Jeudi 16 juillet 4 16 /07 /Juil 21:25

Voici quelques définitions de la perversion et des petits trucs autours, trouvés dans la littérature. Sans commentaire.

La disposition à la perversion est la disposition originelle de la pulsion sexuelle

Perversion : philo de la jouissance.

Pervers : identifié la différence entre homme et femme, mais nie la différence sexuelle

La perversion est le négatif de la névrose.

Etymologiquement, pervertere indique tout simplement un mouvement de retournement et de renversement; pourtant, n'importe quel dictionnaire nous informe qu'il s'agit toujours d'un détournement vers le « mal ». Il est mal de ne pas faire l'amour comme tout le monde.

La perversion n'est rien d'autre qu'une route différente (dé-via) pour atteindre le même but que la sexualité dite normale (orgasme).

La « solution » perverse de la sexualité humaine est bel et bien une tentative (mais parmi d'autres visées) pour contourner l'angoisse de castration et maintenir, sous le couvert de l'acte, les liens incestueux de la sexualité infantile.

La mère interne, idéalisée et intacte dans l’inconscient, joue un rôle essentiel dans l'imaginaire de tous ceux qui créent des perversions.

La conception freudienne pose la sexualité humaine comme « pervertie » dans son fond, et cela dans la perspective du concept d'étayage, c'est-à-dire le gain de plaisir que l'enfant tire de l'accomplissement d'autres fonctions, notamment des pulsions d'autoconservation.

Un enfant destiné â une solution perverse de la sexualité a rarement connu dans l'enfance la masturbation normale.

Lacan faisait du mal au sens sadien un équivalent du bien au sens kantien pour montrer que la structure perverse se caractérise par la volonté du sujet de se transformer en objet de jouissance offert à dieu et tournant la loi en dérision, et par un désir inconscient de s’annuler dans le mal absolu et dans l’anéantissement de soi.
La perversion sort ainsi de la perversion sexuelle

On ne peut définir un être par un acte, démarche forcément artificielle qui nous oblige à laisser dans l'ombre tout le reste de la personnalité.

La sexualité adulte, non névrotique et non perverse, est néanmoins profondément polymorphe.

Par isabelle183 - Publié dans : Réflexions autour de la fessée
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Mercredi 15 juillet 3 15 /07 /Juil 12:45

Il est assez significatif pour moi que le ni le « Larousse référence électronique », ni le « Robert » tiennent compte de cette évolution car il ne répertorient même pas le mot paraphilie.

 

Je reproduirai donc ici les deux critères dont le DSM IV qualifie le masochisme sexuel pathogène (maladif).

 

1) Présence de fantaisies imaginatives sexuellement excitantes, d’impulsions sexuelle, ou de comportements, survenant de façon répétée et intense, pendant une période d’au moins 6 mois, impliquant des actes (réels, non simulés), dans lesquels la souffrance psychologique ou physique de la victime (y compris son humiliation) déclenche une excitation sexuelle chez le sujet.

 

 

2) Les fantaisies, impulsions sexuelles, ou comportements sont à l’origine d’une souffrance cliniquement significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.

 

Il en ressort donc clairement que seul la souffrance et/ou la dégradation de la vie quotidienne crée la pathologie et non la présence, ni la pratique du fantasme.

 

Avec d’autres mots « la perversion » n’est pas une maladie, ni une dégénérescence, mais peut être la cause d’une maladie.

 

J’aimerais finir ce post par un simple constat. Ce n’est pas la médicine qui détermine la perversion d’un fantasme, mais la société et les mœurs en vigueur. Quand elles évoluent la médicine en tient compte en rayant tout simplement l’ancienne pathologie de ces registres. Comme s’il n’y avait plus par exemple des personnes homosexuelles souffrant encore de leur orientation sexuelle et ceci malgré des efforts considérables de la société et de la législation.

 

Ce n’est pas une orientation sexuelle qui rend un être humain malade, mais sa propre acceptation de sa particularité.

 

Une distinction tout de même : Certaines fantasmes sexuels sont des graves dangers pour autrui. Je ne saurais apprécier si un violeur par exemple soit un malade ou un simple criminel. Pour ce genre de choses je fais confiance aux autorités compétentes sans rentrer dans le débat. Mon truc c’est la fessée consensuelle et si une personne s’amuserait à me fesser contre mon gré je ferais tout simplement appel à la justice.

Par isabelle183 - Publié dans : Réflexions autour de la fessée
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Mardi 14 juillet 2 14 /07 /Juil 20:51

La question du rapport entre fessée et perversion revient assez souvent quand je parle de mon fantasme avec des personnes adeptes ou non.

 

J’aimerais donc éclaircir un peu ce sujet délicat.

 

La question de la fessée fut abordée par Freud à maintes reprises. Son article « Un enfant est battue » parait dans le livre  « Névrose, psychose et perversion » avec le sous titre : « Contribution à la genèse des perversions sexuelles ». Contrairement aux apparences, cet article traite le fantasme de la fessée chez l’adulte.

 

Sa position semble au premier coup d’œil bien claire vu le sous-titre.

 

Néanmoins elle se distingue nettement de celle de Krafft-Ebing qui considère la perversion comme une forme de dégénérescence, tandis que Freud la considère comme une fixation à une phase de développement que chacun de nous traverse pendant son enfance.

 

Freud se pose la question pourquoi dans ses consultations il ne rencontre quasiment jamais des pervers. Il conclut dans le même livre que le pervers n’est pas forcement malade dans le sens d’une affectation psychique, mais qu’il assume son penchant et y prends plaisir.

 

Il est intéressant à constater que Freud dans cette description, bien que qualifiant ce fantasme de sorte masochiste, ne divague nullement sur des pratiques qu’on appelle aujourd’hui du SM. Visiblement il fait alors une distinction volontaire.

 

Depuis ce temps pas mal de psychanalystes se sont attaqués à une définition de la perversion. Je me fais un plaisir de les collectionner. Aucune n’a pu s’imposer. Puis les mœurs ont évolués. Les pratiques dites perverses jadis, comme homosexualité, fellation ou encore sodomie ne plus considérées comme perversions.

 

La classification des maladies psychiques a également pris une autre orientation. La psychiatrie moderne ne se base plus sur les interprétations d’un comportement, mais tient compte tout simplement du comportement même pour définir une affectation.

 

L’ouvrage, le DSM IV fait référence pour la plupart des psychiatres. Dans ce livre traitant les critères de diagnostique, le terme perversion a disparu et est remplace par le terme « paraphilie » depuis au moins 1994, date de la parution de ma copie.

 

A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Réflexions autour de la fessée
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Lundi 13 juillet 1 13 /07 /Juil 22:42

La cravate comme symbole phallique est largement connue. Je comprends parfaitement que ce vêtement peut rendre la nudité féminine plus troublante aux yeux d’un homme.

 

Il m’arrive d’inviter Monsieur pour un repas aux chandelles à la maison, chez nous. Ca donne une ambiance exotique qui me comble. Une tenue correcte est toujours de rigueur dans ces têtes à tête. Presque onze ans de vie commune ne sont pas une raison d’un laisser aller en tout circonstances.

 

J’aime voir mon homme en pantoufles, mais pas tout le temps. Alors quand je fais de la grande cuisine pendant des heures j’attends une attention de sa part.

 

Je suis toujours extrêmement émue quand à cette occasion il m’offre des fleurs comme à nos débuts ou un nouveau parfum choisi par lui.

 

Ou encore de la lingerie fine.

 

Il n’est pas du style à me rejoindre en smoking et cravate. Je ne lui demande pas autant. Il a son style à lui, inchangé depuis des années qui me plait beaucoup sur lui.

 

Pour ma part je cherche toujours à lui faire un plaisir visuel et érotique de plus plaisant. Il m’arrive de le recevoir, habillée uniquement d’une cravate noire et des escarpins très hauts. J’apprécie avec lui qu’il ne me saute pas dessus sans attendre comme un sauvage, mais qu’il prenne le temps. De dîner sans se presser, de discuter de tout et de rien, puis de divaguer lentement vers un jeu de séduction comme si nous étions à notre première rencontre.

 

Il a le chic de deviner exactement quand est-ce qu’il faut passer à l’action pour me montrer comment font les garçons avec les filles…

 

Il aime beaucoup à ce moment que je garde mes chaussures en bien entendu ma cravate.

Par isabelle183 - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Dimanche 12 juillet 7 12 /07 /Juil 23:39


Des fois je me dis que mon homme doit appartenir à ceux qui avaient envie de jouer à la poupée dans leur enfance, mais étaient privés ou n’osaient pas. Car un garçon ne fait pas ça, comme on disait à l’époque au début des années 60. Alors il se rattrape à l’âge adulte avec moi. Il me dit très souvent à quel point il est heureux avec moi pour avoir trouvé une femme qui partage ses fantasmes. Et il ne se prive pas de les réaliser.

Je n’aime pas trop les pyjamas. Mais monsieur m’a offert un très joli en pilou, matière bien difficile à trouver de nos jours. Bien entendu il comporte des motifs fille sur fond rose. C’est d’un « culculniace » à souhait. Il repose bien repassé dans mon armoire et attend la bonne occasion pour servir.

 

Je suis très souvent en hyperactivité et en manque de sommeil. En fait je pars du principe que la vie est trop courte pour passer son temps à dormir. En général je gère bien en faisant des petites siestes dans la journée. Mais quand un sujet me passionne trop, tout se décale et en plus je deviens vraiment pénible à vivre. Monsieur ne se laisse pas faire.

 

T’es insupportable aujourd’hui, isabelle. Prends ton bain. Met toi en pyjama et attends moi dans la chambre pour une fessée de bonne nuit.

 

Ai-je  le droit de continuer à travailler sur mon ordi ?

 

Si tu veux. Mais si je te trouve pas au lit dans une demi heure je te ferai chanter tout un opéra.

 

Là, il ne plaisante plus et je ne traîne pas dans la salle de bain pour être ponctuelle. La fessée de bonne nuit se passe habituellement sur ses genoux et à la main. En plus elle fait super mal. Alors pas la peine d'en rajouter par un aute caprice.

 

Pourtant je puis nier le bienfait. Dix minutes après ma fessée, Monsieur me trouve souvent endormie comme un bébé et mon sommeil est profond et bien réparateur.

Par isabelle183 - Publié dans : Discipline domestique
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Mardi 7 juillet 2 07 /07 /Juil 11:56

-Otez vos bottes et votre culotte de cheval. Elle est trop ajustée. Vous ne pourriez pas la garder à mi-cuisses. Vous serez plus à l'aise sans, pour vous faire cravacher.


Elle me tendit d'abord la cravache. Puis elle défit posément ce que j'avais demandé. J'attendais avec impatience et curiosité de découvrir son slip, il était noir et sexy.


-Descendez votre culotte à vos chevilles pour vous entraver et mettez vous à quatre pattes sur les bottes de paille, ordonnais-je.


Elle obéit. Ses fesses apparurent, elles se mirent à resplendir, à luire, comme un appel. Elle fit les quatre pas nécessaires en me tournant le dos, s'agenouilla à même la paille et se plaça. Je me plaçais aussi, derrière elle.


- Tant que faire se peut, vous garderez ou vous reprendrez la position, dis-je.
 
-Cambrez bien vos reins, pour chercher le coup.


Elle creusa ses reins.


Je me délectais longuement de la scène, de sa posture offerte. Pendant une minute, rien ne se passa.

Sans même avoir réfléchi, sans même l'avoir décidé consciemment, je cinglais violemment le travers des fesses offertes. Son corps tressaillit et partit un peu en avant. Elle mordit ses lèvres, pour ne pas crier. Aucun son ne sortit de sa bouche. Seul le tchac de la cravache résonna dans le hangar métallique. L'énorme masse de fourrage amortit vite le bruit, créant une atmosphère confinée, chaleureuse, entre nous. Simplement, Georgia se dandina un peu sur les genoux, comme un cheval de cirque;
Comme une jument... De la cravache, je fis une utilisation équestre. Petits coups répétés, qui stimulent un trot. Coups plus forts, mais espacés, pour soutenir le rythme d'un galop. Trois ou quatre coups très forts, pour impulser l'élan avant de passer un obstacle. Alors Georgia partait vers l'avant, comme bondissante. Sa mâchoire se mouvait plusieurs fois, comme si elle avait un mord aux dents, sa bouche se tordait. Elle poussait un "ah" d'une voix très grave, gutturale, un râle venu d'on ne sait où. Ses mains s'enfonçaient dans la paille, comme des griffes.  Je la laissais se calmer, respirer, se reprendre. D'un petit coup sec de bas en haut, à l'arrière de ses cuisses, je la ramenais au présent et à sa condition de femme fessée. Elle comprit et releva son bassin, qui s'était un peu affaissé. Elle pointa ses fesses vers le ciel. La rougeur gagnait entre les stries, devenait uniforme, prenait la teinte d'un coup de soleil.


 Je me fixais sur un point à l'arrière de la fesse gauche, je le cravachais très doucement, en cadence, puis avec une force sans cesse croissante et un final très fort, que je crains insoutenable. Elle s'affala et se coucha sur son lit de paille. Je l'admirai, de haut en bas, de bas en haut. Sa culotte noire sexy entravait ses chevilles. Ses mollets et ses cuisses sont puissants, de cavalière. Ses fesses étaient empourprées. Sa veste de cheval noire, sans manche, s'arrêtait au bas de ses reins. Elle ramena ses mains à ses fesses et les palpa, d'abord très précautionneusement, craignant manifestement de les trouver brûlantes et que la peau meurtrie ne supporte pas le contact. Puis elle les massa. Sa tête était posée sur la joue droite. La joue gauche était baignée de larmes.


Je la laissais se masser, tant qu'elle voulut, mais elle s'attardait, reprenait possession d'elle-même, redevenait étrangère pour moi, cet apparté finit par m'impatienter.


- Redressez-vous, dis-je.

 

Et je donnais un petit coup de cravache sur les mains aux fesses. Surprise, elle les sortit aussitôt, avec un petit cri. Elle se remit à quatre pattes, comme une sommanbule. D'un coup sec et bien senti aux cuisses, je dus à nouveau lui faire cambrer les reins.

Nos narines, nos poumons, s'emplissaient de l'odeur de la paille. J'eus la curiosité, déplacer, de regarder entre ses jambes. Son entrefesses était luisant, humide, chaud. Et c'est alors que tout dérapa. C'est pour cela qu'aujourd'hui, devant M. le maire, je m'apprête à lui dire "oui".

Entre ses poils blonds, j'écartais ses grandes lèvres avec le manche de la cravache et en appuyais le bout sur son clitoris, avec un petit mouvement tournant. Je repris la cravache en main, m'écartais et donnait un coup très fort, par le travers des deux fesses, mais pas pour punir, pour simuler le coup de boutoir d'un sexe d'homme, quand la verge vient en butée entre les reins d'une femme, remontant, emplissant, d'un coup, son vagin ou son anus. Puis je massais à nouveau le clitoris de Georgia avec le bout du manche, puis je lui redonnais ce coup de cravache, ce coup était fort mais sexuel. J'alternais ainsi, à cinq reprises. Le dernier coup de cravache déclencha l'orgasme. Elle fut parcourue de convulsions orgasmiques. Je m'en délectais. Je jetais la cravache. Georgia se releva, croisa ses bras sur sa poitrine. Elle semblait très émue. Elle se lova dans mes bras et on s'embrassa. Elle s'écarta, me tourna le dos, vit le lit de paille et s'y rendis tout droit. Elle se remit dessus, à quatre pattes.

-Pénètre-moi, dit-elle, prends-moi, comme une jument.

Mon sexe était dur et dressé. Je le dégageai aussi vite que je pus. Les premiers instants en elle encore très serrée furent une jouissance d'un intensité apocalyptique. Elle avançait et reculait doucement son bassin, faisant coulisser son vagin le long de ma verge en elle. Je la saisis par son bas-ventre et le haut des cuisses, l'attirais le plus fort que je pus à moi, pour la maintenir, tandis que je me répandais elle. Mon coeur s'accéléra, j'en restais essoufflé et j'eus pour elle une reconnaissance infinie.
Elle se releva, me sourit à nouveau.


-Montrez-moi vos fesses, dis-je.

Elle ne se fit pas prier, se retourna et fit une courbette, pour que je puisse mieux voir.
C'était un entrelacs de traits rouges sur fond rouge, comme un tableau abstrait. Elle le cacha en remontant la culotte noire et sexy qui lui entravait les chevilles. Elle remit son pantalon de cheval et m'embrassa sur la bouche.


-Merci, dit-elle, pour ces marques, que vous m'avez confiés.

Je sus alors que je devrais faire ma vie, avec cette femme, qu'elle aurait toujours besoin de mes fessées.

 
Souvent, je venais la voir s'entraîner. Quand je sentais le moment venu, je prenais avec moi une rose rouge. C'était le code entre nous pour lui signifier que ce jour là, elle serait cravachée. Georgia me faisait un petit signe de la main, pour me montrer qu'elle avait compris. Puis, toujours, elle donnait un coup de cravache à sa jument qui bondissait en avant.
Parfois, on se retrouvait, on prenait un pot. Georgia baissait les yeux, et elle m'assurait que j'excellais, dans l'art de la cravache et de l'amour.
Quand elle eut divorcé, vint ce jour où nous allons nous marier.
Je  vais lui dire oui. Il y a les amis, les familles, des flonflons et sûrement plein de cadeaux.
Moi aussi, j'en ai un, pour elle. Je le lui donnerai quand nous serons entre nous, pour la nuit de noces. C'est un paquet long, enveloppé de papier rouge et brillant.

Il contient une nouvelle cravache, en cuir tressé.


 

 

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Lundi 6 juillet 1 06 /07 /Juil 15:55


Ceint de son écharpe tricolore, le maire va dire:

 "M. Jean Letupe, voulez-vous épouser madame Georgia Durand?"

Je vais répondre oui, bien sûr. Un mariage. Un acte banal, même s'il ne l'est jamais pour ceux qui y passent. Ce qui l'est moins, c'est la façon dont nous nous sommes rencontrés. Elle mérite d'être contée. Une rencontre improbable, pourtant une rencontre de la vraie vie, rien de virtuel comme avec Meeting. C'était un jour où j'envisageais de m'inscrire au centre équestre de T. et je m'y étais rendu. On me dit d'attendre, car le moniteur donnait un cours. Pour tuer le temps, j'assistais à la reprise. C'est alors que je la vis, pour la première fois.

Ses fesses épousaient la selle. Son bassin accompagnait parfaitement le galop. Elle semblait n'en faire qu'un avec le cheval. Je pratique moi aussi l'équitation, et je ne m'y trompais pas. Cette fusion des deux corps, la femme et la bête, dénote une grande cavalière. Qui plus est Georgia Durand était une blonde aux formes un peu épanouies, comme je les aime. A 35 ans, on la sentait en pleine maîtrise d'elle-même et de son art, forte de ses années d'expérience. Bien dans sa peau, droite dans ses bottes. Cavalière, fière et altière. Elle faisait des tours de manège et, alors que je contemplais la scène, Georgia, avec la cravache qu'elle tenait dans sa main droite, imprima un coup sur le postérieur de l'animal. Stimulée, la jument bondit en avant.

C'était un coup unique, fort et sec. Il provoqua en moi une émotion incroyable, qui m'envahit et me submergea. Instantanément, le rythme de mon coeur bondit lui aussi. J'eus le désir, un  désir fou, d'une force que me stupéfia et m'inquiéta moi-même, de cravacher cette femme, comme elle cravachait sa monture. Je voulais Georgia à ma main, imprimer sur ses fesses nues des coups forts et secs, voir son fessier se strier de rouge, sa bouche grimacer et une larme perler de son oeil, sous la souffrance. Cette envie de la fesser était si pressante que c'en était presque douloureux.

Je respirai fortement, pour me calmer. Je voulais rester maître de moi-même. La reprise s'acheva. Georgia mis pied à terre et gagna l'écurie, suivie de sa jument, à qui elle passa un licol pour l'attacher devant le box. Elle dessellait et brossait le poil un peu transpirant, quand je l'abordais. Nous nous ne connaissions pas, c'était d'autant plus délicat. Il y avait toutes les chances qu'elle m'envoie paître.

- Bonjour, lui dis-je

- Bonjour, dit-elle.

-J'ai admiré votre façon de monter.

-Merci, dit-elle.

-Je dois vous parler, dis-je.

-Ah bon? dit elle, avant de tourner ses yeux bleu vert vers moi.

Surprise et attentive, elle s'immobilisa, brosse en main et fixa son regard sur moi, attendant la suite.

-Vous allez me prendre pour un fou et peut-être je le suis, dis-je. Voilà, c'est simple et compliqué à la fois, simple à faire et compliqué à dire. Je ne sais si vous connaissez et goûtez la fessée. Je souhaite vous cravacher. Je vous ai vue manier si bien la cravache sur votre cheval. J'ai voulu, je veux,  la manier sur vous, sur vos fesses nues, en tout cas, vous le proposer. J'en ai eu soudain le désir très violent, violent comme ces coups que je souhaite vous donner, mais ça va au-delà de ça, au delà du désir. C'est une certitude, une évidence. La certitude que je dois vous fesser et que vous devez l'être. Que, je ne sais pourquoi, vous avez besoin de cette fessée. D'être cravachée.

Elle se tut et resta silencieuse au moins une minute, toujours immobile comme une statue. Je sus alors que j'avais gagné; au moins, elle ne m'avait pas envoyé sa brosse à la figure, avec un haussement d'épaule ou une insulte bien sentie. Elle prenait en considération ma demande, elle me prenait au sérieux. Mon pouls s'emballa à nouveau.

- Bien, dit-elle. Certainement, les choses doivent se passer comme vous le dites. Je n'ai jamais entendu parler de fessée. Mais j'adore l'équitation et j'adore la cravache. C'est pour moi un instrument magique. Souple et sévère. J'aime l'entendre claquer sur la peau du cheval. Je me suis toujours interrogée sur ce que ça ferait de la recevoir. Votre décision de me l'infliger entre sûrement en résonance avec quelque chose de profond en moi, quelque désir enfoui. Vous êtes un homme, je suis une femme. Vous m'avez vue et peut-être avez-vous compris que j'ai besoin de cette fessée, d'être fessée, maîtrisée, domptée. Cravachée comme vous dites. Mais laissez-moi m'occuper d'abord de ma jument, c'est elle qui prime. Je crois aussi que je devrais d'abord en passer par une douche. J'ai transpiré. C'est plus correct, aussi, vis-à-vis de vous.


- Quand vous vous rhabillerez, dis-je, je souhaite que vous restiez en cavalière.


Pendant qu'elle s'affairait, je n'en revenais pas de ma bonne fortune, j'avais l'impression d'avoir gagné le gros lot du Loto. Je brûlais d'impatience, ma main me démangeait, j'avais hâte d'y sentir la cravache. Je faisais des mouvements du bras droit, comme pour l'essayer. Et en même temps, je n'avais pas envie que le temps passe. Je me dis que si je ne lui avais pas parlé de cravache, jamais elle n'aurait accepté. J'avais touché sa corde sensible.  Et je me questionnais: pourquoi cette envie des hommes, de fesser les femmes? Question sans réponse.

 
Après un moment qui me parut interminable, Georgia ressortit enfin des vestiaires. Ses cheveux blonds mi-longs encore humides collaient à sa tête. Elle les peignait avec ses doigts, un geste très féminin qui m'émut aux larmes, que je mis en relation avec la promesse que dans quelques instants, elle aurait les fesses nues et que j'allais la cravacher, les cravacher. Répondant à mon souhait, elle avait remis sa culotte de cheval beige, et ses bottes noires. Elle me fit un sourire, mais il était crispé, presque une grimace déjà. Je compris qu'elle était dans l'appréhension, qu'elle se préparait mentalement, qu'elle se concentrait avant l'épreuve. Je lui en fus aussitôt reconnaissant. En même temps, c'était intimidant, elle me mettait la pression. Je ne devais pas la décevoir.

 
- Suivez-moi, dit-elle.

Elle se rendit au râtelier et décrocha la cravache, dans un mouvement faussement négligent, comme si de rien n'était. Elle traversa le centre équestre, désert à cette heure, il était près de 20 heures, et je lui emboîtais le pas. Elle nous conduisit au hangar à foin et referma la porte derrière nous. Les énormes bottes rondes étaient empilées de tous côtés. On eu dit une cathédrale de fourrage. Elle alluma les néons, déclenchant une lumière crue.


-Nous serons bien, ici. Nul ne peut nous entendre. Vous pourrez me cravacher à loisir, dit-elle. Comment dois-je me placer?


-Comme une jument, répondis-je. Mais d'abord je veux être franc avec vous. Je vais vous faire mal. Mal aux fesses. Mais si vous voulez, on peut renoncer.


Elle haussa les épaules.


-Je m'en doute. La cravache ne caresse pas. Ne me vexez pas, je vous prie. Sachez que j'assume toujours et que je ne reviens jamais sur ce que j'ai dis.

Je posais à plat, côté à côte, quatre balles de paille carrées, pour en faire une sorte d'estrade.

-Allez vous me marquer? s'enquerra-t-elle?

-C'est important, pour vous?

-J'ai un mari. Mais tant pis. Faites ce que vous devez faire. Je me débrouillerai pour trouver un prétexte, ne pas trop me montrer.

Je sus plus tard que son couple battait de l'aile.

Je considérais son pantalon de cheval; très serré, il faisait à Georgia comme une seconde peau.

A suivre…

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Dimanche 5 juillet 7 05 /07 /Juil 09:23

Avertissement: Vu la délicatesse du sujet, je préfère une publication sous forme de récit "fictif". Je ne cautionne en aucun cas la violence conjugale. Je parle ici seulement d'une pratique par consentement.

 

Emotions et ressentir pendant la fessée

 

Je parlerai ici uniquement de mes  émotions et de mon ressentie pendant une fessée punitive. Pas besoin de savoir quelle faute mon inconscient retient exactement pour me sentir coupable. Il suffit de considérer ici l’effet qui s’impose à ma conscience comme un désir ou besoin punition. Mais compte tenu que la nudité pendant la correction devient enjeu de négociation et de honte, la « faute » s’apparente visiblement à un contexte de l’ordre sexuel. Nous somme donc en quelque sorte dans le péché originel qui réconforte la théorie que le besoin de punition soit issu de notre culture judéo chrétienne. C’est l’explication rationnelle par excellence.

 

Je pense que sans recours à la psychanalyse on ne peut trouver mieux. Puis des explications plus profondes sur la culpabilité n’apportent pas un surplus à ce sujet qui se nourrit essentiellement de non-dits troublants.

 

Les préparatifs de la fessée punitive se servent des non-dits et les mettent en scène de façon théâtrale. Elles poussent la tension nerveuse à vif et augmentent considérablement l’intensité des émotions. Le moindre détail parait exagérément fort. La  pudeur est constamment ébranlée. Le contexte punitif ne tient pas compte de la gêne, éprouvée à vaquer nue à sa correction, mais il s’en sert. Ou il pousse encore plus loin. Par l’obligation de chercher moi-même mon instrument de punition. De manière parfois ridicule.

 

La mise en scène me semble comparable à orage qui se prépare. Des nuages sombres se forment en créant une atmosphère lourde et pesante qui demande une décharge.

 

La fessée à venir ne se présente plus seulement comme une menace douloureuse, mais aussi comme une échappatoire salutaire à une situation insoutenable.

 

Mon vécu à ce moment est tellement dense et immergé par un tourbillon d’appréhension qu’il n’y ait pas place pour un ressenti voluptueux. Je me sens extrêmement stressée et il me tarde de passer au plus vite possible sur les genoux de monsieur. 

 

Pour moi désirer ardemment une punition corporelle n’implique pas forcement d’y prendre un plaisir physique. Tout dépend de la personne. Personnellement je situerais mon plaisir comme un espoir placé dans le avenir, dans le moment où la punition se termine.

 

Ma seule pensée est donc très simple :

 

Pourvu que cela soit déjà fini.

 

 

Pour rendre mes punitions efficaces que je retienne la leçon au mieux et que mon comportement s’améliore, nous avons essayé pas mal de techniques. Comme annoncer la punition pour le soir ou méditions prosternées devant l’instrument.

 

Le résultat n'était pas concluant. Je n’aime pas la douleur, mais elle ne fait pas peur. Il m’arrive d’éprouver la peur de l’inconnu devant un instrument que je ne connais pas. Mais ça s’arrête là. Je considère la douleur seulement comme une sensation très désagréable à laquelle je sais bien résister. Me laisser le temps de me préparer mentalement à ma sentence est une erreur fatale sur un plan éducatif. J’adopte un « approche de sport extrême » et nous entrons dans une autre catégorie loin d’un contexte punitif. Mon ambition se réveille et elle emporte sur la douleur.

 

Puis ma pensée est toujours très concrète. Elle reste dans l’instant sans se projeter trop dans l’avenir. J’anticipe rarement. Ce qui est une chance inouïe dans la vie sociale et professionnelle. Je suis presque exempte de stress au quotidien. Même devant une situation très importante, je ne me sens par harcelée. J’ai confiance en moi de manière réaliste, sachant que je ferai au mieux de mes possibilités.

 

Je vais donc profiter de l’instant pour autre chose. Soit je divague vers mes études, mes écrits ou des pensées complexes que j’aimerais cerner, soit je me m’adonne à mes fantasmes inspirés par la vue de l’instrument et dont la nature du contenu devient visible par une réaction physiologique de mon entrejambe. Cela amuse beaucoup mon homme qui aime en moi, mon non sérieux et ma futilité. Malgré mes apparences sérieuses.

 

Il me punit donc presque toujours sur le champ. Quand cela est possible. En préparant suffisamment le terrain pour que je tire un bénéfice de ma correction.

 

Quand je passe sur ses genoux ou quand je dois adopter une posture impeccable de punition, par exemple penchée en avant, jambes écartées et mes mains autour de mes chevilles, Monsieur arrive par une mise en scène habile de me mener presque au bord d’une crise de nerfs.

 

Une punition très sévère commence souvent par un échauffement de mes fesses. Bien que la notion d’obéissance n’interfère pas dans ma vie professionnelle et sociale, elle devient enjeu essentiel dans ma punition.

 

Dans l’échauffement se confrontent en moi révolte contre un traitement indigne d’une femme adulte, acquise par l’éducation dans mon enfance et désir d’être traitée ainsi en immature qui a besoin d’une main ferme pour filer droit.

 

Je sais que par le biais de la fessée je deviens entre les mains de mon homme une femme malléable et docile. Donc prédisposée à être éduquée selon son échelle de valeurs. Mon acceptation exprime mes penchants profonds, le désir d’être ce que personne ne veut être : immature, perverse, bêtasse, futile et j’en passe. 

 

L’échauffement permet d’augmenter encore ma tension nerveuse qui devient binaire : me révolter ou obéir.

 

Puis commence la véritable punition qui fait très mal. Elle m’apprend que ma révolte n’est que superficielle et motivée par ma fierté. Elle se base sur les règles sociales qui permettent et entretiennent cette fierté. Ce que je ne critique pas du tout. Mais nous ne sommes pas dans le social, mais dans une microstructure de couple et qui permet d’établir ses propres règles entre adultes consentants selon le désir des deux partenaires.

 

Ce n’est pas la douleur en soi qui provoque mes larmes. Elle procure un effondrement rapide de ma fierté et mon penchant d’obéissance emporte sur le politiquement correct. Cette reconversion rapide se manifeste par des sanglots et le sentiment  d’impuissance devant mes désirs. Ce sont des pleurs de rage envers moi-même et nous entrons dans une phase cruciale de la fessée punitive.

 

Comme chez un bébé mon homme sait interpréter mes pleurs. Il s’applique selon un dicton adapté à notre situation :

 

Mal aux fesses fait oublier rage aux dents.

 

Il est intéressant de considérer que le symbolisme du dicton s’apparente à un désir sexuel. Essentiellement dans le sens de la masturbation (rêves de perte de dents etc).

 

Nous sommes dans un acte purement éducatif. C’est la libido qui pousse à la faute envers la personne d’autorité et ses règles. La punition désexualise les énergies en jeu et les oriente vers d’autres buts :

 

L’obéissance qui seule permet un rapport éducatif efficace.

 

C’est par la punition que l’obéissance envers mon homme entre dans ma peau. Je ne me soucis plus du politiquement correct et je laisse parler mon désir profond : de marcher au pas sous ses ordres.

 

Il y a un consensus qui se crée par la punition et qui nous rapproche au plus profond. Je suis prête à accepter pleinement son autorité que mon inconscient traite en synonyme avec un acte viril de pénétration.

 

L’insoutenable tension se dissout sous l’insistance de la fessée et ma rage s’en va. Elle laisse place à un sentiment profond de gratitude de m’avoir remise sur le bon chemin.

 

Cet effet est appelé par les auteurs anglophones : stress relief (évacuation du stress).

 

Mes pleurs changent de sonorité et m’indiquent en fille prête à être sage et heureuse de pouvoir l’être. Je me sens libérée de ma fierté mal place, libérée des contraintes sociales qui interfèrent dans ma vie sexuelle. Je suis préparée à résexualiser ma vie selon d’autres critères et mettre le droit sur ma jouissance entre les mains de mon homme.

 

Je me sens pleinement femme dans ces conditions.

 

Il me parait futile d’évaluer si ce sentiment soit naturel ou une suite d’un syndrome de « stockholm ».  J’utilise cette allusion dans un sens bien précis. Il n’est pas rare que les jeunes filles rêvent d’un enlèvement par un prince charmant.

 

En cette phase de la punition se montre pour moi la distinction entre éducation anglaise et discipline domestique.

 

L’éducation anglaise articule sur le libre droit à la jouissance et ses modes de satisfaction, la discipline domestique articule sur le libre droit à la décision dans le couple, dans la vie sociale ou encore dans la vie professionnelle selon les conceptions diverses.

 

Je trouve très intéressant de lire des blogs sur la discipline domestique des auteurs anglais et de considérer leurs argumentations. Je lis sans approche morale ce qui convient le mieux à ce genre de lecture. Ce que je retiens c’est le désir d’être heureux dans son couple. Je trouve ce but justifiant les moyens. S’il y a consensus entre un homme et une femme.

Et ceci me parait une affaire privée qui ne regarde personne.

 

Malheureusement la vie en couple a grand besoin d’être réglementée par la loi. Il y a enfin prise de conscience de la violence conjugale qui est inacceptable et qui n’a rien avoir avec la discipline domestique qui se base sur un consentement amoureux.

 

Je finis mon exposé : Je suis fervente adepte qu’une fessée punitive se finisse par un bouquet final sonore et particulièrement sévère.

 

C’est comme des cloches qui sonnent l’arrivée d’une ère nouvelle de pardon et de guimauve, la reconquête du  bonheur  « bisounours » où tout est rose et le temps au beau fixe.

 

La douleur finale sert de prévention. A éviter dans l’avenir les mauvais comportements.

 

Quand mon homme cesse ma punition je suis repentie et lavée de mes fautes. Avec la ferme intension de rester sage et de lui plaire autant que cela soit possible.

 

Malgré une douleur stridente dans mes fesses j’ai appris à ne plus trépigner les instruments de discipline comme à mes débuts, mais de les embrasser avec gratitude pour le bien qu’ils me font dans ma quête de devenir une compagne exemplaire pour mon homme.

 

Puis j’embrasse la main qui tient l’instrument et qui ne manque jamais à me mettre à ma place quand il le faut.

 

Il me parait humainement compréhensible que mon éducation procure des tensions dans le caleçon de mon homme.

 

En fait ça me rassure même de constater qu’il prenne autant de plaisir à m’éduquer.

 

Pour moi c’est une magnifique preuve d’amour. On peut mentir avec les mots, mais le langage du corps ne connaît pas le mensonge. Puis quand le corps prend plaisir, le bonheur n’est jamais loin.

 

Quand je me blottis dans les bras de mon homme après ma punition, je suis très heureuse et mes larmes sont des larmes de bonheur. Je suis prête à mettre mon obéissance à l’épreuve et les rituels après la punition servent à ce but. Ils comportent d’autres formes  émotions qui restent à considérer dans le autre volet de cette série.

 

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Éducation anglaise - Communauté : La fessée
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Samedi 4 juillet 6 04 /07 /Juil 12:15

Avertissement: Vu la délicatesse du sujet, je préfère une publication sous forme de récit "fictif". Je ne cautionne en aucun cas la violence conjugale. Je parle ici seulement d'une pratique par consentement.


 

Commencer à introduire la discipline domestique dans mon couple a été une grande joie pour moi. Un rêve fantasmatique qui se réalise enfin et qui sort de l’ombre des « activités solitaires  en cachette ».

 

Plus que je réfléchis, plus que je vois l’éducation anglaise comme une étape préparatoire indispensable à la discipline domestique. On ne s’y fait pas d’un jour à l’autre à une conception de vie qui recourt aux châtiments corporels pour fautes définies de manière purement subjective. Malgré des négociations préalables. Il faut d’abord apprendre et puis roder les mécanismes.

 

Tant que la faute parait comme un élément de jeu, il est impossible de percevoir des progrès  de ce mode de vie qui va beaucoup plus loin que la simple satisfaction des sens.

 

Le premier reflex qui s’installe c’est faute  = punition. Ce n’est pas la nature de la faute qui importe, mais le fait de la sanctionner systématiquement. Et ici tout dépend de la force de caractère du partenaire. Il faut pour une bonne réussite qu’il reste inflexible, juste, mais sévère.

 

La première acceptation se montre quand on ne discute plus le bien-fondé de la faute, mais les modalités de la punition.

 

Quand je commets une faute aujourd’hui j’ai tout de suite mauvaise conscience. Pour moi la faute est bien réelle car elle trahit la convention entre moi et mon homme. Si ma faute reste non découverte, je me sens très mal à l’aise. Mon besoin de punition pour faute est devenue un automatisme. Quand je suis prise sur le fait je me sens honteuse et même si parfois je proteste encore pour la forme je suis convaincue au fond de moi que je mérite le traitement qui va suivre. Et surtout je ne le mets plus en cause. Je me suis faite à l’idée que mon homme me baisse ma culotte

à chaque fois qu’il juge bon et je considère mes punitions comme une preuve d’amour et d’attention.

 

Il me suffit d’entendre le bruit de la porte qui s’ouvre avec détermination pour savoir qu’une faute a été encore découverte.

 

C’est comme une décharge électrique qui traverse mon corps :

 

Ca y est je suis encore bonne…fallait y penser avant de faire des bêtises.

 

Je rougis quand Monsieur me demande : Tu n’as rien à me dire ?

 

Il m’arrive de perdre mon assurance habituelle et j’avoue à petite voix ce qui m’est reproché en essayant de minimaliser, de trouver des excuses, de négocier ma sentence. L’enjeu de la nudité partielle ou intégrale devient un enjeu majeur, comme le fait de devoir chercher l’instrument de ma punition ou le choix de l’instrument. 


Quand je perds mon privilège de baisser moi-même ma culotte ou pire encore de me déshabiller, il m’arrive de fondre en larmes avant la fessée tellement j’ai honte.


Quand j’étais particulièrement odieuse ou fautive et je dois me mettre toute nue au garde à vous devant monsieur pour mon mea culpa je n’en suis jamais fière de moi et j’espère seulement que je ne devrais pas adopter par suite une démarche de parade pour chercher et présenter le martinet ou autre instrument selon un rituel bien rodé.


On peut se demander pourquoi j’accepte tout ça. La réponse est simple: parce que j’y trouve mon compte, même si cela semble difficilement compréhensible. Je parlerai dans un chapitre à part de mes motivations.


Je pense que la préparation seule de la punition serait souvent déjà suffisante que mon comportement s’améliore sur des longues jours.


Il y a aussi quelques uns des mes comportements qui ont définitivement changés au fil du temps grâce à mon éducation et j’en suis fière. Je pense notamment aux « mauvaises habitudes en cachette » après ma punition quand la douleur dans mes fesses se transforme petit à petit en sensations plaisantes. J’ai appris à faire confiance à mon homme qui ne manque rarement de me récompenser quand la punition est enfin levée et le fait d’attendre augmente mon désir.


Je suis aussi honteuse que fière que mon corps ait appris à manifester son besoin de discipline à la vue des instruments quand j’étais désobéissante ou pendant les pauses du drill ou de la gym punitive.


Dans ces moments je me sens déshabillée jusqu’à l’âme devant mon homme en lui exposant la preuve de ma sincère gratitude pour ses efforts éducatifs.


J’approuve que mon homme contrôle mon hygiène intime devant et arrière avant me punir et surtout en été l’idée de pouvoir sentir mauvaise me hante jusqu’à la fin de l’inspection.


Il y a confusion flagrante entre libido, éducation, bonnes manières, fille sage ou modèle dans ces préparatifs rythmés par la gêne et la honte.


Pour moi l’avant fessée sert à libérer une quantité maximale d’émotion en vue d’une transformation bénéfique. Il est donc important de me pousser à mes limites niveau honte et appréhension de la punition, en choisissant méticuleusement des détails qui correspondent à mes fantasmes.


J’ai besoin que mes nerfs soient à vif et que les flux d’émotions soit à son comble quand je passe sur ses genoux.


Penchons nous alors dans le prochain volet sur les émotions pendant la punition

 

 

   

 

   A suivre... 


 

 

 

 

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Éducation anglaise - Communauté : La fessée
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Vendredi 3 juillet 5 03 /07 /Juil 13:41

 

Suite de : Delirium 1  (un récit de Tessa)

Je suis une toile expérimentée et l'art peut réclamer bien des sacrifices. Généreusement, j'exécute sa demande implorante et ferme les yeux en soupirant. Il se poste à mes côtés, réjoui, et pose une main brûlante sur mes fesses : visiblement il va commencer par cette partie là et une petite voix surgie des profondeurs de mon instinct me chuchote étrangement que je devrais me méfier. Je frémis mais me tiens coite pour ne pas perturber son inspiration.


Une cataracte de claques sèches s'abat sans prévenir me faisant sursauter : qu'est ce que c'est que cette méthode de barbare ?!! Je passe mentalement en revue tous les articles parcourus : non, pas une ligne sur cette technique !


Certes, les artistes divulguent rarement leurs recettes mais tout de même ! je trouve le traitement un peu dur et me crispe. Pas une bonne idée : sa main rebondit avec plus de vigueur.


Allez je respire, je peux surmonter, je suis une pro. Si si.


Il s'arrête, grommelle des choses incompréhensibles et mon oreille capte vaguement des mots : « insolente» « obéir » « leçon »... Il ne s'adresse visiblement pas à moi et doit chercher un titre pour son œuvre. J'ai un sourire de soulagement : c'est le signe que le travail est achevé et je me relève en m'étirant. C'est pas mal en effet cet aplat rose qu'il vient de créer : un peu cuisant mais une jolie couleur naturelle.


Presque un peu banal'


-Aïe ! Non mais ca ne va pas ?! » Il vient de me cingler de sa baguette et me dit sèchement de reprendre la position.

Oh ces artistes capricieux ! ca ne peut pas s'exprimer normalement, verbaliser ses intentions comme tout le monde. Pff allez comprendre les fuligineuses pensées de ces êtres étranges ! heureusement que je suis une excellente toile qui retiens merveilleusement bien les positions imposées et je retrouve sans peine la courbure recherchée.


Si si c'est bon comme ca. Mais si je suis cambrée !!


Je le sens énervé, il n'arrive pas au résultat espéré et sans pitié, il me biffe, me rature de sa maudite férule. De temps en temps il s'interrompt : rehausse une section d'une tonalité carmine avant de dessiner à nouveau un faisceau de striures qui s'enchevêtre sur mes fesses naguère nacrées. Par moments un gémissement léger m'échappe sans que je ne puisse le retenir : je suis un peu honteuse de ce manque de contrôle mais bon, la méthode employée n'est pas très douce, quoi qu'il en dise. C'est typique des artistes cependant : ils croient savoir ce qu'on ressent mais évidemment eux ils se contentent d'œuvrer, jamais ils ne se proposeraient comme récipiendaires. Je subis un temps, fière de ma volonté, mais une envolée particulièrement enthousiaste (de sa part) amène un sursaut de rébellion et je fais volte face.


Nos regards croisent le fer, je ne dis rien parce que les toiles doivent être silencieuses mais mes yeux protestent avec véhémence. Il convient qu'une pause est devenue nécessaire pour permettre aux couleurs de prendre, de se solidifier. J'acquiesce : enfin un peu d'humanité ! et vais pour m'allonger.


Je n'en crois pas mes oreilles ! il me mène dans un coin et m'ordonne de m'agenouiller. Hors de question. Il est gentil mais je connais mes droits et j'ai droit à une vraie pause.


(Entracte bis : « « Non », vous êtes sûre ' bon, on peut continuer dans ce cas ! « )


Je crois qu'il abuse un peu...je ne suis pas certaine de la plausibilité de ses arguments ; apparemment il s'agirait de rougir mes genoux de manière à créer un rappel de couleurs ...Mouais. Je négocie pour en finir rapidement et reprends agacée la pose. A chaque fois que je proteste il me fait remarquer que ce n'est pas terminé. J'argumente : les toiles ne sont jamais terminées au goût de leurs créateurs et les résultats n'en sont pas moins là. L'égoïste ne veut rien entendre.


C'est que ça commence à être vraiment pénible pour moi : lui s'exprime allègrement par de grands mouvements, il fignole en prenant son temps mais moi je dois rester pétrifiée et immobile et c'est une vraie souffrance que d'endurer les rainures abrasives de cette fichue tige.


Soudain il gronde et pointe un doigt réprobateur sur mes mains froissées

: je dois les ouvrir , laisser s'écouler les flux de son inspiration. (Laughing)

C'est mieux ! clame l'inconscient. Il ajuste encore un peu, surligne telle pliure sanguine, enlumine telle zone rubéfiée et soudain concède que c'est fini.


Je me relève illico et très fier il tient à me montrer lui-même sa création.

J'en reste subjuguée : en restant concentré sur mes fesses il a crée un contraste saisissant avec le reste de mon corps intact et mon regard converge sur le centre flamboyant du tableau. Oui oui, je reconnais mon ignorance : une palette de couleurs naturelles sont nées sous sa main comme par magie, toute en teintes et demi-teintes : l'arrière est un rouge fondu, opacifié sur lequel s'inscrit presque en relief un fin réseau de cannelures rudentées. Je suis béate.

Quel beau métier.


Maintenant je m'offre des vacances


D'autres récits de Tessa

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Vendredi 3 juillet 5 03 /07 /Juil 13:39

Spanking en Espagnol  (Azotes y nalgadas)


Un joli blog avec des illustrations originales et pas mal de clips peu connus. Malheureusement en espagnol. Pour ceux et celles qui comme moi ne lisent pas cette langue. Pourtant je suis une grande amatrice de l'Espagne et je passe souvent des petites vacances dans ce magnifique pays. D'ailleurs je suis juste à côté. L'accueil est de plus chaleureux et les gens que j'y ai rencontrés sont -pour le moins qu'on puisse dire- adorables. Bref ce sont des vacances sans prise de tête. De plus, les petits endroits sympas pour une fessée en pleine nature ne manquent pas.

Par isabelle183 - Publié dans : Editorial - Communauté : La fessée
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Jeudi 2 juillet 4 02 /07 /Juil 00:29

Avertissement: Vu la délicatesse du sujet, je préfère une publication sous forme de récit "fictif". Je ne cautionne en aucun cas la violence conjugale. Je parle ici seulement d'une pratique par consentement.


La discipline domestique et l'éducation anglaise provoquent un basculement de la réalité. J'aime et je recherche ce basculement, ce (pseudo)sérieux qui donne un piquant supplémentaire à une simple mise en scène, à la base ludique.

 

Quand on passe de la fessée érotique à la fessée punitive, il faut un temps d'adaptation pour bien comprendre ce qui nous arrive.

 

Certains auteurs conseillent de débuter la discipline domestique par une fessée introductrice pour mettre les pendules de la dame à l'heure. Qu'elle comprenne bien que désormais les règles à la maison ont bien changées.

Avec le recul je suis d'accord avec ce conseil et j'aurais préféré de débuter ma nouvelle vie ainsi. Mais Monsieur ne punit que sur faute. Et il est inutile de toucher à ses principes. Puis, de toute façon, c'est lui en chef de la maison, qui décide.

 

Notre relation était encore toute fraîche et je me demandais comment il allait s'y prendre.

Curieuse, je me suis comportée en gamine rien que pour le tester, ce qui ne me correspond pas du tout d'habitude.


Je n'ai fait qu'un seul test. Ma première fessée punitive fut si convaincante que l'envie de recommencer ne s'est plus présentée. Monsieur n'est pas une brute, mais il sait se faire respecter clairement quand il le faut. J'ai eu droit à ma belle strape  toute neuve et plus tard quand je suis sortie du coin plus rien n'était comme avant. J'avais terriblement mal aux fesses, pas la moindre sensation érotique en vu et je réalisais que désormais il fallait filer droit pour de bon.


J'ai dû pour la fin de journée rester en sous-vêtements et exposer mon fessier tout nu au bon plaisir de Monsieur. Cet aspect de ma punition correspond bien à mon avis à pas mal d'hommes. Ce sont des grands enfants qui aiment voir les résultats de leurs actes. Corriger une partenaire récalcitrante est un acte sain et jouissif selon moi qui élimine les tensions non-dits au sein d'un couple. Quoi de plus normal alors que le monsieur se réjouit des marques du châtiment, signe visible de sa nouvelle autorité. 

 

Jusque ce jour j'ai toujours eu un rapport naturel avec ma nudité. Mais ma punition avait provoqué un changement radical. Je me suis sentie très mal à l'aise avec mes globes striés à l'air. Puis quand mon homme m'annonça que la prochaine fois je serais disciplinée toute nue pour bien prendre conscience qui commande dans notre maison et qui est en besoin d'éducation, j'ai rougi en me sentant toute petite. Je commençais à apercevoir la réalité de la place que j'avais tant convoitée.

 

Il a remarqué tout de suite ma réaction en me disant :


Voila un premier pas vers la fille modèle. Une bonne éducation anglaise  porte ses fruits uniquement si elle rougit autant le visage par la honte que le derrière par les claques.

 

J'ai pu me rendre compte très vite sur moi-même que l'éducation anglaise est une relation de transfert à part entière. En quelques jours et quelques corrections plus tard le rapport éducatif s'était installé tout naturellement entre moi et mon homme. Je ne mettais plus son autorité en question et me découvrais vite des comportements que je n'avais jamais crus possibles sur moi. Cette expérience sur mon adaptation aux nouvelles règles de jeu me parait singulièrement intéressante. Elle met radicalement en cause les grandes idées qu'on se fait sur soi et de sa soi-disant maturité d'adulte. J'adaptais vite un comportement semblable à une crise d'adolescence tardive en prenant systématiquement le contre-pied. Peu importe ce que mon homme proposait. Même quand il n'y avait aucun rapport avec mon éducation anglaise.

   

J’ai constaté le basculement de la réalité d’abord par une nouvelle approche à ma nudité qui devenait pesante et honteuse dans un contexte punitif. Quand on connaît pas ou peu la honte de la nudité cette expérience est extrêmement troublante. Il est bien différent de présenter son fessier nu à un homme pour des douces caresses que pour une expérience douloureuse qui est sensée de corriger les mauvais comportements en vue d’une amélioration durable.

 

C’est l’élément « durable «  ou « désormais» qui sème une bonne partie du trouble et l’acceptation intégrer des « nouvelles valeurs ». En étant adulte, l’éducation est reprise un peu à zéro. Et pas n’importe laquelle. Non pas du style laxiste ou de manière explicative, mais autoritaire.

Les interdictions et règlement ne se discutent pas. Soit on obéit, soit on est punie.

 

Il m’est arrivé à maintes reprises de faire l’entêtée en refusant de baisser ma culotte, en protestant vivement contre un traitement indigne ne moi. De vouloir négocier sérieusement à garder certains vêtements. De me mettre en larmes en suppliant de ne pas me mettre complètement à nue et ainsi de suite.

Monsieur restait inflexible au chantage et j’ai dû apprendre à chercher la strape toute nue avant de m’allonger sur les genoux de mon homme.

 

Une punition est toujours douloureuse, cela va de soi. Mais mon homme ne perds pas de vu l’effet éducatif. Il a le flair de doser avec justesse mes corrections pour que amélioration durable s’en suive. Avec lui je ne connais pas le derrière dans un sale état comme on voit dans certains films et sa distinction personnelle entre sévérité et cruauté me convient parfaitement. C’est un excellent éducateur pour « filles adultes » et ses méthodes livrent d’excellents résultats.

 

Il m’est arrivé aussi après des cuisantes corrections de m’en prendre à l’instrument de ma discipline. Stade de transfert particulièrement important car il implique déjà l’acceptation de l’autorité par l’inconscient.

Je me suis mise à trépigner furieusement la strape en poussant même des insultes envers cet objet.


Le fou rire de mon homme agrandissait encore ma colère


« Tu devrait te voir, Isabelle », m’a-t-il lancé.


Simple réflexion qui mets les pendules à l’heure. Une femme adulte toute nue, les fesses marquées par la discipline, le maquillage coulé et qui s’acharne sur un morceau de cuir. Il y a en effet de quoi à éclater de rire pour l’un et de rougir d’une honte encore plus intense pour l’autre.

 

Cela ne m’as empêchée de commettre d’autres gamineries par la suite. Cacher la strape, couper les lanières du martinet ou casser la canne.


Je n’ai pas osé à me prendre vraiment à la strape qui était l’instrument majeur de ma nouvelle condition en craignant une punition hors norme surtout.


Monsieur m’a fait durement travailler mon comportement pour apprendre le respect pour les instruments qui sont les représentants de son autorité.


Surtout claquantes fessée à nue et passages au coin. Mais aussi de m’envoyer tôt au lit après application d’un suppositoire calmant et de me munir d’un dispositif qui empêche les « mauvaises habitudes ». Ou encore corvées de ménage.

 

La strape fut accrochée bien visiblement à la maison ce qui m’a permis de me familiariser avec sa présence au quotidien. L’entretien m’incombait et gare à moi si j’avais oublié de la cirer pour qu’elle brille de partout. Puis s’ajoutèrent le martinet et la canne à côté d’elle.

 

J’ai pris tellement habitude d’entretenir les instruments qu’il m’est inconcevable de vivre sans eux. Une maison sans martinet surtout me parait vide et je ne me sens pas bien. Je devient infernale jusqu’à ce que mon homme m’accroche au moins un martinet quelque part sans oublier de s’en servir avant. Et là nous sommes carrément dans une névrose artificielle de transfert.

 

Le point tournant dans mon éducation fut atteint après quelques semaines lors de la préparation d’une punition.

 

J’étais particulièrement honteuse en présentant la strape pour recevoir ma discipline ce jour-là.

Comme s’il savait, mon homme fit glisser un doigt dans mon entrejambe pour constater l’effet produit en disant :


Je crois que nous sommes sur la bonne voie avec ton éducation. Ton corps approuve le bienfait de la discipline.


Ce jour-là j’ai réussi pour la première fois un mea culpa sincère, convaincue de "mes fautes", en remerciant mon homme pour mon éducation anglaise et sa sévérité sans faille.

Depuis rien ne me flatte de plus que quand mon homme annonce à des nouveaux amis : ma compagne a reçu une excellente éducation.


Par contre je suis toujours honteuse quand je dois me dévêtir devant mon homme pour une punition.

Sans lui je serais sûrement passé à côté de ce délicieux trouble que mon enfance très (trop) libérale m’avait caché. De l’autre côté je me dis, sans cette enfance libérale, j’aurais peut-être perdu maintes années avant d’oser de vivre ce qui se cache en moi et ceci sans mauvaise conscience et dans le bonheur.

 

A suivre...

Par isabelle183 - Publié dans : Éducation anglaise - Communauté : La fessée
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