mes fesses passe en vue et mes globes ronds et charnus émergent. Je pense qu’il est ému à la vue du fessier dénudé de sa bonne, mis en valeur par les fines jarretelles. Il les dégrafe délicatement une par une. L’élastique se détend par un son caractéristique.

 

Pour dégager au mieux le chantier il range les rubans méticuleusement roulés sous mon porte-jarretelles. Ensuite il baisse mes bas en dessous de mes genoux, finissant ainsi la préparation. Pour vérifier mon état d’excitation il passe deux doigts entre mes jambes le long de mon intimité et de ma raie fessière.

 

Il commence à malaxer mes globes en pinçant tendrement la chair. Connaissant ma peau, petit à petit sa blancheur habituelle se transformera en un ravissant rose très clair. Et bientôt j’ai la confirmation.

 

 Voila qui est appétissant !

 

Il affectionne particulièrement pour la punition à venir une cravache en cuir rouge avec son beau manche tressé, sa tige courte avec un embout de la taille d’un demi paquet de cigarettes, épais mais pas trop rigide, causant un impacte singulièrement sonore sans gros dégâts apparents.

 

Puis il m'applique une claquante et percutante fessée sans se presser. Dans la pièce règne un silence total, la cravache siffle dans l’air avant de s’abattre, suivi d’un impacte bruyant, rougissant de plus en plus mon malheureux postérieur. Pour rajouter du piment je gigote autant que je peux, sachant que mes parties intimes parfaitement lisses, aussi glabres que mes fesses, se dévoileront. J’essaye de me débattre, mais il me tient fermement. Ma résistance s’estompe vite. Je respire fortement, commence à pousser des soupirs qui dégénèrent vite en cris de volupté. L'élan de mon homme s’estompe, il arrête la punition. Nous somme essoufflés tout les deux. Nous n’attendons que nos respirations mutuelles.

 

Il me garde sur ses genoux en me caressant les fesses avant de m’agrafer les jarretelles. Ensuite il me met debout devant ma lui.

 

Soulève ta jupe ma chérie.

 

Je lui expose mon intimité encore luisante par les secrétions corporelles.

 

 Je constate que cette correction t’a fait beaucoup de bien, isabelle.

 

Cela nous a fait du bien à tout les deux. Tu as une force inouïe. J’ai les fesses en feu. Je ne pense pas que je puisse m’asseoir avant demain matin. Mais j’ai adoré comme tu as pu t’apercevoir.

 

Voudrais-tu je que je prépare la table ou préfères-tu que nous passerions dans la chambre ?

 

Pour l’instant ni l’un, ni l’autre isabelle. C’est moi qui s’occuperai de la table tandis que tu iras sagement au coin en gardant ta jupe et ton jupon relevée que je puisse me réjouir de tes belles fesses rouges.

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : La fessée
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Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 09:51

 

Au printemps en Allemagne dans la région du Bas-Rhin fleurissent les fêtes foraines. D’ici, il est un peu difficile pour imaginer l’impacte de ce genre d’amusement sur mes compatriotes et surtout l’affluence du public. Il n’est pas rare que le nombre de visiteurs le week-end dépasse quelques centaines de milliers de personnes.

 

Il est très difficile d’avancer au milieu de cette foule pour faire le tour. Je n’aime pas les manèges à grande sensation. J’adore plutôt les manèges d’antan avec des belles boiseries et ses chevaux blancs. Une course hippique à la Mary Poppins en robe blanche sur un cheval de bois me fait encore rêver aujourd’hui.

 

Alors quand nous sommes à la bonne saison dans notre pied à terre en Allemagne (ce qui n’arrive quasiment plus), je ne rate pour rien au monde la fameuse « Kirmes de Düsseldorf ». Mon souvenir que j’aimerais raconter est lié à une de ces visites.

 

Ce-jour là avant de partir j’avais été particulièrement odieuse avec mon compagnon. Cela ne m’arrive pas souvent, mais tout le monde fait des petits écarts de conduite je pense.

 

Mon compagnon ne me punit pas pour un oui ou un non. C’est un homme juste qui ne se laisse pas emporter par ses émotions. Plus que j’abuse, plus il devient calme pour enfin me rappeler à l’ordre.

Il décida donc, vu mon insolence injustifiée, d’une punition de taille. Le Rohrstock, nom allemand pour la canne, est réservée pour des grandes occasions avec la consigne pour moi de visiter le coin pour « Kleine Mâdchen » (petites filles) avant.

 

Je redoute particulièrement cet instrument qui n’a rien d’érotique pour moi. Je suis corrigée « auf de nackten Arsch » (cul nue). Je devais donc me dévêtir en partie, en pliant soigneusement mes habits avant de tendre la canne à Monsieur. En gardant seulement mes bas, mon porte-jarretelles, ainsi que mes chaussures.

 

Ce qui s’en suit n’a rien de burlesque. Nous ne sommes pas dans un amusement, mais dans une véritable correction qui a pour but d’améliorer mes comportements.

 

C’est le Rohrstock qui me siffle la marche !

 

Bref, ça fait très mal et je suis « sage comme une image » pendant des jours après un rendez-vous avec la canne.

 

Il en va de même que la mémoire de mon postérieur n’est pas pour rien dans cette affaire et je me sers d’un coussin pour m’asseoir pendant un ou deux jours. Heureusement à force d’éducation anglaise j’ai la peau dure.

 

Une fois la punition finie, nous reprenons le cours de la journée. Mis à part le coin pour aérer mon fessier brûlant, il est rare que j’aie droit à une punition supplémentaire. Nous passons l’éponge ou plutôt monsieur me passe de la crème apaisante.

 

Ce jour-là donc on sortait visiter la fête foraine. J’avais particulièrement mal aux fesses, mais je n’ai pu m’empêcher de faire un tour sur un manège  à la Marie Poppins. Erreur fatale. Mon cheval avait une selle très dure, puis en accomplissant un mouvement de haut en bas et de bas en haut, j’ai dégusté un calvaire mémorable. Je n’ai jamais trouvé un tel amusement aussi long, moi qui hâte d’habitude que cela dure, dure…

 

Mon compagnon sait se montrer ferme avec moi quand il le faut. J’aime particulièrement ce trait de son caractère qui ne se laisse pas amadouer par mes ruses coquines, accès de colères et refus d’obéir à me plier littéralement à la sentence.

 

Mais il a bon cœur. Touché par ma double punition, il m’a offert un « Lebkuchenherz », cœur en pain d’épice qui se porte autour du coup, décoré de sucre glacé avec l’inscription :

 

 Je t’aime

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits
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Mercredi 29 avril 3 29 /04 /Avr 17:47


Suite de : Train de nuit (récit d’un fantasme) 2

 

Une fois ma fessée finie Monsieur me garde sur ses cuisses. Il change de métier. L’éducateur passionné se transforme en explorateur. Avec le bout de ses doigts il effleure un terrain préparé par ses soins. C’est un homme qui se tient aux grandes lignes. Celles qui corrigent les défauts de la nature et celle qui détermine la symétrie de l’anatomie féminine en séparant les globes.

 

Le porte-jarretelles est le vêtement le plus avantageux pour une femme que je connaisse. Par sa coupe et ses lignes droites il donne une illusion agréablement amincissante au fessier. Il délimite le terrain pour la fessée en indiquant clairement quelle partie se prête à cette activité et quelle partie s’apparente au déplaisir. Il désigne la bonne hauteur pour remonter une robe, mettant ainsi la partie charnue au mieux en valeur. Il est également pratique pour fixer une robe ou une jupe efficacement à la bonne hauteur. Avant d’envoyer la dame au coin pour que rien de la surface traitée n’échappe au regard du vaillant créateur de déclinaisons de rouges. C’est la pause de l’artiste, sa récrée, l’enivrement de ce qu’il a pu faire avec ses mains. Moment d’autocritique aussi.

 

J’aurais dû…

 

La prochaine fois je ferai…

 

Puis ce petit Euréka qui amène à la célèbre phrase que je n’aime pas entendre :

 

Je n’ai pas encore fini avec toi, isabelle. Nous reprenons après le coin. Il reste des défauts à corriger.

 

Ah ces hommes. Ca sait bien prendre la tête d’une dame.

 

Espèce d’obsédé !

 

Dans le compartiment sombre, dans ce train qui traverse la nuit, je suis toujours allongée sur les cuisses de Monsieur. Je suis sure qu’il partage avec moi en ce moment  l’érotisme des esthètes, l’érotisme du porte-jarretelles. Lui il a la vue, moi je n’ai que mon imagination et la brûlure d’un acte encore tout frais.

 

Le mode d’émoustillement aussi est bien différent. Le mien se voit par la luisance d’un entrejambe. Le sien se sent au travers de son pantalon. Moment de grande intimité entre un homme et une femme. Instant d’hésitation chez Monsieur qui songe à la suite des festivités. Instant d’attente chez moi. Volupté de la passivité qui coïncide cette fois-ci avec féminité. Tous les ingrédients du rêve de la féminité sont présents devant mon homme.  Ses ingrédients à lui qui font son bonheur. Mes talons aiguille qui forment une ligne continue  avec la couture de mes bas. Comme le rail d’un train elle se perd sous une culotte baissée pour réapparaître de l’autre côte. Fil d’Ariane version moderne qui se prolongent dans mes jarretelles. Le labyrinthe qui occupe mon héros concerne le plaisir féminin. Il se laisse guider par moi. Il y a proposition volontaire d’une partie bien délimitée de ma nudité pour indiquer au grand garçon les zones les plus sensibles.

 

Je sens sa main qui m’invite à une danse sensuelle. Mes cuisses s’ouvrent tel une « belle de nuit » pour dévoiler ce qui lie femmes et fleurs. Personne en regardant une fleur ouverte se pose la question de l’obscénité. Rares sont les hommes qui détournent leur regard de l’intimité exposée d’une femme. Les doigts de Monsieur étalent la rosée. Plaisir de glisse, plaisir d’y goûter.

 

Mais Monsieur n’entend pas de s’attarder sur les conventions. Son doigt prend un autre chemin. Celui de d’une sexualité qui explorer toutes les possibilités du plaisir. Cette nuit là, il se détourne de la grande porte pour une autre. Plus discrète, plus petite, plus étroite. Il a goûté mon parfum intime. Son doigt est salivé et se glisse doucement dans les coulisses. C’est toujours étrange comme sensation, mais bien agréable tout compte fait. Je pousse un long soupir de consentement. 

 

Sa main s éloigne. Elle cherche quelque chose. Soudainement le son d’une vibration. Puis un objet enduit de graisse, lisse et métallique qui tourne autour de l’endroit de la convoitise. Les vibrations se répercutent sur mon petit muscle. Je me sens détendue. Prête à me laisser faire. J’ai appris avec Monsieur les secrets de cet endroit. Lui seul a su réveiller ma sensibilité. En prenant du temps et en allant en douceur à mon rythme. 

                                         

J’ai aimé sa façon si personnelle et si décidée d’imposer la contraception naturelle pendant les jours critiques du mois dans notre couple. Il n’est pas du style de se reposer en ce domaine sur la femme. Il participe activement. Propose des solutions concrètes.

 

L’endroit ne dévoile pas ses délices sans entraînement. Je suis encore au début. J’aime quand il me prépare pour mes exercices. Quand je me penche devant lui, les jambes écartées pour un contrôle rigoureux de l’hygiène. Quand il décide de me donner un lavement, acte un peu gênant au début, mais qui devient vite une habitude plaisante quand c’est effectué avec douceur. J’adore quand il me prend la température pour déterminer les jours fertiles. Quand il me passe une crème très grasse pour un massage en profondeur. Quand il me met un suppositoire parce qu’il me trouve crispée. Je sens qu’il s’occupe bien de moi. Il est à l’écoute de mon plaisir et il me fait découvrir d’autres.

 

 

Le objet vibrant fait des miracles et mes soupirs se suivent. Je ne devine pas encore sa forme. Il me semble conique. Mon idée s’arrête là.

Petit à petit cela se concrétise, se glisse en moi, puis trouve sa place.

 

Ca te va bien, isabelle. Je te trouve très  élégante !

 

La vibration disparaît. Quel dommage. Monsieur aime les petites frustrations sur le chemin. Mais je sais qu’il me comblera plus tard. Je me lève lentement et je profite pour regarder mon derrière dans la vitre du compartiment. Je vois un petit rond en métal sculpté qui cache pour rendre l’endroit autrement attractif. C’est vrai, moi aussi je me trouve une certaine élégance inhabituelle.

 

On va bientôt arriver, isabelle ! J’attends de toi un comportement irréprochable pour ce week-end. Surtout pas de querelles entre filles.

 

Et le machin dans …

 

Il restera en place jusqu’à ce que je décide de  l’enlever. Fais ma confiance.

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits
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Lundi 27 avril 1 27 /04 /Avr 14:29

 

Une femme bien éduquée est dépourvue de poils, lisse dans le moindre coin et que ça brille et sente bon. Puis elle ne porte jamais de collants.

 

Voici ce que j’appelle parler en mâle. Ces exigences me font toujours l’effet. Surtout parce qu’elles sont irrationnelles et ne visent que son excitation. Il me donne le moyen de la diriger. C’est moi qui commande ce qui se cache sous son caleçon. Quand je me présente devant lui pour un contrôle de mon épilation je suis salue par un garde à vous. Il en est de même quand je fais le mannequin pour des nouveaux achats de lingerie.

 

J’ai jamais entendu de sa bouche des exigences bien réelles : style une femme bien éduquée devrait s’occuper de son mari, de son foyer et des ses enfants etc.

J’adore qu’il soit exigeant avec moi. Et il sait l’être avec un sérieux déconcertant. J’adore quand il consacre une journée entière à mon éducation. Quand nous révisions le programme en évaluant mes progrès. Je n’ai qu’un seul souhait : lui obéir. Car autant qu’il sait punir quand c’est nécessaire, autant il sait récompenser l’obéissance à sa façon. Bref il fait très bien l’amour.

 

Veux-tu que je repasse chez une esthéticienne ou tu t’en chargeras toi, mon chéri ? 

 

T’as pas honte de partir en vacances sans être impeccable de partout, isabelle ?

 

Bien entendu que je suis impeccable de partout. Je suis passée ce matin chez mon esthéticienne en laissant une toute fine bande de poils courts au dessus de mon pubis. Entretenus comme un gazon anglais.  Manière que Monsieur se sente utile. A lui de mettre la touche finale. Il n’en sait rien encore. Je compte lui faire la surprise.

 

Mais la surprise va être de mon côté dans ce train de nuit. Il cherche un prétexte pour une fessée coquine. Et quelques minutes plus tard je me trouve allongée sur ses cuisses en faisant du pédalo. Sa main et la peau de mes fesses font bonne équipe. L’élégante dame que je suis devenue est rappelée qui porte le pantalon dans le couple et qui doit baisser sa culotte à chaque fois que Monsieur l’exige. Que ce soit pour son bon plaisir ou pour une punition.

 

Je ne suis pas une grande adepte de la fessée coquine, mais j’aime la perspective d’une suite de plus érotique.

 

Sa main résonne sur mes fesses. Monsieur ne fait pas dans le semblant. Il me fesse et il veut que cela s’entende de loin. Le risque que quelqu’un puisse passer augmente son excitation. Il marque son terrain avec méthode. Il ne me relâchera pas avant que je fasse partie de la tribu de peaux rouges. Celle qui est rouge foncée. Cela va de soi. Et surtout celle qui est fière de sa couleur. J’ai pris l’habitude de devoir me promener après ma fessée jusqu’à l’extinction du feu le derrière en air. La fraîcheur est loin d’être désagréable. Je trouve que la fessée comme correction n’est pas suffisante quand on veut éduquer une dame adulte. Il faut qu’elle fasse partie d’une longue mise en scène qui permet de bien méditer sur ses méfaits. Qu’elle amène à une honte pesante et bienfaitrice. Qu’elle se distingue de la fessée coquine qui s’intègre sans la moindre gêne dans un cycle de sexualité bien complète.

 

Cette nuit Monsieur est particulièrement en forme. Les trains modernes sont silencieux. La fessée d’antan par contre garde tout ses attraits. C’est comme les bas et le porte-jarretelles. Peu importe l’époque et les conventions sociales ça ne perds pas de son charme. Et ça va si bien de paire. On dirait que le porte-jarretelles est conçu aussi pour la fessée. C’est le vêtement le plus pratique pour une femme coquine. C’est très joli à voir et séduit par la disponibilité aux assauts de son homme que la dame affiche sans complexe. L’épilation intégrale accentue encore plus le désir. C’est montrer clairement que le sexe est à l’honneur dans le couple.  Qu’il ne se vit pas en cachette, mais au grand jour.

 

A suivre

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits
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Dimanche 26 avril 7 26 /04 /Avr 11:55

Nous sommes au milieu de la nuit. Dans un train.  Seuls dans le compartiment. La lumière est tamisée. Monsieur me parle de son adolescence. De ses premiers émois envers les filles. De ses fantasmes. La nuit lui donne un autre visage. Surtout quand la nostalgie s’y ajoute. Je vois devant moi le timide ado qu’il a dû être. Si différent de l’homme de 40 ans, mature et sur de lui que j’ai rencontré quelques mois auparavant.

 

Il me parle de la disparition des bas et gaines survenue au début des années 70.

 

  … le porte-jarretelles était réservé aux femmes élégantes…

 

J’ai envie de rigoler de l’air involontairement tragique de ses mots. Ca dû être un choc de taille pour pas mal d’hommes de sa génération qui ont découverts tout petit ce genre de vêtement sous les jupes des leurs mamans. En rêvant, une fois devenus grands comme leur papa de s’amuser avec. Puis terrible coup du destin. La mode change pour faire place au collant. Déjà quand on ne connaît rien aux filles on est maladroit. Mais si de plus il faut se battre avec un collant, les endroits stratégiques prennent la signification d’une forteresse.

 

Mon chou adoré a l’air si triste tout d’un coup. Ca me fait mal au cœur. Je profite pour relever ma robe et réajuster mes jarretelles. Il adore me regarder quand j’accomplis ce petit geste. En plus ça délie sa langue.

 

Ensuit un discours sur l’horrible collant. Des petites mésaventures dues à ce petit voile qui rend l’objet de la convoitise inaccessible. Et même on y arrivant au bout, le prochain obstacle se présente : la culotte en coton blanc, style très mamie. Monsieur n’est pas vraiment un nostalgique des émois scolaires.

 

Quand je range ma robe et je croise mes jambes, il se tait pendant un moment. Il aime écouter les son si caractéristique qui trahit des vraies bas. Nous sommes en voyage et j’ai mis le grand jeu. La faible lumière du compartiment se miroite dans mes escarpins noirs, d’un cuir parfaitement lisse et verni. Un de mes hauts talons pointe légèrement vers lui.

 

Il me parle de sa découverte de journaux pour hommes. Une image s’est imprégnée dans sa mémoire. Une magnifique fille brune à toison abondante qui semblait s’apprêter à un rasage pubien. Malheureusement il manque la suite. L’image l’obsède. Commence une laborieuse recherche au travers des étalages de magasins de journaux. Vouée à la quête du saint  graal.  Existe-t-elle, une telle fille ? Il est difficile de demander conseil aux copains. Heureusement la photo d’art vient au secours. Bien moins prude que les journaux qui se battent avec la censure qui défend l’absence de poils. 

 

Entre la découverte d’une photo qui met ce fantasme en scène (hein oui au milieu des années 70 l’épilation intégrale représente un fantasme) et la mise en œuvre avec une femme en chair et en os, il faut qu’il attende ses 22 ans. Hyper compliqué ce temps-là.

J’attends qu’il aborde la fessée. Il a assisté à la fessée d’une petite voisine plus âgée que lui à la fin de années 60. Non pas directement. Cela s’est passé dans la pièce à côte. Fallait se contenter du bruit que cause un tel traitement par application d’une main ferme sur des hémisphères nus. Ca marque encore plus qu’une image et fait travailler l’imagination. Puis quand elle n’arrive pas à se projeter dans la réalité, il y a des fils qui se brodent autour. Monsieur découvre sa vocation d’éducateur. Il enseignera quelques années plus tard à ses copines comment devenir une femme élégante. En adoptant la méthode anglaise il fait de véritables miracles.

 

Je dois dire que la méthode anglaise marque quand elle s’applique à l’âge adulte sur un terrain favorable. Je n’imagine pas le moindre mot à travers avec Monsieur à table. Pas de querelles entre femmes. Aucune de ses ex a dû échapper au martinet à côté de l’assiette de monsieur. Objet qui se rajoutait avec autant d’évidence que le couteau et la fourchette et qui risquait de servir à tout moment au cas où l’on ne se tienne pas bien. Tant pour la posture, tant pour la manière de manger, tant pour la conversation.

 

Je vais avoir la chance ce week-end de visiter avec Monsieur une de ses copines de jeunesse que je connais déjà un peu. Elle aussi est une adepte de la DD de longue date. C’est une femme très chouette, sensiblement du même âge que mon homme. Nous prévoyons un week-end coquin à trois, basé sur la fessée éducative.

 

Ca me donne un étrangement pressentiment de repas en famille et des conversation surprenantes en tête à tête entre filles pour échanger des souvenirs cuisants. Il me tarde l’arrivée.

 

A suivre

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits
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Vendredi 24 avril 5 24 /04 /Avr 11:36


Suite de : Fessée artistique (récit d’un fantasme) 5

 

La réalité me rejoint. Monsieur a tiré le rideau. Je suis nue devant lui et il devine sans mal dans quel univers j’ai navigué. Il saisi instantanément que je suis prête à passer à une autre expérience.

 

Il me montre la canne qui jusque là ne faisait que partie de mes rêves. Ce long bout de bois auquel nous attachons tout les deux une telle valeur érotique qui nous fait brûler les étapes.

 

A la vue de l’instrument, en le touchant, en le claquant timidement contre ma peau, j’essaye de me familiariser avec. Je comprends vite que la canne n’est pas un jouet, mais un objet redoutable.

 

La peur s’empare de moi. Je n’ai aucune envie de la cacher devant mon compagnon. L’instant n’est pas propice aux mots. Le dialogue se fait par les regards.

C’est là où tout va se décider, où le monde qui nous entoure perd son importance.

 

Des questions se multiplient dans mon esprit.

 

Mon homme, aurait-t-il la force d’aller au bout de mes désirs ?

 

Aurait-il peur de me faire trop mal et se laisserait-il vaincre par son humanisme qui est contradictoire à notre jeu ?

 

Serait-il capable de m’amener à mes limites sans dépasser le seuil qui transformerait la fessée très sévère en torture ?

 

A ce moment, il n’y plus question d’excitation basée sur la honte, l’idée de punition, de discipline conjugale et d’autres concepts de ce style. L’acte de la fessée devient une quête qui ne concerne plus que ma résistance à la douleur tandis que mon homme éprouve tout le trouble excitant que cette mise en scène peut lui procurer.

 

Dans l’acte même l’univers d’émotions diverge entre lui et moi.

 

Maîtrisera-t-il son excitation pour éviter un lassé aller que je n’arrête pas à stimuler par mon comportement et par mon acceptation  de la situation ?

 

Pensées peu romantiques, difficile à expliquer à son homme, quand on est encore au début d’une relation. Peur de ma part de gâcher son plaisir, de jeter un ombre sur une complicité naissante.

 

Me voilà, penchée sur la table du salon. J’ai reçu un premier coup, annoncé par un sifflement caractéristique, un impacte davantage surprenant que douloureux pendant une fraction de seconde. Puis ma colonne vertébrale transmet l’information au cerveau. Mon corps réagit par la douleur. Elle est intense.

 

Dans cette expérience le temps se structure autrement que la vie quotidienne. Les secondes entre les coups se transforment en éternité et pendant la cérémonie toute pensée s’estompe. Je ne suis que corps, capable d’éprouver des sensations intenses. Une séance de fessée n’est jamais un déroulement temporaire pour moi, elle n’est que l’instant, l’angoisse d’un perpétuel imprévu. Un effacement de toute certitude, reflet exact de la vie tel que l’on n’aime pas la voir.

 

La souffrance détruit les limites de mes expériences antérieures, l’exquis et le douloureux se touchent et se confondent.

 

La ritualisation par les coups qui tombent dans des intervalles réguliers me prépare à un instant auquel je ne peux et ne veux pas échapper :

 

L’extase, si différente de l’orgasme.

 

Mon monde d’intérieur et le monde d’extérieur ne font plus qu’un. Ils ne se rencontrent plus sur la peau de mes fesses, ils fusionnent et me mettent hors de moi.

 

Je ressens l’intensité de mon vécu qui m’amène directement devant l’énigme de mon existence :

 

Le mystère de la jouissance humaine

 

La canne n’est qu’un moyen comme un autre pour accéder à ce but. Les marques vont persister sûrement pendant quelques jours.

 

Elles exprimeront toute ma fierté de mon passage à l’acte.

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits
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Jeudi 23 avril 4 23 /04 /Avr 21:30

Suite de : Fessée artistique (récit d’un fantasme) 4

 

Les coups se succèdent. Bien entendu ils sont imaginaires et je ne saurais donc pas décrire la sensation.

 

En réalité je suis seule. Nue dans un vestiaire dépourvu de complices en m’adonnant à un passe temps agréable que je pratique d’habitude presque exclusivement dans ma baignoire, sauf –bien sur- si mon compagnon me demande de lui monter « comment font les filles en cachette ». Avec entrain et musique accompagnante à forte sonorité. Ce qui était au début un jeu pour faire plaisir, est devenue un automatisme agréable. J’ai la réputation d’être très bruyante et Monsieur a déjà récolté à maintes reprises les félicitations des hommes ou femmes, involontairement témoins de nos ébats. Ca booste bien son ego et je suis heureuse pour mon « chouchou » adoré.

 

Après chaque nouveau coup je trémousse sur la brûlure.

Je m’y plais à imaginer des marques caractérisées avec des belles bouffissures qui transforment la peau de mon postérieur dans une mer de vagues successives. Que pense Monsieur en ce moment ?

 

Arrive-je à l’exciter par mon attitude. L’attire-je en tant qu’objet de ses fantasmes ? Aime-t-il que je m’oppose au sens commun et politiquement correct qui n’admet pas encore que quelqu’un se comporte selon ses penchants et pulsions ?

 

Oui, je suis la complice des pulsions et envies de mon homme, une tentation puissante qui déchaîne son imagination. En face de moi ses inhibitions envers des penchants secrets s’évaporent comme par enchantement car il n’y a aucun danger pour céder à la tentation. C’est la complicité dans une de ses plus belles formes.

 

Le cannage fini, j’ai le droit de me frotter mes fesses.

 

« J’aimerais bien voir le fessier de cette petite ! »

 

« Elle a eu une belle fête. Je pense qu’elle est en train de ses frotter son derrière bien en feu. »

 

Les commentaires me stimulent beaucoup. Pour moi il n’y a pas que les sensations physiques qui se drapent de l’excitant. Dans mon imagination c’est moi qui prévois les réactions des autre pour me combler dans mes contradictions personnelles qui me sont nécessaire à ma jouissance.

 

Mes fantasmes sont une véritable alternative à la réalité car dans cette dernière rien n’est prévisible. Je ne suis nullement maître de la situation et le charme de l’improvisation est sûrement un stimulus encore plus fort qui repousse mes limites dangereusement.

 

L’ambivalence entre honte et excitation m’amène à réagir fortement aux humiliations, si proche de l’humilité, cette vertu ventée par l’église et qui préconise un comportement qui devrait résulter du sentiment où plutôt de la conscience de faiblesse  et d’infériorité (envers Dieu bien sur).

 

Se « shouter » à la honte peut devenir un jeu de choix. Plus que j’ai honte, plus je suis excitée et c’est mon compagnon qui dose ma honte et mon excitation. C’est lui qui décide de m’apaiser par une jouissance. Tout est dans sa main omnipuissante à cause de ma volonté de me soumettre à lui.

 

Entre ses mains je deviens un être malléable. J’adore passer pour ce que personne ne veut être : immature, lubrique, perverse, stupide, fainéante, sale et j’en passe. 

 

Tant que tout cela ne reste qu’un jeu, le danger est moindre, mais le risque d’une réelle dépendance, de plus en plus profond, guette les participants.

 

Rideau !

 

A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits
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