Mercredi 26 décembre 3 26 /12 /Déc 11:34

discipliner son mari

 

(Voila, encore une joli dessin de l'ami Georges)

 

 

Mais après tout pourquoi cacher honteusement ce qui peut se vivre au grand jour ?

 

Alors ayant le sens pratique j'ai aussitôt exigé de la part de mon mari pour se faire pardonner et comme preuve d'amour de m'offrir un tel bijoux et par dessus du marché je lui ai parlé de séances régulières de véritable adoration devant mon élégance si peu commune.

Inutile de dire non seulement que mon mari est un homme de parole, mais aussi que l'emplacement de ce bijoux est devenu un lieu de culte pour ses yeux et pour sa langue et un lieu de pèlerinage pour son attribut viril quand il s'agit de récompenser son obéissance et ses bonnes manières.

 

La confession partie de bonne allure je m'attendais enfin à des confidences détaillés sur ce que j'avais trouvé dans sa poche. Mais hélas pas un seul mot sur son pêché que l'on dit mortel, la gourmandise. Et à la place - comme s'il essayait de se moquer de moi - une luxurieuse fantaisie d'examen médical par une de mes amies qui est gynécologue. Rien donc pour apaiser ma colère.

 

Lassée de cette comédie et pour lui montrer le bon chemin, je l'ai fait alors monter sur la balance. Et là, il craqué en m'avouant une terrible addiction au Haribo et plus particulièrement à la variété Polka.

 

J'ai aussitôt pris des mesures adéquates :

 

Georges-Henry va me chercher mes gants en latex et le pot de vaseline. Nous allons procéder à une purge salutaire pour ta santé.

 

Oh comme il sait se montrer réticent envers la médecine naturelle. Je comprend parfaitement l'aspect gênant de ce procédé, notamment pour un homme, mais il a dû prendre l'habitude de se plier littéralement à mes exigences. Il y a droit essentiellement quand je le sens de mauvaise humeur parce qu'on attend la visite de ma mère. Comportement qui m'irrite et qui se soigne parfaitement par un simple ou double emploi de l'eau glycérinée sans nécessiter le martinet. Et voila un Georges-Henry débarrassé d'une terrible pression... psychologique et ainsi toujours souriant devant sa belle mère. Elle pour sa part n'est pas avare de compliments et me félicite pour ses bonnes manières pendant qu'il nous porte le gâteaux et nous sert le café. Un bijoux cet homme...

 

...mais malheureusement pas ce jour-là !

 

Quand j'ai vu à quelle allure mon cher et tendre est revenu avec mes gants, j'ai commencé à me poser des questions. Et en observant son petit sourire en coin, le pot de vaseline en main, je m’attendais à une surprise de taille. Et effectivement, une fois dans la salle de bain je me suis trouvée devant un odieux acte de sabotage concernant notre matériel de lavement.

 

C'est à coup de martinet sur ses fesses que Georges-Henry a du rejoindre l'accoudoir du fauteuil sur lequel il a l'habitude de se pencher quand nous travaillons sur sa discipline. Un fauteuil soigneusement choisi au début de notre mariage par Monsieur, destiné à être le trône de son futur royaume du machisme. Sans compter toutefois sur mon caractère bien trempé. Alors ce trône est devenu vite le symbole de son déshonneur où il paye ses inconvenances. Et à lui de me faire une proposition pour se racheter.

 

Ayant un faible pour les maths, il se perds souvent dans des comptes les plus complexes. Tandis que moi j'ai plus tendance d'aller au feeling en observant la couleur des ses fesses et aussi en tâtant leur température.

 

J'aime beaucoup les coups de soleil sur la lune qui mettent longtemps pour s'éclipser.

 

Temps fort utile que George-Henry aime occuper pour atteindre son quota de participation au ménage. Enfin je lui suggère ce que j'attends et lui fraîchement puni s'applique sans discuter.

 

Ce jour-là son système de calcul s’avéra particulièrement astucieux. Un coup de martinet par tranche de cent grammes de prise de poids. Voila de quoi – rien qu'à l'idée - pour me donner mal au bras. De plus un rituel compliqué , commençant par une claque par fesse et montant en nombre à chaque changement de côté. Et patati et patata. Moi, j'en avais vite marre de le voir essayer de gagner du temps précieux.

J'ai compris, il y a déjà pas mal de temps que je suis au fond plus perverse que sadique. Alors avec moi la douleur vient en secours pour souligner mes autres actions éducatives. Mais quand j'administre une fessée c'est pour que l'on se souvienne.

 

Exaspérée par la mauvaise fois, j'ai alors posé le martinet et je suis allée chercher la canne que j'ai présentée devant un pale Georges-Henry. Instrument quelque peu rustre et peu glamour, mais d'une efficacité redoutable. Douze coups, enfin je crois, j'étais vraiment en colère, et voilà un beau spécimen de mâle, bientôt en rûte par les effets secondaires de sa correction, paré de superbes stries pour attiser le désir de sa femelle. Et comme je suis convaincue que l'alliance entre sévérité et tendresse livre les meilleurs résultats sur le grands garçons en manque de bonnes manières, je ne suis pas contre une troisième mi-temps le soir, pour reprendre l'ancien vocabulaire de mon mari.

 

En attendant et pendant que Georges-Henry prenne un bain de siège dans de l'eau froide, je profite pour ainsi finir cette histoire.

 

 

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Georges - Communauté : La fessée
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Lundi 24 décembre 1 24 /12 /Déc 14:53

Oh ce vilain Georges-Henry !

 

Vint d'abord le récit d'un nouveau tour en mon absence dans mon tiroir de lingerie pour s’imprégner de l'odeur de mes bas et de mes petites culottes. Avec cette fâcheuse tendance de se frotter ses parties intimes avec mes jarretelles pour leur aspect rugueux, mêlé de douceur satinée. J'ai beau à le punir, même avec la canne, il n'arrive pas à renoncer à ce vice.

 

Ayant été pendant longtemps engagée dans l'armée, en charge du drill de nouvelles recrues, je sais l’exercice hautement bénéfique pour combattre l’oisiveté. J'ai tenté donc dans le passé de faire marcher au pas mon mari pendant des longues heures. En lui apprenant, tant qu'on y était de saluer de manière impeccable on claquant ses talons. C'est un plaisir de le voir faire sienne cette discipline qui dénote tant de ses grands discours d'antan sur le ridicule de ceux qui se soumettent sans broncher à une autorité. Grâce à mon travail il admet enfin volontairement :

 

Tu avais raison, Éléonore. Il n'y a que le martinet qui me fait progresser !

 

J'ai cru comprendre, vêtue de mon tailleur uniforme, coupé au plus près de mon corps, d'attiser encore plus ses élan amoureux. Et imaginez mon étonnement quand il m'a audacieusement soufflé, le soir au lit, dans l'oreille si je ne comptais pas aller chez le coiffeur pour me refaire ma coupe à la garçonne que je portais à notre rencontre. Réveillant le souvenir de mes émois sensuelles quand il me passait la mains sur ma nuque parfaitement dégagée. Mais réveillant surtout ma terrible jalousie à chaque fois quand je l'ai cru contempler l'une de ces provocantes créatures à la longue chevelure flottante. J'ai compris alors des années plus tard ce qui l'avait tant séduit en moi.

 

Puis il m'a rappelé mon sifflet pour cadencer les exercices de mes recrues. Je n'ai pu m’empêcher de penser à tous ses jeunes hommes musclés qui transpiraient à grosses goûtes sous mes ordres. A mes tours d'inspection les plus imprévues dans les douches et vestiaires. Voir se dresser à porté de main et au garde à vous devant moi des beaux mâles nus de la tête au pied . Leurs yeux droit devant comme indique le règlement, tandis que moi j'inspectais sans la moindre gêne ce qui les distingue des filles. Je me souviens à quel point j'étais troublée quand je rejoignais mon lit et de mes inavouables fantaisies qui me harcelèrent. Car déjà à l'époque j'aurais bien aimé de pouvoir recourir à la discipline corporelle. Seulement je n'étais pas encore prête pour passer à l'acte.

 

Ceci me passant par la tête j'ai compris que Georges-Henry était le mari qui me fallait. Et pour parfaire mon bonheur, j’accepterais avec joie la mission de transformer aussi sa mollassonne bande de copains de foot en un bataillon de choc dévoué aux service des dames.

 

Malheureusement ma sentimentalité affectueuse fut gâchée par l'aveu d'un achat d'une revue sur papier glacé, dédiée à la gloire et au charme de dames sévères. Au premier abord c'est motivant et flatteur à la fois de savoir les rêveries intimes de mon homme s'imbiber de ses conditions de vie. Ce qui est nettement moins réjouissant ce sont les traces d'un honteux acte d'autosatisfaction étalés sur un bas de dos féminin, dépourvu de tout vêtement, étroitement lacé par un corset. Et quand je lui ai posé la question sur les raisons du choix de sa cavalière virtuelle, il m'a avoué une vénération particulière pour un bijoux que portait cette dame pour cacher de manière aguichante – et je pèse mes mots - l'endroit le plus honteux de son anatomie. L'endroit que je ne nommerai point et que j'expose d'habitude uniquement à mon esthéticienne pour une soigneuse épilation à la cire me garantissant une hygiène corporelle irréprochable même dans mes zones les plus reculées. Traitement que je trouve extrêmement agréable et qui m'a confirmé une forte sensibilité quelque peu gênante à admettre. En fait je me suis aperçue de ce caprice de ma nature car ma nervosité quand j'étais en train de punir mon époux m'envahissait toujours de ce côté-là. Je confirme donc, ce n'est pas une légende urbaine, le goût de la bonne discipline passe chez certaines personnes par la voie rectale.

 

Pour calmer ces drôles d'ardeurs j'ai essayé d'abord sans grand succès des lavements à la camomille. Puis en confiant mes mésaventures à une copine, elle a attiré mon attention sur ces choses, quelque peu obscènes, mais parfaitement étudies pour procurer une agréable détente de cet endroit, combinée avec un confort inégalé qui permet un port prolongé. Et depuis, parfois quand Georges-Henry me trouve particulièrement tatillonne et coincée dans mes attitudes, je me réjouis du soutien stimulant de mon achat.

 

Alors oui, ce jour-là, confrontée à cette dame sur papier glacé, je me suis sentie trahie dans mes secrets intimes.

 

A suivre...

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : La fessée
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Dimanche 23 décembre 7 23 /12 /Déc 11:31

Il a suffit d'un seul regard de ma part, pour arrêter Georges-Henry dans ses élans et j'ai su aussitôt que le moment d'agir était venu.

 

Et depuis il à dû apprendre, petit à petit, à se plier à mes principes d'éducation. Je garde toujours un souvenir ému de sa première punition au martinet. De voir mon tendre mari, rougissant de honte, baisser son pantalon, se plier sur le dossier de son fauteuil de foot et de recevoir - au lieu de sa habituelle bière et des ses éternel chips - une belle série corrective sur son auguste postérieur à faire honneur à un manuel d'éducation traditionnelle. Dommage qu'il n'y ait pas de groupes de supporteurs féminins qui se déplacent pour ce genre de spectacle, avides de ne pas louper la moindre miette. Filles décomplexées qui applaudissent claque coup à sa juste valeur et qui discutent le bienfait de l'éducation masculine. Compétitions internationales avec des messieurs, les shorts aux chevilles qui chantent l'hymne nationale de leur pays en exhibant la nudité de leur derrière avant de chanter l’internationale de ceux qui n'en peuvent plus tellement ils ont mal aux fesses.

 

Cette première correction avait eu un superbe impacte sur comportement de mon mari. Il s'est tenue au carreau pendant des semaines! Et il a suffit seulement que je mentionne de temps en temps le martinet pour qu'il cesse aussitôt tout genre de contrariété à mon égard.

 

J'ai trouvé cette expérience fort agréable et elle a largement alimenté mes petites rêveries en prenant une tournure qui me donna sueurs et frissons à la fois. Au point de me montrer particulièrement demandeuse de câlins conjugaux au grand étonnement et plaisir de mon mari. Sans manquer d'encourager dignement mon tendre époux à chaque fois :

 

Tu vois mon chéri comme les grands garçons sages m'inspirent. Il serait vraiment dommage que tu me déçoives par des incartades, non ?

 

Et lui, tout feu tout flamme comme à nos débuts, ne manqua pas de me souffler dans l'oreille :

 

Tu n'as qu'à me corriger sévèrement quand je le mérite, Éléonore.

 

J'ai pris alors pleinement conscience aussi qu'il me ne tardait rien de plus qu'un nouveau faux pas de la part de mon mari. Et qu'alternativement rien mis à part d'une conduite irréprochable de mon chéri ne s'opposait pour recommencer cette … jouissive expérience éducative.

 

A chaque fois que je décroche le martinet, je suis donc bouleversée par une multitude d'émotions contradictoires. Il y a une sorte de déception par exemple quand je me trouve devant un écart de comportement recourant, déjà puni à maintes reprises. Je me sens volée des fruits d'une longue et rigoureuse éducation. Situation qui sent de loin le roussi pour les fesses de Georges-Henry. Car c'est ma fierté et mon ambition personnelle qui se réveillent avec véhémence. Je me pose des questions sur mes méthodes punitives.

 

Quel entraînement lui faudrait-il pour éviter les récidives ? Quel nouveau châtiment appliquer pour mieux souligner mes exigences ?

 

Je me pose aussi -parfois inquiète, parfois amusée, parfois enthousiaste - des questions sur cette petite voix intérieure qui me suggère un règlement de plus en plus strict que Georges-Henry doit respecter scrupuleusement. Et bien que je sois une personne méthodique qui progresse généralement avec la tête au calme, dans ce contexte précis je me heurte à mes propres limites. L'idée de faire la fête au postérieur de mon homme me procure un effet de plus aphrodisiaque auquel je ne peux que difficilement mes soustraire. Car effectivement Georges-Henry avec l'éducation qu'il à déjà reçu de ma part, commencé à se montrer très friand d'apports réguliers de discipline comme d'autres se montrent très friands...

 

...de bonbons !

 

Le martinet en main, je marque un temps d’arrêt et j'essaye de pratiquer une fulgurante autocritique. Vaine tentative devant un envahissement de cette excitation, surgissant de partout et de nulle part que je ne saurais qualifier autrement à ma grande confusion que de nature profondément perverse. Impuissance avouée qui a pour effet de me mettre en colère. En principe contre moi, mais j'ai peur que cette dernière s'ajoute à mes ardeurs pendant la correction à venir et que ce soit le fessier de mon mari qui paye les frais comme on dit.

D'où mon habitude (ce n'est pas la première fois que je me sens aussi nerveuse) de confesser mon mari avant sa punition. Ce jour-là sa mauvaise conscience lui pesait particulièrement et j'ai ressenti son réel besoin de la soulager. J'ai appris alors bon nombre de méconduites, chacune à elles valant une correction exemplaire !

 

A suivre

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : La fessée
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Samedi 22 décembre 6 22 /12 /Déc 18:01

Il est temps alors pour moi de chercher le martinet et de le présenter à Georges-Henry.

 

C'est un acte annoncé à haute voix avec un regard droit dans le yeux de mon homme pour qu’il comprenne bien que j'attache grande importance de le maintenir sous un régime digne d'un adolescent de l'ère victorienne. Il a beau à me dire dans ses moments de révolte qu'il me trouve vieillotte, rien n'y fait . Imperturbable je lui explique qu'il fait selon ma conception du monde partie de ces grands garçons avec un besoin tout naturel de discipline et qu'il n'a qu'à demander avis à son deuxième cerveau, celui de la petite tête, se situant sous son caleçon et qui lui, plus perspicace que la raison de Monsieur approuve pleinement et surtout visiblement mes méthodes éducatives. Par conséquence à chaque fois que je désapprouve un comportement, je continuerai de descendre son pantalon aux chevilles pour lui appliquer une correction dont son derrière se rappellera pendant plusieurs jours. Devant tant détermination, il baisse ses yeux comme il se doit pour un garçon assez grand pour comprendre quelle service lui est rendu par ce traitement.

 

Parfois il essaye de marchander. Des longues argumentations pour obtenir le droit de garder son caleçon pendant ses punitions. Cela me fait rire de bon cœur, tellement je le trouve ridicule quand il m'expose son point de vu, les mains derrière son dos et en dansant d'un pied sur l'autre. Mal à l'aise dans sa peau et transpirant, en gouttant au délice tant convoité que je lui dise...

 

Non !

 

Il a dû passer des jours pour trouver tant de choses à dire pour renégocier sa pudeur. Alors pour faire durer le plaisir, je lui promets une décision pour le dimanche matin, journée de sa confession hebdomadaire et le plus souvent aussi de la « magistrale » comme il appelle affectueusement notre cuisante séance très intime qui suit ses confidences trop audacieuses.

 

Et croyez moi, un homme dans la force de l'âge ne manque pas de fantasmes insolites qui méritent punition.

 

Ceci dit jusqu’à nouvel ordre, ainsi est-il convenu, que Georges-Henry accueillera notre martinet familial par la nudité de son derrière.

 

Quand je quitte la pièce pour chercher le martinet, je ne me trouve pas devant l'inadmissible allure de certains grand garçons très mal élevés qui se moquent de la bonne discipline et surtout de celle qui se donne le mal de leur inculquer des manières irréprochables et qui fanfaronnent un

 

Même pas peur, même pas mal !

 

Pas que je veuille vanter particulièrement les qualités de mon homme. Non, je n'ai pas honte d'avouer que lui aussi fit partie de ces vilains garnements qui se réjouissent de leur propre insolence. C'est à force de corrections régulières que le germe du respect à pu trouver un terrain favorable. Voila donc ce que j'aimerais dire aux autres dames dans ma situation :

 

Ne vous découragez pas dans votre mission de disciplinaire.

 

C'est en appliquant une éducation sans faille sur des longues années que le comportement de votre mari s'affinera pour vous combler de bonheur et de fierté de votre travail. Étant donné que le mariage c'est pour la vie, le temps nécessaire ne vous manquez pas. Pensez-y et n’hésitez pas à établir votre autorité dès le début. Votre mari vous remercia plus tard pour vos efforts.

 

Quand j'ai parlé pour la première fois de mes aspirations d'introduire la discipline d'antan dans notre relation, Georges-Henry s'est ouvertement moqué de moi. D'abord par un long et interminable fou-rire, exprimant une arrogance masculine hors pair et insoupçonnée de ma part.

 

J'ai su garder ma patience en pensant :

 

Rira bien qui rira le dernier.

 

Sachant très bien qu'au font Georges-Henry n'étais pas un mauvais gars, seulement un en manque de repères sans le savoir lui-même. Un terrain propice donc qui vaut le coup de le labourer.

 

Pendant sa phase de rébellion contre l'introduction du martinet dans notre foyer, il a manque de peu un soir, porté par la bière et par une victoire sportive, qu'il pousse le vice pour partager le sujet avec ses copains des soirées foot en me rendant ainsi la risée de la bande.

 

Il a suffit d'un seul regard de ma part, pour l’arrêter net dans ses élans et j'ai su aussitôt que le moment d'agir était venu.

 

A suivre...

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Vendredi 21 décembre 5 21 /12 /Déc 21:03

                                              éléonore      

 

 (Dessin de mon ami Georges) 

 

La perspective de pouvoir me passer les nerfs sur la peau des fesses de mon mari me procure un intense plaisir.

 

Autant cérébral que charnel. J'éprouve un véritable fourmillement entre mes cuisses, parfois même des « sueurs » soudaines à cet endroit si particulier et sensible aux émotions. Bien naturellement cette faute incombe mon cher mari et rien que pour me mettre dans ces états-là il mérite sa correction. Bref, le rôle de la mère fouettarde me convient à la merveille. Et - soyons honnête - je guette avec délice les moindres faux pas de mon grand garçon. Avec moi il n'est jamais privé de martinet.

 

Après avoir soigneusement huilé les lanières de ce dernier pour augmenter la force et la précision de « frappe », j'ai décidé de me changer. Pour impressionner un grand garçon il ne suffit pas uniquement de lever la voix. Selon mes expériences une tenue de circonstance augmente significativement l'effet éducatif. A ce propos j'ai eu les meilleurs résultats avec une allure austère. Adapté à notre époque et plus précisément encore aux fantaisies récréatives de Georges-Henry. Sans nullement tomber dans le cliché de la dominatrice tout cuir. Seule fantaisie pour rehausser ma présentation, je joins à ma jupe plissée et mon chemisier très près du corps une paire de bottines à lacets. Ces dernières sont une véritable merveille bien que l’entretien se révèle fastidieux. Et pourtant j'adore les voir briller dans le moindre coin. Pour ce je recours à une solution simple et efficace. C'est monsieur qui s'en charge après des grandes corrections comme tache supplémentaire. Et il s'applique comme j'ai pu constater avec véritable ardeur. Il me semble même qu'il en redemande. Bref, impeccable mes bottines pour en faire pâlir de jalousie mes copines.

 

Quand George-Henry est rentré à la maison, il avait un air coupable et j'ai aussitôt conclu que ses cachotteries ne se limitaient pas seulement aux bonbons. Il est vrai que j'exerce une tutelle très sévère à son égard et je lui impose nombreux interdits. Il me semble donc un peu compréhensible qu'il essaye d'échapper à la pression quand l'occasion se présente. Dans ce sens j'alterne entre attitude bienveillante pour ce que je considère comme fautes mineures et recadrage exemplaire pour les comportements qui me tiennent à cœur.

 

Ce soir-là, intriguée par son regard fuyant, je l'ai envoyé d'abord sous la douche pour se présenter ensuite tout nu devant moi pour une sérieuse discussion. Cela veut dire que c'est moi qui pose des questions et que c'est lui qui doit se montrer coopératif sous peine de punitions supplémentaires. La différence dans nos présentations respectives, moi habillée, lui nu comme un ver, établit le plus naturellement possible un agréable rapport d'autorité.

 

Pour commencer je procède à un soigneux examen de la qualité de son travail, veut dire sa propreté.

 

Je glisse mes mains sur ses parties intimes, cette fierté masculine, jusqu'à ce que j'obtienne son respectueux garde-à-vous pour saluer mes efforts.

 

Je prend beaucoup de temps laissant marronner mon mari avec sa mauvaise conscience. C'est une action qui paye car ses aveux vont autant plus loin dans la mesure que j'arrive à augmenter son malaise. Pour ce rien de mieux que de se fier au maître de la confession, Jean-Jacques Rousseau en personne et dont l'évocation du seul nom suffit pour faire rougir Georges-Henry comme un adolescent inexpérimenté devant sa gouvernante.

 

En effet quand je me suis aperçue à quel point l'inspection de son arrière porte mettait à vif sa sensibilité s'exprimant par une intonation très particulière de sa voix, trahissant ainsi un profond trouble, je n'ai pu m’empêcher de trouver des supplices supplémentaires concernant cet endroit stratégique par lequel dit-on passe la discipline. Alors je lui ai fait apprendre par cœur pour me citer à haute voix selon mes humeurs quelques réflexions concernant Mademoiselle Lambercier. De préférence l'épisode de Turin en m'exposant comme dit dans le texte l’objet ridicule :

 

Ce qu'elles voyoient n'était pas l'objet obscène, je n'y songeois même pas ; c'était l'objet ridicule. Le sot plaisir que j'avois de l'étaler à leurs yeux ne peut se décrire. II n'y avoit de là plus qu'un pas à faire pour sentir le traitement désiré, et je ne doute pas que quelque résolue ne m'en eût, en passant, donné l'amusement, si j'eusse eu l'audace d'attendre.

 

Et bien contrairement aux aventures du célèbre philosophe, pour ma part tant d'audace impudique de la part d'un homme envers une dame, ne puis se concevoir impunément.

 

A suivre

 

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Georges - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Vendredi 21 décembre 5 21 /12 /Déc 18:26

Dans notre couple c'est mon époux Georges-Henry qui porte les pantalons. Littéralement ! Précision nécessaire, car sans le moindre rapport avec le sens transposé. Dans notre quotidien c'est moi qui les acheté pour lui, fait déjà révélateur en soi et c'est moi aussi qui les lui baisse quand je ne suis pas satisfaite des ses comportements.

 

Georges-Henry tu me mets encore dans l'obligation de te corriger...

 

Couple très uni et quelque peu nostalgique, nous avons su garder une place pour le bon vieux temps quand les châtiments corporels étaient encore à l'ordre du jour pour grand garçon en manque de bonnes manières.

 

Il en va de soi que son caleçon aussi est descendu aux chevilles. Parfois c'est moi qui s'en charge, d'autres fois Georges-Henry est appelé d'accomplir cet acte lui-même sous mon regard amusé. Je vois bien à quel point cela le gêne et une bonne partie de mon plaisir consiste dans le fait de me faire obéir. Il est assez inhabituel de nos jours pour un homme de se montrer dans une telle posture, si peu glorieuse et de se faire rappeler que le martinet fait encore intégralement partie de sa vie. Cependant il lui arrive, déjà déculotté pour recevoir sa correction, d'essayer de marchander le coté impudique de sa peine.

 

Éléonore, je t'en prie...

 

Soulignant ses troubles et sa honte par une belle rougeur de ses joues. Malheureusement pour lui, je reste intraitable.

 

Non, nous avons déjà abordé le sujet. Jusqu'à nouvel ordre une bonne fessée s'applique cul nu chez nous !

 

Et je ne vois aucune raison pour qu'un adulte bénéficie d'un traitement de faveur à ce niveau. Pour moi la honte fait autant partie de la punition que la douleur.

 

Ce n'est pas mon mari qui va me contredire quand je l’envoie après son châtiment au coin pour que ces globes rouges prennent de l'air. Cette éducation traditionnelle lui réussit bien et rien que l'évocation d'une bonne séance de discipline stricte suffit souvent pour le rappeler à l'ordre. Il me semble qu'il a compris son besoin de fermeté féminine quand il le faut. Ce qui n'exclue pas la tendresse quand il a sagement payé pour sa faute et ainsi mérité mon pardon.

 

Au début il avait un peu de mal à s'y faire. Mais ma détermination et ma persévérance ont porté leurs fruits. Bien sur, il ne fait pas fier quand une magistrale correction lui pend au nez et il ne se vante pas non plus devant ses copains des méthodes que je lui resserve. Par contre il me fait des jolies confidence sur l'oreiller :

 

Merci pour ta sévérité, Éléonore. Je t'aime.

 

Dernièrement je me suis aperçue que mon mari avait de plus en plus de mal pour rentrer dans ces pantalons. Cette prise de poids m'était inexplicable et malgré ma surveillance de sa façon de s'alimenter et

d'intenses séances de sport en ma présence, rien n'y fit.

 

Puis en vidant les poches d'une de ses veste, avant de la porter au pressing, j'ai enfin trouvé la clef de l'énigme.

 

Des bonbons !

 

Visiblement mon homme se moquait ouvertement de ma bonne cuisine diététique pour se gaver en cachette d'ignobles produits de sucrerie. Largement de quoi pour me mettre en colère.

 

Ah si j'avais eu à ce moment là Georges-Henry sous mes mains. Malheureusement pour moi et heureusement pour lui, il était encore au travail. Je n'ai pu m’empêcher de lui envoyer un SMS :

 

Chéri, prépare tes fesses pour ce soir. J'ai à te parler sérieusement.

 

A suivre

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Vendredi 21 décembre 5 21 /12 /Déc 09:25

Je remercie d'abord toutes les personnes qui lisent encore ce blog, malgré une très longue inactivité. J'aimerais rééditer ici pour le fêtes quelques uns de mes textes récents. Car le but de ce blog c'est de ressembler au fil des années toutes mes fictions et anecdotes romancées disponibles ou devenues indisponibles sur le net.

 

Je souhaite commencer par un récit qui vient de mon blog principal, régulièrement mis à jour :

 

Besoin de discipline domestique

 

Ce sont les aventures d'un couple, Éléonore et Georges-Henry qui vivent à leur façon une relation de discipline domestique dans laquelle c'est Madame qui impose ses idées de bonnes manières. Sans rapport avec ma propre vie, je me laisse aller au gré de mes fantasmes et surtout au gré des éléments apportés par le courrier que je reçois.

 

Il me serait possible d'écrire d'autres épisodes pour ce feuilleton, mais tout dépend du nombre de lectures et éventuellement des commentaire.

 

Par isabelle183 - Publié dans : Editorial - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Lundi 9 avril 1 09 /04 /Avr 20:47

 

Je remercie toutes les personnes qui viennent encore me rendre visite ici, mais il y a peu de chances que je reprenne l’écriture de ce blog dans un avenir proche. 

Je me suis faite rare sur le net pendant longtemps, car ma vie de tous les jours ne m’a pas offert la possibilité de suivre une entreprise aussi régulière que la mise à jour d’un blog. 

Puis je retrouve des moments pour moi et je me suis tournée depuis quelques semaines vers un nouveau projet. Evidement en rapport avec la fessée. Bien que compatible avec ce blog qui a fait largement ses preuves,  j’ai préféré après longue hésitation une autre plateforme pour un surplus de possibilités techniques.

J’y parlerai avant tout de fessées punitives et disciplinaires entre adultes !

Et il y  des « nouveaux récits isabelle183 », puis des rééditions de textes qui ne sont plus disponibles sur le net depuis plus d’une année comme mon « Eloge de la Strape » ! 

Voici donc l’adresse de ma résidence secondaire :

 

Besoin de Discipline Domestique

 

Par isabelle183 - Publié dans : Editorial - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Lundi 9 avril 1 09 /04 /Avr 20:19

Suite de : Odile 1 (Une fessée pour la belle sœur ; Un récit d’Alain)

C’en était trop, il y avait trop longtemps que je supportais ses sarcasmes depuis que je fréquentais Sylvie … tant pis pour elle … et puis fière et orgueilleuse comme je la connaissais, j’étais sûr que cette « mégère » n’irait pas se vanter de ce qui allait lui arriver … je me dirigeai vers elle, montais les quelques marches de l’escalier me séparant d’elle, la saisissais par la taille, me penchais en avant et la chargeais comme un sac sur mon épaule et descendant l’escalier, je l’entraînais vers le salon-salle à manger, malgré sa résistance, tandis qu’elle manifestait son mécontentement en battant des jambes, me tapant sur les épaules et me traitant de tous les noms d’oiseaux qu’elle connaissait … en quelques pas, je me trouvais à proximité d’une chaise que je tirais par le dossier et amenais au milieu de la pièce, avant de descendre Odile de mon épaule, mais sans lui laisser le temps de poser les pieds au sol, je la tenais toujours par la taille courbée sous mon bras gauche, m’installais sur la chaise, courbais et renversais ma chère « future belle sœur » à plat ventre en travers de mes genoux où elle se retrouvait toujours ceinturée à la taille, la tête pendant sur la gauche, les jambes sur la droite, le derrière dans sa robe bien en l’air, la maintenant au niveau des cuisses de mon autre bras :

« La première fois que j’ai fessé  Sylvie,  cela la fit rire se vantant que ça ne lui faisait pas mal … alors je lui ai retroussé sa jupe afin que ça claque mieux … la fois suivante, elle s’est vantée que mes fessées ne l’impressionnaient pas … alors j’ai encore retroussé sa jupe, mais je lui ai aussi baissé collant et culotte … »

Pendant toutes ces explications, Odile se tortillait en tout sens, contestant ce qui l’attendait, battant des jambes, cherchant même à protéger des deux mains le fond de sa robe, faisant sonner et teinter clochettes et grelots de sa ceinture de sa robe … j’en profitais pour lui saisir les poignets, lui rabattre les deux mains au creux des reins, poursuivant ma sentence :

« Pour toi ma chère, je vais faire mieux et passer immédiatement au stade supérieur d’une petite fessée … je vais aussi te baisser collant et culotte pour te montrer qu’ il n’est pas trop tard pour recevoir une bonne fessée cul nu ! »

Et joignant le geste à la parole, de la main droite, moi qui suis droitier, dommage pour elle, je retroussais sans grand mal sa robe au-dessus de ses reins et découvris avec surprise qu’Odile était beaucoup plus coquine que Sylvie car elle portais bas, porte-jarretelles et culotte noirs, plutôt qu’un collant … j’avais beau la tenir fermement plaquée contre mes cuisses, c’était une véritable furie qui se débattait, disant n’importe quoi, criant vengeance et ou promettant d’être sage, de ne plus recommencer, sans m’attendrir je tirais sa mini culotte qui cachait si peu de ses fesses vers le bas, voulant la lui baisser jusqu’à ses genoux ... mais l’élastique de la ceinture se prit dans les jarretelles … mais bien décidé,  je ne pus quand même le baisser aussi bas que je le souhaitais, dépassant cuisses et chevilles gainées des bas nylon noirs, poussant le bon goût pour moi, mais mauvais pour Odile, une fois la minuscule culotte baissée jusqu’à ses chevilles, de lui faire franchir les escarpins, de la laisser tomber au sol et de faire ce commentaire :

« Comme ça tu pourras battre des jambes autant que tu voudras … et c’est vrai que toi aussi tu as une bonne paire de fesses … crois moi, je vais te les faire regretter !!! »

A ces mots, instinctivement Odile serra, contracta ses fesses et résignée, attendit, abandonna sa résistance, penchée en avant d’un côté, jambes tendues,  ses escarpins plantés sur le parquet de la pièce, fesses tendues et serrées, derrière généreusement offert, que je ne manquais pas de contempler … et de tapoter pour en tester la fermeté … ma main libre se leva et claqua la fesse droite et la fesse gauche, arrachant deux « aïe » à Odile dont le corps se tendit et les jambes se replièrent sur les cuisses gainées de nylon … encouragé par ce premier test et sachant ce que ce derrière généreux pouvait supporter,  je faisais crépiter sur le derrière laiteux d’Odile plusieurs dizaines de claques bien assénées, claquantes et cuisantes pendant de longues minutes … d’une fesse à l’autre … sourd aux protestations de sa propriétaire, à ses « aïe », ses « ouille », la pièce résonant des claques de cette fessée crépitant sur un derrière nu et des tintements des clochettes et grelots de la ceinture de la robe … Odile battant des jambes et gigotant dans tous les sens … ses cris de douleur et de rage furent entrecoupés de sanglots et Odile ne se débattant plus, je lui lâchais les poignets et la maintenait fermement par la taille, puis par la hanche droite … au fur et à mesure que la paume de ma main s’abattait sur les fesses de moins en moins fermes et de plus en plus rouges, le derrière de la punie se tendait entre chaque claque vers moi comme pour mieux m’encourager à fesser sa propriétaire … quand son derrière fut devenu bien écarlate, estimant la fessée suffisante, je poussai Odile hors de mes genoux et elle se retrouva à genoux sur le tapis, la robe toujours au dessus de sa taille … pleurant à chaudes larmes … son maquillage coulant avec ses larmes … au bout de quelques minutes d’attente, je lui conseillai de sécher ses larmes, de remettre de l’ordre dans sa tenue et de se refaire une beauté, car nous avions de la route à faire pour rejoindre la famille.

Sans prendre soin de rabattre sa robe, Odile se releva et se pencha pour récupérer sa culotte, ce qui me permit d’avoir une vue plongeante sur ses fesses dont le rouge tranchait avec le noir de la lisière de ses bas montant haut sur ses cuisses ….Odile se précipita vers sa chambre et grimpa rapidement les escalier l’y conduisant, sans oublier de se frotter à deux mains les fesses … j’attendis un peu, mais pas trop … j’entendis de l’eau couler dans la salle de bains … Odile devait se rafraîchir le derrière dans le bidet … enfin, elle réapparut les yeux encore rouges, mais remaquillée et vêtue d’une manteau et un petit sac de voyage à la main.

Dans la voiture, je rompais la glace car Odile était muette, me fuyant du regard …

« J’espère que cette fessée te servira de leçon … sinon la prochaine fois je te fesse en public et un public uniquement féminin avec ta sœur et toutes vos cousines rassemblées … »

Depuis Odile ne m’a plus jamais cherché ou embêté … elle ne cherche plus et n’embête plus Sylvie aussi … elle s’est mariée … elle est toujours aussi infernale avec les autres, sauf Sylvie et moi, car je ne pense pas que son mari a su la prendre en main… au sens propre comme au figuré !!! 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Jeudi 20 janvier 4 20 /01 /Jan 12:31

Quand j’ai commencé à sortir avec Sylvie, elle m’a présenté sa sœur aînée Odile et  j’ai pu rapidement découvrir qu’Odile était une véritable « petite peste »,  se plaignant, critiquant tout et tout le monde, si bien, qu’exaspérée, Sylvie me confia un jour : 

« Tout ce qu’elle mériterait, c’est d’avoir un copain qui lui donne une bonne fessée jupe retroussée et culotte baissée de temps en temps! Heureusement pour elle qu’elle ne sort pas avec toi, car quand je pense à celles que tu me donnes et que je reçois depuis que nous sommes ensemble !!!! »

Les semaines et les mois  et des années passèrent et un jour, Sylvie me laissa seul sur place, devant rejoindre ses parents à leur maison de campagne familiale, me demanda d’attendre qu’Odile rentre de son travail et de venir en fin de journée les rejoindre avec elle. Je restais moins d’une petite heure à attendre Odile qui finit pas arriver, un peu plus tard que je l’attendais et je l’invitais à se dépêcher pour préparer ses affaires pour que nous puissions prendre la route et rejoindre tout le monde pour le week-end, la nuit arrivant assez vite en cette période hivernale.

Odile manifesta rapidement sa mauvaise humeur et son mauvais caractère en me faisant attendre dans le salon tandis qu’elle s’enfermait dans sa chambre pour en somme faire un tout petit sac de voyage avec seulement quelques vêtement pour uniquement deux jours d’absence … elle sortit, une première fois, tandis que je l’attendais patiemment assis, bras croisés, dans le canapé, pour me jeter une revue de mode sur les genoux en me disant : « Essaie de lire cela car ça va être long !!! »

Puis elle ressortit une deuxième fois pour me réclamer du feu pour fumer une cigarette, alors qu’elle savait très bien que je ne fumais pas, ce qui ne l’empêcha pas de me dire :

« Ce n’est pas parce qu’on ne fume pas qu’on ne doit pas avoir du feu pour sa « peut-être » future belle-sœur !!! »

Elle trouva un briquet dans la cuisine et fuma sa cigarette dans le salon où je me trouvais et quittant la pièce pour retourner dans sa chambre, elle me jeta le briquet en me disant :

« Garde le … au moins la prochaine fois que je te demanderai du feu, tu en auras !!! »

Elle était repartie en écrasant mal sa cigarette qui rapidement se consuma et empesta l’atmosphère  du salon, ce qui me fit me lever pour l’écraser, vider le cendrier et aérer la pièce car je pensais bien que j’en avais encore pour de longues dizaines de minutes à attendre « mademoiselle » !!!

Je sentais monter en moi une certaine impatience et aussi nervosité, quand elle ressortit de sa chambre, ayant changé de tenue, portant une robe d’automne dont la ceinture consistait en une chaîne garnie de clochettes, tintant au rythme de ses déplacements … semblant chercher quelque chose et en vue de gagner du temps et aussi de détendre l’atmosphère, je lui demandais ce qu’elle cherchait, ce à quoi elle me répondit :

« Ma cigarette … qu’en as-tu fait ? je suis sûre que tu l’as jetée … je ne l’avais même pas finie … ça se voit bien que tu ne fumes pas et que tu n’en achètes pas !!! »

Je lui répondis qu’elle devait se calmer, être un peu plus aimable et pas seulement avec moi, mais avec tout le monde car sinon une fois de plus le week-end allait une fois de plus être gâché … ce à quoi elle me répondit :

« Si tu voulais des week-ends plus calmes, tu n’avais qu’à pas sortir avec ma « petite » sœur et te choisir une autre  fille sans  grande sœur  !!! »

 

N’y tenant plus, je m’approchais d’elle de très près et les yeux dans les yeux, je lui annonçais :

« A bientôt trente ans, mais tu es vraiment une petite peste et je crois bien que Sylvie a raison quand elle dit qu’une bonne fessée de temps en temps te ferait le plus grand bien !!! »

… cela la fit sourire … tandis que j’ajoutais :

« Sylvie m’a déjà testé avec ses caprices, ses colères, ses sautes d’humeur, ses dépenses, mais après quelques bonnes fessées reçues jupes retroussée, allongée sur mes genoux, elle s’est vite calmée !!! »

Debout bras croisés, me fixant depuis l’escalier menant à sa chambre, Odile me lança :

« Eh bien, j’aurais voulu voir cela ma chère petite sœur, jupe retroussée à 25 ans recevoir une fessée comme une gamine !!! Moi aussi, comme elle, j’ai aussi une bonne paire de fesses, fermes et musclées par le footing et la natation et ça  ne me fait pas peur !!! Tu risques même d’avoir mal aux mains avant que j’aie mal aux fesses !!! » 

A suivre… 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Mercredi 12 janvier 3 12 /01 /Jan 11:16

Suite de : Un martinet pour isabelle 2 (Une BD de Zerte)

Fallait y penser. Je savais que l’escabeau joue un rôle important dans les jeux de soubrette pour permettre des aperçues de plus incandescentes. Par contre la fessée sur un escabeau m’est toute nouvelle.

 

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A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Zerte - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Mardi 4 janvier 2 04 /01 /Jan 00:16

Début de l’histoire

 

 

Ca m’a fait chaud au cœur  d’apercevoir l’autre jour le martinet dans votre cuisine, isabelle.

 

(Ne te mêle pas de nos affaires vielle bique !)

 

Après tout je suis une femme adulte et ma vie intime ne regarde pas la voisine. Mais au lieu de lui parler de cette dernière manière, c’est encore ma méchanceté gratuite qui me traverse en premier l’esprit. J’ai horreur de ce trait de mon caractère. Heureusement on y travaille !

 

La tolérance zéro dont fait preuve mon homme quand il s’agit d’insultes ou d’insolences de ma part est bien entrée dans ma petite tête. Je constate avec satisfaction que je ne me suis pas emportée devant la vieille dame. Il y a une grande fierté qui s’empare subitement de moi et enivrée de cette victoire personnelle sur mon mauvais caractère, j’oublie de maintenir mes gardes. M’enfin, rien de nouveau. Des gaffes, je sais en faire de long et de large.

 

C’est drôlement efficace, un martinet !

 

Un peu confuse, j’essaye de rattraper le coup.

 

Ce n’est pas ce que vous pensez…

 

Ma tentative maladroite n’échappe pas à la voisine. Et elle me répond sur un ton auquel je ne m’attendais pas, presque maternel et sans la moindre moquerie :

 

Soyez sans crainte, isabelle. J’ai bien compris qu’il ne s’agit pas d’un simple jeu pour pimenter vos soirées à la campagne.

Il me semble tout-à-fait naturel qu’une jeune femme peut encore éprouver le besoin de punitions au martinet. Une bonne fessée de temps en temps, ça peu faire un bien fou. N’est-ce pas ?

 

Je me fais toute petite sur mon banc si dur. Mais étrangement je me sens très bien d’être comprise à ce point. La voisine, maintenant pleinement dans la confiance, ne peut pas s’empêcher de laisser libre cours à sa curiosité.

 

Ca vous gêne pas de devoir montrer à tout le monde que la bonne, vieille déculottée est toujours d’actualité pour vos fesses ?

 

Mon homme y tient. Il trouve que cela augmente l’impacte pédagogique.

 

Comme il a raison. Décidément votre mari a beaucoup de qualités à mes yeux. Et vous, qu’en pensez-vous ?

 

Je suis …flattée par ses mots. Les choses me semblent si simples en compagnie de la vielle dame. De la compréhension qui ne prends pas mon chéri pour une brute envers sa petite femme. Bienvenue au pays d’antan de la fessée.

 

Nous sommes nouveau dans ce coin et nous connaissons quasiment personne. …d’un côté le martinet dans ma cuisine me dérange quand nous recevons de la visite. De l’autre, je suis toujours troublée quand un regard s’attarde sur mon martinet.

 

Pas plus que les personnes qui regardent ! Moi aussi j’étais troublée quand je l’ai découvert chez vous. Entre nous, mon mari aussi affectionnait le martinet. Il m’est arrivé de le recevoir – quand mon comportement laissait à désirer - dans la cuisine pendant que nos invités attendaient au salon. Vu le bruit, ils se doutaient bien de ce qui se passait. Je garde de ces fessées mes souvenirs le plus intenses.

 

Là, je suis vraiment épatée de cette femme. Aucune allusion aux souvenirs d’enfance. Puis, on ne s’imagine souvent pas qu’une personne d’un certain âge puisse encore être troublée. Et encore moins qu’elle fasse des confidences de ce genre…

 

Depuis ce jour, mon éducation traditionnelle que je croyais sur une si bonne voie, commence à me faire défaut quand il s’agit de la voisine. Je me trouve de plus en plus insolente envers elle. Pourtant, il n’y a pas d’autre mot, je l’adore et j’aime beaucoup passer du temps avec elle. Puis hier je ne sais pas ce qui m’a pris. J’étais en train d’étendre du linge. A cet endroit du terrain il y a une vu sur le jardin de la vielle dame. Elle était en train de papoter avec une copine de son âge et les deux me regardaient d’un air amusé. Je n’ai pu m’empêcher de leur tirer la langue. C’est là que j’ai compris. Je cherche à recevoir une fessée devant elle.

 

A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : La fessée
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