Mercredi 1 juillet 3 01 /07 /Juil 23:40

Ding dong ! Deux notes joyeuses qui fendillent avec énergie l’atmosphère lourde de ce matin et diffusent en moi une onde électrique : je bondis jusqu’à la porte le cœur battant : c’est lui, le seul à oser s’imposer un matin si tôt.


Je lui ouvre tout en m’interrogeant : pourquoi ce tourbillon frémissant qui va et vient dans mon corps ? D’accord il a exigé pour la première fois d’officier chez moi, sans doute pour s’imprégner de mon atmosphère, mais je suis une toile professionnelle rigoureusement entraînée, rompue à un bataillon d’agissements excentriques. Rien ne doit m’atteindre, la moindre émotion pouvant distordre et biaiser le résultat et je ne suis plus une novice pour commettre ce type de fautes. Je ressasse mes informations pour me rassurer : c’est que je ne m’aventure pas, de plus, en terrain inconnu : soigneuse, je me suis longuement documentée et familiarisée avec ses méthodes avant-gardistes.


J’ai lu et relu que V est un des grands maîtres de l’Ecole naturaliste : il ne travaille que sur du matériau non apprêté, et refuse toute chimie, toute sophistication inutile et factice. Pas de drapés vaporeux, de peinture fluorescente, de positions acrobatiques : non non non, que du naturel, de l’humain, de l’authentique, aucune mascarade.


Il s’avance assuré dans mon repaire et promène un regard alerte qu’il retourne ensuite sur moi. Ses pupilles auréolées d’un bandeau vert d'eau me granulent et je souris, bafouille : il y a son regard partout et je suis étalée dans chaque objet de cette pièce. Quand il m’indique que l’on va inaugurer la session, j’ai un soupir de soulagement : après tout il est là pour cela et je dois me ressaisir, devenir impénétrable, opaque, compétente…


Les conditions ne sont pourtant pas idéales : je n’aime pas le matin, pas cette lumière grise qui jette sur moi un vernis terne et frileux mais il est impatient. Il me mène au centre de la pièce, sous la projection d’un rayon gracile et me passe au crible tandis que je reste immobile, ramassée sur moi-même, encore flétrie. Il tourne autour de moi, pose une paume le long de ma nuque, apprivoise ma chair par de longues circularités qui glissent sur ma peau consciencieusement lustrée avant son arrivée. Quelques minutes s’écoulent et ma respiration s’accouple à la sienne, j’attends, repliée, qu’il éveille.


Et puis il recule, saisit son instrument fétiche et délicatement positionne chacun de mes membres. C’est une mince baguette qui sillonne chaque courbe, chaque ligne : elle se contente dans un premier temps de faire sa ronde, de tâtonner pour prendre connaissance du support.


Prolongation rêche de ses mains chaudes, les tapotements fugitifs me magnétisent: il m’a voulue dépouillée, totalement épurée. Il réfléchit avec attention, c’est une étape primordiale qu’il ne faut pas bâcler: la petite membrure imprime des arceaux en différents endroits, dispose des arrondis, joue avec les plages de lumière et de pénombre sur mon ossature. Et Maître Tatillon fait finalement son choix : la toile sera tendue, arquée, offerte à la tension.


Tap tap : le tuteur se pose impatiemment sur une de mes étagères,

montrant la voie à mes mains.


TAP TAP TAP. Frivoles extrémités qui espéraient pouvoir se prélasser un peu plus haut sont rappelées vertement à l’ordre : la cambrure est dictée avec une flexion. Je m’aperçois que la disposition choisie trempe mon dos dans l’ombre du rideau et que la partie inférieure est de ce fait badigeonnée de lumière (ben voyons!). Il n’est pas rare que les peintres jouent avec le clair obscur et je n’ai techniquement pas mon mot à dire mais je proteste énergiquement contre ce choix inadéquat.


(Entracte: « - vous voulez aggraver votre cas ? Oui ? parce que vous pouvez aussi être beaucoup plus penchée, sinon . »)


A suivre…

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Vendredi 26 juin 5 26 /06 /Juin 00:29

Quand je suis arrivée en France, il y pas mal de temps, je connaissais déjà bien la fessée disciplinaire et érotique.

Que fut grand mon étonnement en me promenant pour la première fois dans un petit supermarché de campagne de ce beau pays en découvrant dans un des rayons des martinets.

 

Je n’avais jamais entendu de cette chose intrigante et j’étais tout de suite sous le charme. Une multitude d’images me traversaient la tête, mais le plus étrange je me suis sentie « chez moi » dans ma nouvelle région, malgré le fait que je ne parlais pas encore le Français.

 

Puis il y avait le choix. Aucun martinet ne ressemblait aux autres quant à ses lanières. J’en ai choisi plusieurs que je possède toujours et qui ont bien fait leurs preuves sur mon derrière. Je ne suis pas une collectionneuse. J’achète les objets pour leur usage.

 

Depuis pas mal de choses se sont passés. Récemment j’ai fait une autre découverte en me promenant sur le net.

 

http://www.aswgt.com/floggers.html

 

Ce site ne propose pas uniquement des très beaux instruments, il réveille aussi la curiosité du visiteur.

 

La fessée à la florentine se pratique avec deux martinets identiques simultanément. Pour moi il s’agit plutôt d’une fessée spectaculaire dans direction d’un bon amusement. Rien à voir avec un acte de correction pour mauvais comportement.

 

Je considère mon compagnon sur bien de points comme un grand enfant qui aime s’amuser avec sa poupée.

En découvrant cette technique j’ai vu son regard s’allumer et le merci pour son cadeau (deux martinets) venait du cœur. Un beau merci trop chaleureux.

 

Je l’ai  vu s’entraîner sur un coussin (loin de moi l’idée que mon compagnon soit un tortionnaire) et je n’ai pu m’empêcher de lui passer la main dans les cheveux en lançant un petit : Il te tarde.

 

Puis avant de passer à l’acte j’ai vu la fierté dans ses yeux, cette envie de « dompter sa bien-aimée » en lui montrant comme il sait bien faire. Un grand garçon dans toute sa splendeur et un conquérant style Indiana Jones de la fessée à la foi.

 

J’ai choisie pour la florentine des martinets avec des lanières en daim, peu douloureux et bien bruyants.

Pour cette technique - à mon goût - l’aspect ludique devrait emporter.

 

Pour « l’après-fessée » j’ai vu un autre conseil :

 

Un chat à neufs queues avec des lanières en chaînes métalliques. Il ne sert pas à « fesser » proprement dit, mais après un passage au frigo, il s’applique sur des fesses brûlantes pour une sensation de fraîcheur.


http://www.aswgt.com/ballchaincat.html

 

Bon ceci n’est pas mon trip, mais je trouve le conseil amusant.

 

Par isabelle183 - Publié dans : Éloge des instruments - Communauté : La fessée
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Jeudi 25 juin 4 25 /06 /Juin 00:23

J’aimerais bien connaître les expressions de mon visage quand je me prends une bonne au cours d’une séance bien méritée de discipline domestique. J’étais déjà fessée devant des glaces, mais je suis trop absorbée par ce qui se passe sur mon derrière pour y payer attention. Alors je me contente d’observer les mimiques des autres qui me paraissent parfaitement crédibles sur des photos.  Une image qui active plaisamment  mon imagination et qui se situe loin des scènes brutales qui hantent certaines séries des photos fessée notamment des pays de l’est.


Je ne suis pas vraiment une fan de la « fessée scolaire », mais une semaine dans un internat pour filles adultes fait partie de mes rêveries favorites.


J’imagine une gouvernante bien austère avec des cheveux très courts qui saurait me faire passer mes éternels caprices de préférence en présence de mon homme qui lui explique les problèmes que mon éducation lui pose. Puis discussions sur un programme sur mesure pour moi, conseils et démonstration de discipline appliquée. J’ai le droit de rêver non….

Par isabelle183 - Publié dans : Discipline domestique - Communauté : La fessée
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Jeudi 25 juin 4 25 /06 /Juin 00:18

 

Il me parait indispensable pour que la discipline domestique livre des résultats réels sur mon comportement qu’elle soit douloureuse et qu’elle marque bien dans le sens littéral. Mais il faut bien trouver la juste mesure. Mon homme n’est jamais cruel avec moi et il sait qu’il n’est pas nécessaire et déconseillé dans la discipline consentante  de me « torturer » pour que devienne obéissante. Il me traite avec la juste dose de sévérité dont j’ai besoin et ma danse sur ses genoux est toujours une rude épreuve pour mes fesses. Bien que consentante du principe de la discipline domestique, il arrive que je ne sois pas consentante sur le coup en estimant ma punition comme injustifiée. Je me mets en colère et parfois le vocabulaire m’échappe et je deviens très insultante envers mon homme malgré la fessée que je suis en train de recevoir. Je ne suis quasiment jamais grossière. Ce n’est pas dans mon tempérament. Mais je peux être vraiment blessante en jouant sur les petites faiblesses de mon homme.

Lui, il ne supporte pas ce côté de moi, car ceci ne fait pas partie de ses propres comportements, même en cas de colère. Encore une de ses facettes que je ne me lasse pas à admirer.


Alors il estime que je confonds ma bouche avec l’orifice de mon derrière et il arrête la punition pour une « leçon de modestie » dont je passe sur certains détails.


Il sait bien qu’il ne sert à rien de me forcer sur le coups tant que je suis en courroux et il m’envois dans la chambre pour me calmer et me préparer.


C’est souvent déjà à ce moment là que je réalise mon dérapage et que je commence à regretter. La punition qui m’attend est de taille. Outre une cérémoniel d’excuse très humiliant pour un effet psychologique, c’est la canne qui intervient.


Pour ceux qui ne sont pas familiers avec cet instrument, j’aimerais m’attarder peu sur ses particularités. La canne est un instrument redoutable et il serait un peu sot de recourir à des tiges de bambou vendues en magasin de jardinage. Elles risquent de se casser pendant l’emploi et causer ainsi des blessures ce qui ne me parait le but. Mieux vaut investir dans un instrument de qualité fabriqué exprès pour un usage sur les fesses.

Une bonne canne est souvent fait en rotin. Il en existe deux versions : vernies et nature. Les vernies sont assez rigides et manquent donc de la souplesse. Elle marquent beaucoup et procurent des stries qui se transforment facilement en hématomes. Quand on a la peau fragile comme moi, il se peut qu’on porte les marques pendant des semaines ( !).


Une « canne nature » possède une plus grande souplesse. Elle est très douloureuse sans forcer sur les coups en évitant ainsi les marques  de longue durée. Elle cause de belles stries qui gonflent vite, mais disparaissent assez vite aussi. Personnellement il m’est impossible après une correction à la canne de m’asseoir pendant des heures. A moins de me servir d’un coussin très rembourré.

Vu que le rotin est un matériel naturel, chaque canne possède son propre mordant. Nous avons mis du temps (et de l’argent) à en trouve une dont la douleur d’un coups assez léger déjà me fait grimper aux rideaux.


Je précise bien encore une fois que nous ne cherchons pas un effet érotique, mais punitif et dissuasif. On ne « badine » pas avec la discipline domestique chez nous et l’emploi rigoureux de nos instruments comporte plus le risque que je « mouille ma culotte » d’appréhension que de volupté. Que la douleur se transforme toujours après ma correction en sensation plaisante au niveau de mon bassin est une autre chose.


Après des insultes je reçois une douzaine de coups avec des longues pauses entre eux. Chaque coup est bien placé, bref et sec.


J’estime ma punition suffisamment intense pour me donner envie de ne plus recommencer mes dérapages verbaux si tôt. Largement suffisante aussi pour que je fonde en larmes et que je pleure à haute voix sans faire semblant. Puis largement suffisante pour un apaisement de mes nerfs et que je me blottisse dans les bras de mon homme pour me faire consoler et sécher mes larmes.


Dans ces moments je me sens prise en main comme je le désire. La sévérité de monsieur est sa plus belle épreuve d’amour pour moi et aissi que mon éducation lui tienne à cœur. L’éducation anglaise dont il me fait bénéficier me convient, me comble et contribue à mon bien-être. Seul regret de ne l’avoir pas connue plus tôt pour embrasser la discipline d’antan dès mes 18ans. C’est le monde à l’envers. Pour moi le droit à la culotte baissée au moindre faux pas est un des privilèges de la majorité et qu’on veille soigneusement qu’il ne s’applique pas aux enfants…

Par isabelle183 - Publié dans : Discipline domestique - Communauté : La fessée
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Samedi 30 mai 6 30 /05 /Mai 23:33

Malheureusement le dernier volet de cette belle histoire :

 

Dessous Noirs. Pour Cuir Noir.

 

L’auteur ne dispose pas du temps nécessaire pour poursuivre l’intrigue à cause d’une vie professionnelle captivante.

 

Dilemme que je connais trop bien pour d’autres raisons. Je suis en ce moment trop absorbée par ma vie familiale et surtout par mon petit bébé qui réclame l’attention de sa maman. Mon blog continuera à tourner au ralentir. Peut-être encore pour un bon moment encore. Pas grand-chose de vraiment nouveau. Seulement un choix de textes anciens qui me tiennent particulièrement à cœur. Et quelques récits d’amis du net que je trouve particulièrement réussis.

 

isabelle

Par isabelle183 - Publié dans : Editorial
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Samedi 30 mai 6 30 /05 /Mai 23:30


Suite de: Dessous Noirs. Pour Cuir Noir 7

Dessous Noirs. Pour Cuir Noir.

(Récit d’une histoire authentiquement vraie)

 

 

A Isabelle.

 

8. Où Noémie prend de taureau par sa corne

 

Elle est cambrée naturellement par le port de ses bottines. Elle n’a pas a en rajouter dans sa démarche Noémie. Quand elle atteint le tas et se penche pour ramasser l’instrument, elle est bien déçue. C’est une cravache bien abimée qu’elle a en main. Le cuir est brisé a de nombreux endroits et laisse largement apparaître une tige en plastique blanc inesthétique, sorte de squelette qui assure la rigidité.

 

Ce truc est trop laid pour qu’il puisse servir pense Noémie en s’en débarrassant.

 

Elle se rapproche du garçon qui a suivit l’affaire, éberlué. D’une voix ferme elle lui lance :

-Baisse ton pantalon, et donne moi ta ceinture.

Avant même la moindre réaction de sa part, elle entreprend de dénouer et de déboutonner le Jodpur qui tombe à terre, non sans avoir préalablement ôté la ceinture.

 

Il est rare à vingt ans de se trouver dans une telle situation. Le garçon s’en souviendra sa vie durant. Plus tard, devenu un homme dans la force de l’âge il racontera cette aventure dans des mémoires qui auront grand succès.

Extrait Chapitre 2 page 31 « Mémoire d’un dionysiaque » dont on soupçonne maintenant Jack l’éventreur d’en être l’auteur ».

 

« J’avais moins de vingt ans. J’habitais dans un quartier insalubre de Londres une de ces ruelles que l’on imagine tenue par des filles. Chaque on pouvait y croiser Jack, surnomé l’éventreur . C’était pourtant juste à 300 yards d’un quartier des plus résidentiels. Où Noémie, mon amie à l’époque, logeait. Elle habitait chez ses maîtres dont je ne découvrirai les noms que bien plus tard. Elle savait être discrète, la belle.

 

Toujours est-il que j’étais très séduit. Et elle aussi me semblait-il.

Ce soir là nous avions rendez-vous. Il y avait quelque chose de très particulier dans l’air. La pleine lune peut-être. Un orage qui passait en vent, certainement! Et pour sûr, de l’électricité jusqu’à saturation.

 

 

Ca faisait un moment que Noémie aurait dû être là ! J’avais fort envie d’elle, et depuis un bon bout de temps déjà. Je sentais une fourmillement dans le bas ventre, une vibration dans les bourses. Quelque chose qui m’échappait.

 

Je me devais de résister, de me contenir, surtout de ne rien lâcher trop vite, ce qui malheureusement m’arrivait trop souvent à cette époque. Ce qui me causera prochainement bien des soucis

 

Mais Noémie est arrivée, m’a sauté dessus, m’a entrepris, m’a conduit à la dévêtir. Puis elle s’est mis à toute une gesticulation lascive. Une danse, mieux une sarabande qui exacerbait mes sens au plus haut point. Je me suis appliqué à ne rien faire d’autre qu’à me concentrer et à ordonner à mon sexe de se détendre. 


Mais rien n’y fit. Je n’ai pas entendu ce que Noémie me disait ou me demandait alors. J’étais dans un autre monde en train de tenter d’exorciser un sexe totalement incontrôlable.

 

Mais lorsqu’elle s’est approchée de moi, qu’elle a commencé à me déboutonner, à sortir ma ceinture des passements qui la retenait, à frôler ma verge par dessus le marché, lorsque j’ai entrevu ce qui allait m’arriver, je n’ai rien pu faire. Je me suis vite rendu compte avec horreur, que l’émotion prenait le pas sur la raison. Je vibrai, perdis contrôle et j’éjaculai dans mes vêtements.

 

Appuyé contre l’évier, pantalon tombé aux chevilles, c’est ainsi que pour la première fois, gluant et impudique devant, j’ai été fouetté nu par une femme qui ne l’était pas. Par une femme en dessous noirs qui usait de cuir noir.

 

Une fouettée rude qui m’a laissé des traces physiques pendant plusieurs jours. Noemie officiait à la fois avec l’application et la rage d’une novice, mais aussi à la fois d’une experte pour en avoir tant reçue elle-même.

 

C’est extrêmement différent de recevoir une fessée selon que l’on a déjà jouit où que l’on se trouve en grand état d’excitation. Et ça je ne vous le conseille pas. Enfin ça peu aider quand même !

Recevoir la punition déconnectée d’une envie sexuelle, est alors un vrai supplice. C’est ainsi que j’ai vécu la première partie de la flagellation à la ceinture.

 

Mais le but de Noémie, outre de me donner une « leçon de chose », leçon que par amour pour elle j’acceptais en serrant les dents, le but de Noémie était également de me remettre en état de faire ce qu’elle attendait de moi : l’amour correctement ! pour ne pas dire durant longtemps, histoire d’effacer mon éjaculation précoce.

 

Voyant que décidément il fallait en faire plus, Noémie détacha rapidement un de ses bas. Elle en noua une extrémité à la naissance de ma verge et autour de mes testicules, en déroula toute la longueur dans le sillon fessier et noua l’autre bout autour de mes poignets, ainsi retenus prisonniers.

 

C’est en travers du lit, à plat ventre, les bras retenues sur les reins fortement tirés par un bas relié à mon sexe, que Noémie finit une fessée qui s’érotisa en avançant.

 

Ainsi travaillé au corps, cinglé dans son amour propre mon sexe se remit à vibrer et repris une belle vigueur. Sans plus attendre Noémie y trouva la récompense attendue.

 

Pourtant elle quitta peu après et le service de Sherlock Holmes comme elle me quitta moi même. On dit qu’elle est parti en France pour rejoindre un Avocat. Je le regrette profondément car elle m’a privé de lui rendre la pareille. Privé de la punir comme il se doit. Comme j’ai puni par la suite toutes les putains qui rodaient la nuit en frappant le pavé.

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Dimanche 17 mai 7 17 /05 /Mai 13:55


Suite de : Dessous Noirs. Pour Cuir Noir (par Docteur Watson) 6



A Isabelle.

 

7. Où Noémie a de quoi être déçue.

 

C’est à deux pas de la grande demeure où Sherlock s’est établi, mais c’est déjà un tout autre quartier. Une sombre et étroite ruelle qui débouche sur la Tamise. A l’est et au delà de La Tour de Londres. Une ruelle éclairée par des lanternes à la lumière voilée par la brume montante. Des filles de joie y passent et Jack l’éventreur aussi !

 

Noémie est attendue par le jeune homme qui loge au dernier étage, un étudiant probablement. En tous les cas quelqu’un à la physionomie séduisante et au physique d’athlète.

 

Une chambre au papier peint vert soutenu, vert empire en quelque sorte. Un lit de taille moyenne. Aux barreaux de cuivre si pratique quant il faut. Des draps, des couvertures, des édredons et traversin de plumes, le tout mal ajusté, remisé à la hâte. Une table encombrée de revues et de livres de toutes sortes. Une table de toilette revêtue de marbre, surmontée d’un miroir ovale. Une vasque et un broc. Une armoire débordante de vêtements et d’objets hétéroclites.

 

Lorsqu’il ouvre à Noémie, l’homme s’est déjà mis à l’aise. Une simple chemise de coton et un jodpur. Il a déjà ôté ses bottes et guêtres de cavalier, qui maintenant avec sa toque et sa cravache forment un tas informe sur le plancher.

Noémie se précipite dans ses bras et déjà l’entreprend. Elle guide sa main pour qu’il la dévête au plus vite.  Il est un peu maladroit et gauche notre éphèbe. Un débutant en quelque sorte. C’est Noémie qui règle la danse. C’est Noémie qui marque le tempo et les poses. Qui suggère les habits dont il faut la débarrasser. Et ceux au contraire dont elle s’est parée pour qu’ils soient conservés, admirés, adulés.

 

Il est bien éberlué l’artiste ! Noémie dirige et lui, il suit. Un point c’est tout.  Lorsqu’elle lui écrase le pied avec sa bottine, c’est par inadvertance. Geste involontaire. Mais vicieuse maintenant, elle se déhanche. Et porte tout son poids de cette jambe pour le faire réagir. Elle le provoque en éclatant de rire tandis qu’il ravale un cri de douleur en se dégageant.

Elle espère une réaction de sa part. Celle d’un homme qui doit se faire respecter. Hautaine elle jauge le cavalier comme le fait une pouliche qui d’une brusque ruade vient de mettre à terre l’écuyer qui la dresse.

 

Va-t-il s’emparer de sa cravache. Va-t-il enfin se montrer dominateur. Va-t-il la contraindre à ployer, à creuser les reins et à tendre la croupe. Va-t-elle entendre l’air siffler sous les impulsions de son bras vigoureux.


Noémie a brièvement fermé les yeux. Et pendant qu’ils sont clos, elle rêve, se plaît à imaginer une bonne fouaillée cette fois sous un angle résolument érotique. On lui dirait d’agripper les tubulures de métal du lit. De se pencher et d’attendre. Elle retiendrait son souffle jusqu’à la première cinglade. Ferme, brûlante et exquise. Longue gourmandise et attendre la seconde. Jouer la comédie. Implorer l’arrêt de la punition pour obtenir son contraire. Murmurer un « Non ! »  qui forcément veut dire « ENCORE ».

 

Mais rien ne se passe, le garçon regarde Noémie. Captivé qu’il est par sa pose. Le garçon est un admirateur passif et gêné des dessous de la provocatrice. Dessous noirs pour cuir noir ! Elle a beau geindre et se trémousser, elle n’obtient que maladresse et gestes inefficaces.

 

Mais pourquoi n’agit-il pas l’animal. Ne voit-il pas qu’elle en a besoin de cette cravachée pour raviver ses sens. Ne voit-il pas qu’elle souffre physiquement. De tant d’incompréhension, aussi !

Sa manière de tendre son postérieur ,de se pencher en avant, puis de se cambrer, est une invite. N’a-t-il aucun sens commun?

 

Noémie est toute à fleur de peau. Elle ressent le fin voile de sa culotte effleurer sa peau. Elle voudrait une culotte qui s’immisce dans ses chairs sous le poids de la mèche. Au plus profond de son cul. Un cul offert à la langue d’une cravache. Un cul qui voudrait battre la syncope, à l’unisson avec le cuir prodigieux. Un cul chaud et humide. Et son sexe qui ruisselle abondamment. Au secours ! Au secours. A l’aide. Aide-moi, imbécile, je me noie !

 

C’est un bel autiste que ce garçon là. Aucun sens de l’autre. Il n’a rien compris au désir de Noémie. Il est pourtant à point lui aussi. Son sexe est dressé et tend la toile du pantalon. Il s’est enfin placé devant Noémie et tente des caresses prématurées. Il n’en est pas encore temps.

 

C’est incrédule qu’il écoute Noémie lui dire « Va chercher la cravache ».

- Pardon, tu m’as demandé quoi ?

Noémie s’exaspère.
- Enfin, ce n’est pas à moi de dire cela. C’est toi qui devrait me le demander. C’est un ordre, une injonction qu’il  t’appartient de prononcer.

- Mais bon sang, pourquoi faire ?

 

- Ah bon, pourquoi faire ? Tu vas voir. Pas possible quand même d’être aussi gourdeau !

Et de ce pas Noémie va elle même se saisir de l’instrument qui jamais n’a dû connaître d’autre pelage que celui de la race chevaline.

 

(A suivre)

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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Mercredi 29 avril 3 29 /04 /Avr 17:55


Malgré la rude épreuve que vient de passer la jeune dame, il s’est installé une aura paisible et intimiste. Un grand moment de calme qui accapare autant la dame qui vient d’infliger la punition que la jeune femme qui vient de la subir. La tension motivant la correction s’est s’évaporée. C’est l’heure de l’introspective.


La dame contemple son œuvre. Convaincue du bienfondée de la fessée et fervente partisane de cette pratique même sur une jeune adulte, elle a choisi de punir avec méthode. En optant pour un martinet elle a placé un symbole et un garant de bonne conduite à la maison. Elle se souvient des conseils de la vendeuse concernant les différentes formes de lanières.


Carrés ou rondes, plates ou épaisses, les avis différent, mais avant tout c’est une question de sévérité, Madame


C’est pour une jeune adulte qui n’en fait qu’à sa tête.


Elle opte pour des lanières dures. Elle se demande pourquoi elle a sollicité l’avis de la vendeuse. Elle en a l’expérience. Elle aussi est passée par cette dure école.


Quel changement de passer du côté du manche. Quel agrément d’entendre les félicitations de la vendeuse qui approuve cet achat. Qui vente les vertus du martinet en citant d’autres clientes contentes de leur achat.


Le martinet ne lui a pas fait de mal. Au contraire. Elle ne regrette pas de cette période de transition entre la fin d’adolescence et ses premiers pas sous étroite surveillance au pays des adultes. Plutôt une fois de trop, qu’une fois de moins. Les fesses ont de la mémoire courte. Le processus de devenir adulte se passe avant tout dans la tête. Mais le martinet ça aide. Ca rappelle les devoirs que l’on attend d’une conduite digne d’une personne responsable. Elle a eu du mal pour se détacher de ce rituel. Malgré la douleur que le martinet cause sur ces fesses.


Elle se souvient de l’avoir réclame de moins en moins souvent. Puis un jour, il est reste accroché pour toujours à son clou, à côté des ustensiles de cuisine. Attirant la curiosité de certains visiteurs de la maison. Elle n’aimait pas quand on racontait des anecdotes sur ses corrections. Très gênée, le visage rougissant, elle se faisait toute petite.


Elle se souvient aussi que parfois en rentrant à la maison, il lui semblait d’entendre le martinet lui parler. L’envie de le décrocher, de baisser sa culotte et demander une correction comme jadis. Le bienfait du martinet lui manque encore de temps en temps. Même à son âge. Alors aucune raison de ne pas perpétuer une tradition qui a fait ses preuves.


Maintenant c’est elle qui décide du sort de ses pensionnaires. Elle s’imagine à la place de sa protégée. La culotte baisse aux genoux, les fesses à nues, le jupon et la robe relevée. L’intense brûlure calmée par l’air frais de la pièce. Rancunière envers celle qui vient de la châtier. Qui lui rappelle infaiblement la présence du martinet à la maison. Qui exige d’elle de se déculotter malgré son âge et de se mettre en position. Parfois elle est même déculottée par l’autre qui lui montre de manière poignante que ses gamineries ne passeront pas impunies et que son comportement la rend indigne d’un traitement d’adulte. Le frisson aussi des cette main qui lui soulève sa robe et lui baisse sa culotte. Forme de caresse particulièrement fugace et intense à la fois. Qui enflamme ses sens.


La nuit dans son lit elle se caresse. C’est plus fort qu’elle et ses timides gémissement sembler appeler un écho. La douleur dans ses fesses s’est transformée. Alchimie de la fessée qui contribue à son mystère. En dotant la chair d’une incroyable sensibilité. En ouvrant la voie aux sensations insoupçonnées. Souvenirs lointains.


Elle se pose des questions sur les fruits de ses efforts. Sa protégée, va-t-elle enfin adopter une conduite irréprochable ? Ou continuera-t-elle à se moquer ouvertement des règles à la maison ? Qui l’exposent au châtiment. Il y a un mieux, certes, depuis que le martinet fait partie du ménage.


Elle s’est aperçue du regard de sa protégée à chaque fois qu’elle passe à côté du martinet. Cette dernière semble autant le craindre qu’être sous l’emprise d’une fascination qui illumine ses yeux. Une fois, se croyant à l’abri des regards, sa main s’est posée sur les lanières. Une douce caresse, puis elle les porte à ses lèvres pour les embrasser tendrement.


La scène l’a troublée profondément. Elle s’y reconnaît et elle souhaite que sa protégée se comporte plus souvent avec insolence. Comme aujourd’hui.


Elle ne peut se décider de poser le martinet à sa place. Ses doigts effleurent le manche. Douce caresse et désirs irréalisables. Ce soir elle enverra  sa protégée au lit de bonne heure. Cela aussi fait partie du rituel de la punition. Et ne tardera pas non plus de rejoindre sa chambre.


Elle pousse un soupir avant de s’adresser à son élevé :


Tu peux sortir du coin et te rhabiller. J’espère que tu as retenue ta leçon ?


Les yeux de l’autre ont une curieuse lueur :


Merci pour ma punition
, souffle-t-elle. Je me sens étrangement mieux.

Par isabelle183 - Publié dans : Éloge des instruments
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Mercredi 29 avril 3 29 /04 /Avr 17:47


Suite de : Train de nuit (récit d’un fantasme) 2

 

Une fois ma fessée finie Monsieur me garde sur ses cuisses. Il change de métier. L’éducateur passionné se transforme en explorateur. Avec le bout de ses doigts il effleure un terrain préparé par ses soins. C’est un homme qui se tient aux grandes lignes. Celles qui corrigent les défauts de la nature et celle qui détermine la symétrie de l’anatomie féminine en séparant les globes.

 

Le porte-jarretelles est le vêtement le plus avantageux pour une femme que je connaisse. Par sa coupe et ses lignes droites il donne une illusion agréablement amincissante au fessier. Il délimite le terrain pour la fessée en indiquant clairement quelle partie se prête à cette activité et quelle partie s’apparente au déplaisir. Il désigne la bonne hauteur pour remonter une robe, mettant ainsi la partie charnue au mieux en valeur. Il est également pratique pour fixer une robe ou une jupe efficacement à la bonne hauteur. Avant d’envoyer la dame au coin pour que rien de la surface traitée n’échappe au regard du vaillant créateur de déclinaisons de rouges. C’est la pause de l’artiste, sa récrée, l’enivrement de ce qu’il a pu faire avec ses mains. Moment d’autocritique aussi.

 

J’aurais dû…

 

La prochaine fois je ferai…

 

Puis ce petit Euréka qui amène à la célèbre phrase que je n’aime pas entendre :

 

Je n’ai pas encore fini avec toi, isabelle. Nous reprenons après le coin. Il reste des défauts à corriger.

 

Ah ces hommes. Ca sait bien prendre la tête d’une dame.

 

Espèce d’obsédé !

 

Dans le compartiment sombre, dans ce train qui traverse la nuit, je suis toujours allongée sur les cuisses de Monsieur. Je suis sure qu’il partage avec moi en ce moment  l’érotisme des esthètes, l’érotisme du porte-jarretelles. Lui il a la vue, moi je n’ai que mon imagination et la brûlure d’un acte encore tout frais.

 

Le mode d’émoustillement aussi est bien différent. Le mien se voit par la luisance d’un entrejambe. Le sien se sent au travers de son pantalon. Moment de grande intimité entre un homme et une femme. Instant d’hésitation chez Monsieur qui songe à la suite des festivités. Instant d’attente chez moi. Volupté de la passivité qui coïncide cette fois-ci avec féminité. Tous les ingrédients du rêve de la féminité sont présents devant mon homme.  Ses ingrédients à lui qui font son bonheur. Mes talons aiguille qui forment une ligne continue  avec la couture de mes bas. Comme le rail d’un train elle se perd sous une culotte baissée pour réapparaître de l’autre côte. Fil d’Ariane version moderne qui se prolongent dans mes jarretelles. Le labyrinthe qui occupe mon héros concerne le plaisir féminin. Il se laisse guider par moi. Il y a proposition volontaire d’une partie bien délimitée de ma nudité pour indiquer au grand garçon les zones les plus sensibles.

 

Je sens sa main qui m’invite à une danse sensuelle. Mes cuisses s’ouvrent tel une « belle de nuit » pour dévoiler ce qui lie femmes et fleurs. Personne en regardant une fleur ouverte se pose la question de l’obscénité. Rares sont les hommes qui détournent leur regard de l’intimité exposée d’une femme. Les doigts de Monsieur étalent la rosée. Plaisir de glisse, plaisir d’y goûter.

 

Mais Monsieur n’entend pas de s’attarder sur les conventions. Son doigt prend un autre chemin. Celui de d’une sexualité qui explorer toutes les possibilités du plaisir. Cette nuit là, il se détourne de la grande porte pour une autre. Plus discrète, plus petite, plus étroite. Il a goûté mon parfum intime. Son doigt est salivé et se glisse doucement dans les coulisses. C’est toujours étrange comme sensation, mais bien agréable tout compte fait. Je pousse un long soupir de consentement. 

 

Sa main s éloigne. Elle cherche quelque chose. Soudainement le son d’une vibration. Puis un objet enduit de graisse, lisse et métallique qui tourne autour de l’endroit de la convoitise. Les vibrations se répercutent sur mon petit muscle. Je me sens détendue. Prête à me laisser faire. J’ai appris avec Monsieur les secrets de cet endroit. Lui seul a su réveiller ma sensibilité. En prenant du temps et en allant en douceur à mon rythme. 

                                         

J’ai aimé sa façon si personnelle et si décidée d’imposer la contraception naturelle pendant les jours critiques du mois dans notre couple. Il n’est pas du style de se reposer en ce domaine sur la femme. Il participe activement. Propose des solutions concrètes.

 

L’endroit ne dévoile pas ses délices sans entraînement. Je suis encore au début. J’aime quand il me prépare pour mes exercices. Quand je me penche devant lui, les jambes écartées pour un contrôle rigoureux de l’hygiène. Quand il décide de me donner un lavement, acte un peu gênant au début, mais qui devient vite une habitude plaisante quand c’est effectué avec douceur. J’adore quand il me prend la température pour déterminer les jours fertiles. Quand il me passe une crème très grasse pour un massage en profondeur. Quand il me met un suppositoire parce qu’il me trouve crispée. Je sens qu’il s’occupe bien de moi. Il est à l’écoute de mon plaisir et il me fait découvrir d’autres.

 

 

Le objet vibrant fait des miracles et mes soupirs se suivent. Je ne devine pas encore sa forme. Il me semble conique. Mon idée s’arrête là.

Petit à petit cela se concrétise, se glisse en moi, puis trouve sa place.

 

Ca te va bien, isabelle. Je te trouve très  élégante !

 

La vibration disparaît. Quel dommage. Monsieur aime les petites frustrations sur le chemin. Mais je sais qu’il me comblera plus tard. Je me lève lentement et je profite pour regarder mon derrière dans la vitre du compartiment. Je vois un petit rond en métal sculpté qui cache pour rendre l’endroit autrement attractif. C’est vrai, moi aussi je me trouve une certaine élégance inhabituelle.

 

On va bientôt arriver, isabelle ! J’attends de toi un comportement irréprochable pour ce week-end. Surtout pas de querelles entre filles.

 

Et le machin dans …

 

Il restera en place jusqu’à ce que je décide de  l’enlever. Fais ma confiance.

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits
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Lundi 27 avril 1 27 /04 /Avr 14:29

 

Une femme bien éduquée est dépourvue de poils, lisse dans le moindre coin et que ça brille et sente bon. Puis elle ne porte jamais de collants.

 

Voici ce que j’appelle parler en mâle. Ces exigences me font toujours l’effet. Surtout parce qu’elles sont irrationnelles et ne visent que son excitation. Il me donne le moyen de la diriger. C’est moi qui commande ce qui se cache sous son caleçon. Quand je me présente devant lui pour un contrôle de mon épilation je suis salue par un garde à vous. Il en est de même quand je fais le mannequin pour des nouveaux achats de lingerie.

 

J’ai jamais entendu de sa bouche des exigences bien réelles : style une femme bien éduquée devrait s’occuper de son mari, de son foyer et des ses enfants etc.

J’adore qu’il soit exigeant avec moi. Et il sait l’être avec un sérieux déconcertant. J’adore quand il consacre une journée entière à mon éducation. Quand nous révisions le programme en évaluant mes progrès. Je n’ai qu’un seul souhait : lui obéir. Car autant qu’il sait punir quand c’est nécessaire, autant il sait récompenser l’obéissance à sa façon. Bref il fait très bien l’amour.

 

Veux-tu que je repasse chez une esthéticienne ou tu t’en chargeras toi, mon chéri ? 

 

T’as pas honte de partir en vacances sans être impeccable de partout, isabelle ?

 

Bien entendu que je suis impeccable de partout. Je suis passée ce matin chez mon esthéticienne en laissant une toute fine bande de poils courts au dessus de mon pubis. Entretenus comme un gazon anglais.  Manière que Monsieur se sente utile. A lui de mettre la touche finale. Il n’en sait rien encore. Je compte lui faire la surprise.

 

Mais la surprise va être de mon côté dans ce train de nuit. Il cherche un prétexte pour une fessée coquine. Et quelques minutes plus tard je me trouve allongée sur ses cuisses en faisant du pédalo. Sa main et la peau de mes fesses font bonne équipe. L’élégante dame que je suis devenue est rappelée qui porte le pantalon dans le couple et qui doit baisser sa culotte à chaque fois que Monsieur l’exige. Que ce soit pour son bon plaisir ou pour une punition.

 

Je ne suis pas une grande adepte de la fessée coquine, mais j’aime la perspective d’une suite de plus érotique.

 

Sa main résonne sur mes fesses. Monsieur ne fait pas dans le semblant. Il me fesse et il veut que cela s’entende de loin. Le risque que quelqu’un puisse passer augmente son excitation. Il marque son terrain avec méthode. Il ne me relâchera pas avant que je fasse partie de la tribu de peaux rouges. Celle qui est rouge foncée. Cela va de soi. Et surtout celle qui est fière de sa couleur. J’ai pris l’habitude de devoir me promener après ma fessée jusqu’à l’extinction du feu le derrière en air. La fraîcheur est loin d’être désagréable. Je trouve que la fessée comme correction n’est pas suffisante quand on veut éduquer une dame adulte. Il faut qu’elle fasse partie d’une longue mise en scène qui permet de bien méditer sur ses méfaits. Qu’elle amène à une honte pesante et bienfaitrice. Qu’elle se distingue de la fessée coquine qui s’intègre sans la moindre gêne dans un cycle de sexualité bien complète.

 

Cette nuit Monsieur est particulièrement en forme. Les trains modernes sont silencieux. La fessée d’antan par contre garde tout ses attraits. C’est comme les bas et le porte-jarretelles. Peu importe l’époque et les conventions sociales ça ne perds pas de son charme. Et ça va si bien de paire. On dirait que le porte-jarretelles est conçu aussi pour la fessée. C’est le vêtement le plus pratique pour une femme coquine. C’est très joli à voir et séduit par la disponibilité aux assauts de son homme que la dame affiche sans complexe. L’épilation intégrale accentue encore plus le désir. C’est montrer clairement que le sexe est à l’honneur dans le couple.  Qu’il ne se vit pas en cachette, mais au grand jour.

 

A suivre

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits
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Dimanche 26 avril 7 26 /04 /Avr 11:55

Nous sommes au milieu de la nuit. Dans un train.  Seuls dans le compartiment. La lumière est tamisée. Monsieur me parle de son adolescence. De ses premiers émois envers les filles. De ses fantasmes. La nuit lui donne un autre visage. Surtout quand la nostalgie s’y ajoute. Je vois devant moi le timide ado qu’il a dû être. Si différent de l’homme de 40 ans, mature et sur de lui que j’ai rencontré quelques mois auparavant.

 

Il me parle de la disparition des bas et gaines survenue au début des années 70.

 

  … le porte-jarretelles était réservé aux femmes élégantes…

 

J’ai envie de rigoler de l’air involontairement tragique de ses mots. Ca dû être un choc de taille pour pas mal d’hommes de sa génération qui ont découverts tout petit ce genre de vêtement sous les jupes des leurs mamans. En rêvant, une fois devenus grands comme leur papa de s’amuser avec. Puis terrible coup du destin. La mode change pour faire place au collant. Déjà quand on ne connaît rien aux filles on est maladroit. Mais si de plus il faut se battre avec un collant, les endroits stratégiques prennent la signification d’une forteresse.

 

Mon chou adoré a l’air si triste tout d’un coup. Ca me fait mal au cœur. Je profite pour relever ma robe et réajuster mes jarretelles. Il adore me regarder quand j’accomplis ce petit geste. En plus ça délie sa langue.

 

Ensuit un discours sur l’horrible collant. Des petites mésaventures dues à ce petit voile qui rend l’objet de la convoitise inaccessible. Et même on y arrivant au bout, le prochain obstacle se présente : la culotte en coton blanc, style très mamie. Monsieur n’est pas vraiment un nostalgique des émois scolaires.

 

Quand je range ma robe et je croise mes jambes, il se tait pendant un moment. Il aime écouter les son si caractéristique qui trahit des vraies bas. Nous sommes en voyage et j’ai mis le grand jeu. La faible lumière du compartiment se miroite dans mes escarpins noirs, d’un cuir parfaitement lisse et verni. Un de mes hauts talons pointe légèrement vers lui.

 

Il me parle de sa découverte de journaux pour hommes. Une image s’est imprégnée dans sa mémoire. Une magnifique fille brune à toison abondante qui semblait s’apprêter à un rasage pubien. Malheureusement il manque la suite. L’image l’obsède. Commence une laborieuse recherche au travers des étalages de magasins de journaux. Vouée à la quête du saint  graal.  Existe-t-elle, une telle fille ? Il est difficile de demander conseil aux copains. Heureusement la photo d’art vient au secours. Bien moins prude que les journaux qui se battent avec la censure qui défend l’absence de poils. 

 

Entre la découverte d’une photo qui met ce fantasme en scène (hein oui au milieu des années 70 l’épilation intégrale représente un fantasme) et la mise en œuvre avec une femme en chair et en os, il faut qu’il attende ses 22 ans. Hyper compliqué ce temps-là.

J’attends qu’il aborde la fessée. Il a assisté à la fessée d’une petite voisine plus âgée que lui à la fin de années 60. Non pas directement. Cela s’est passé dans la pièce à côte. Fallait se contenter du bruit que cause un tel traitement par application d’une main ferme sur des hémisphères nus. Ca marque encore plus qu’une image et fait travailler l’imagination. Puis quand elle n’arrive pas à se projeter dans la réalité, il y a des fils qui se brodent autour. Monsieur découvre sa vocation d’éducateur. Il enseignera quelques années plus tard à ses copines comment devenir une femme élégante. En adoptant la méthode anglaise il fait de véritables miracles.

 

Je dois dire que la méthode anglaise marque quand elle s’applique à l’âge adulte sur un terrain favorable. Je n’imagine pas le moindre mot à travers avec Monsieur à table. Pas de querelles entre femmes. Aucune de ses ex a dû échapper au martinet à côté de l’assiette de monsieur. Objet qui se rajoutait avec autant d’évidence que le couteau et la fourchette et qui risquait de servir à tout moment au cas où l’on ne se tienne pas bien. Tant pour la posture, tant pour la manière de manger, tant pour la conversation.

 

Je vais avoir la chance ce week-end de visiter avec Monsieur une de ses copines de jeunesse que je connais déjà un peu. Elle aussi est une adepte de la DD de longue date. C’est une femme très chouette, sensiblement du même âge que mon homme. Nous prévoyons un week-end coquin à trois, basé sur la fessée éducative.

 

Ca me donne un étrangement pressentiment de repas en famille et des conversation surprenantes en tête à tête entre filles pour échanger des souvenirs cuisants. Il me tarde l’arrivée.

 

A suivre

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits
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Samedi 25 avril 6 25 /04 /Avr 08:31


Suite : Dessous Noirs. Pour Cuir Noir  5

 

 

A Isabelle.

 

6. Où Noémie prend du temps pour se vêtir.

 

Et la voilà partie notre Noémie à travers des couloirs de la grande demeure. Troussée jusqu’à la taille, tenant sa jupe relevée pour mieux monter les escaliers.

 

Débarrassée de sa culotte qu’elle tient à la main. Courir, courir jusqu’à sa chambre. Ouvrir la porte et trouver refuge dans sa mansarde sous les toits. Se retourner devant le grand miroir et regarder les marques de la fessée, de ses quelques stries plus marquées qui pimentent son derrière.

 

Ah comme il aimerait assister à la scène Watson l’hédoniste!

 

Mais Noémie est dans sa chambre, refuge interdit à toute autre personne.

 

Se dévêtir pour mieux se rhabiller. Soigner ses meurtrissures pour les mettre en valeur.

 

Passer un onguent bienfaisant. Se masser doucement avec l’huile odorante. Laisser son plaisir de la férule à fleur de peau. Se maquiller là où ça cuit d’un rouge à joue. Accentuer l’effet des traces de la fessée. Enfin se passer du talc partout pour la douceur de la peau. Se rhabiller enfin pour rejoindre au plus vite le garçon désiré.

 

Au plus vite ?  Voyons donc, Isabelle!

 

D’abord, prendre des bas de soie. Des bas américains. S’arrêter sur un modèle qui monte le plus haut possible. En choisir le ton. Ce soir gris fumé. Les enfiler lentement. Pointer le pied. Tenir les bas des deux mains. Entre la paume, les quatre longs doigts repliés et les pouces qui guident.

 

Les dérouler, les dévider minutieusement de la pointe au talon. Prendre toujours garde que la couture se positionne bien au milieu de la plante du pied. Du renfort de la pointe au renfort du talon Le tout ajusté au plus près de la cheville.

 

Les tendrent à nouveau avant de remonter. Bien suivre le mollet, la couture toujours au milieu. Rectifier à droite, à gauche, si nécessaire. Passer le derrière du genou juste là où le bas n’adhère plus à la peau.Tirer encore un peu. Plier la jambe, la déplier. Pour ajuster.

 

Entreprendre les cuisses et dévider ce qu’il reste à étendre. Guider avec le pouce. Enfin retendre le tout. Les monter au plus haut des cuisses ces bas sans revers dont l’extrémité reste finement roulée.

 

Les tenir avec les jarretelles. Des jarretelles  préalablement raccourcies. Tirer au plus fort au moment de les pincer entre la pièce femelle en laiton et la forme mâle de caoutchouc.

 

D’abord la jambe gauche. Sur la face interne des cuisses. Là où la peau est la plus tendre. Passer à la jarretelle extérieure. Forcer en tirant une nouvelle fois sur le bas. Pincer au plus tendu. Respirer. Passer à l’autre jambe. Recommencer l’opération. Se relever. Se tenir droite les épaules en arrière. Admirer son ouvrage par dessus l’épaule. Pivoter.

 

Fermer les yeux. Attendre un moment. Attendre pour sentir alors le relief des coutures sur la peau nue. Inspirer. Regarder le résultat dans la glace. Rectifier les détails si nécessaires.

 

Des bas bien positionnés. Un porte-jarretelles en forme d’arche qui dégage le bas ventre. Met en valeur le sexe tout à fait dénudé. En fait le centre du monde. Garder son désir et ses sens en éveil.

 

Aborder la seconde étape. Faire le choix d’une très courte combinaison. Pour le plaisir acoustique la passer par le bas. La faire remonter lentement sur les jambes. La faire chuinter en glissant sur les bas. En stopper l’ascension au raz des fesses.

 

Voir l’effet dans la glace. Un tour complet sur soi. La monter millimètre par millimètre jusqu’à une parfaite indécence. Fermer les yeux encore jusqu’à sentir les moindres courants d’air sur la pointe des seins. Terminer rapidement en passant les bras dans les fines bretelles.

 

Passer à la culotte. Larges possibilité. Ce soir la choisir noire et légèrement moirée. Haute jusqu’au nombril. Transparente jusqu’au pubis. Opaque et doublée sur l’entre jambe. Parfaitement ajustée. Donc par des boutons de chaque cotés. L’enfiler. S’en ceindre la taille en la boutonnant. L’intimité définitivement masquer au regard. Pas à la suggestion soulignée par le relief du tissu. Sentir encore les brûlures sous le voile les yeux clos.

 

Remettre des bottines. Les prendre bordeaux foncée. Les lacer lentement assise au bord du lit. Faire quelques pas sonores sur le parquet. Bien cambrée.

 

Puis passer une jupe à godet qui flirte avec les genoux. Passer une veste cintrée à la taille.

 

Vite, vite Noémie, trop de temps perdu à s’admirer. Maintenir son envie. Partir rejoindre son amant. Vous étiez si pressée !

 

A suivre...

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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