Mardi 28 décembre 2 28 /12 /Déc 13:49

Suite de : Un martinet pour isabelle 1 (Une BD de Zerte)

 

Voici ce qui arrive quand la quincaillère prend les affaires en main !

 

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A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Zerte - Communauté : La fessée
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Vendredi 24 décembre 5 24 /12 /Déc 15:16

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J’aime beaucoup les cadeaux utiles. Cela contraste bien avec ma futilité habituelle. Il est déjà arrivé que je trouve sur le sapin de Noël un bel instrument pour parfaire mon éduction. A vrai dire cela me touche beaucoup. C’est la meilleure expression de la part de mon homme pour me montrer à quel point il prend mon monde fantasmatique au sérieux… 

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Zerte - Communauté : La fessée
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Mercredi 22 décembre 3 22 /12 /Déc 13:50

Est-ce que la fessée reçue d’une main féminine quand on est adulte, à plus de 40 ans a plus ou moins d’effet qu’une fessée reçue adolescent à l’âge de 15 ou 6 ans … j’avoue que ce n’est pas comparable, car les circonstances sont souvent différentes … en effet, adolescent, j’ai été fessé par une voisine pour avoir regardé sous ses jupes, alors qu’elle montait dans les escaliers et la fessée qu’elle m’a administré, déculotté et renversé en travers de ses genoux, a été plus une correction, une punition, qu’un jeu ... de même la fessée reçue de la main de ma tante-professeur, là encore déculotté et couché sur ses genoux, avant d’entrer en classe de seconde parce que je refusais d’effectuer des révisions d’été avait été aussi une bonne correction dont mon derrière garda une brûlure toute l’après-midi !!! 

Tandis que celle reçue à 42 ans de la main d’une complice en jeux de fessées a été à la fois une punition, une initiation et une révélation …

 

Ayant fait la connaissance via internet d’une dame d’une quarantaine d’années, amatrice et je devais le découvrir plus tard, grande consommatrice de fessées, je dirais même gourmande de fessées, nous avons convenu après une longue correspondance via internet, une rencontre informelle pour mieux faire connaissance, de nous retrouver un samedi après-midi pour nous adonner à notre passion commune. Lorsque je suis allée l’accueillir dans une gare parisienne et que je l’ai vue arriver, j’ai compris qu’elle avait mis tous les avantages de son côté pour me décider à la fesser, car si jusqu’à présent j’avais fessé des fessiers féminins dont la taille flirtait avec le 40, 42, je craignais qu’un derrière de taille 36-38 puisse mal amortir une bonne fessée … je me trompais …

 

La dame est donc arrivée vêtue d’un tailleur noir, les jambes gainées de lycra clair et chaussée d’escarpins. Nous nous sommes rendus dans mon petit studio parisien et avons convenu des règles du jeu avant de commencer : pas d’attouchements sexuels, définition d’un mot code pour cesser, … une fois tout ceci fixé et acté, la dame n’étant pas réticente à recevoir une bonne fessée, jupe retroussée et culotte baissée, elle s’est allongée en travers de mes cuisses et après s’y être bien installée, j’ai entrepris le retroussage de la jupe cintrée du tailleur pour la lui rabattre sur la taille et découvrir qu’elle portait des bas et une ravissante mini-culotte que je lui fis glisser jusqu’aux plis des genoux, déculottant un ravissant petit derrière, hâlé et légèrement potelé, ce qui me fis un peu hésiter car dans le passé j’avais eu plusieurs fois l’occasion de fesser une autre complice avec un tel fessier, mais celui-ci sous les claques bleuissait plus qu’il ne rougissait !!!

 

 

La maintenant fermement par la taille, je la vis croiser pudiquement ses chevilles, faisant crisser ses bas lycra et sans lui demander si elle était prête, voyant ses fesses se contracter, je commençais à la fesser énergiquement, alternativement d’une fesse à l’autre, ma main rebondissant allègrement d’un globe à l’autre. De temps à autre, je m’arrêtais pour vérifier de l’efficacité de la punition et aussi pour entendre si la dame avait quelque chose à me dire, car cela faisait plusieurs minutes, donc plusieurs dizaines de paires de gifles que je lui claquais la croupe, lorsqu’elle me fit cette réflexion :

 

 « Si tu penses m’impressionner avec une toute petite fessée de rien du tout, il va falloir que tu apprennes comment fesser une dame ! »

 

 

Ebahi, je m’arrêtais et la dame en profita pour se relever. Une fois redressée, elle enjamba sa minuscule culotte dont elle se débarrassa, rebaissa sa jupe sur ses cuisses, me fis lever et s’assit à ma place. Une fois assise, elle me fit signe de l’index de l’approcher par la droite et une fois à sa portée, elle desserra ma ceinture de pantalon, le déboutonna, en baissa le zip et baissa mon slip à mi-cuisses, avant de me faire signe de me baisser et de m’installer à mon tour sur ses genoux ; hésitant, elle m’attrapa le bras et me fis pivoter d’autorité en travers de ses cuisses et je me retrouvais la tête en bas et les fesses à l’air et en l’air sur ses genoux où elle entreprit immédiatement de me fesser … avec des claques énergiques et fermes, attaquant mes fesses tantôt par le haut, tantôt par le bas, accélérant son rythme; elle s’arrêtait de temps à autre comme pour contempler son ouvrage et le commentant, tandis qu’à la fois surpris par cette fessée, je tentais de lui manifester à la fois mon refus, mais aussi ma douleur car elle savait bien claquer un derrière, mais rien n’y faisait, elle reprenait la fessée … au bout de longues minutes et de dizaines de claques, je me surpris à la supplier d’arrêter, ne sentant plus mon derrière ou plutôt sentant mon derrière me brûler, battant des jambes comme un gamin, empêtrées dans mon pantalon baissé, mais rien n’y faisait … enfin elle s’arrêta, m’invita à me relever, à remettre de l’ordre dans ma tenue et m’invita à la fesser comme elle venait de me l’apprendre, avec la menace qu’elle recommencerait si elle n’était pas satisfaite !!!

Je me suis donc assis sur la chaise, le derrière brûlant, douloureux et sans lui laisser le temps, l’ai renversée sans ménagement en travers de mes genoux, lui retroussant sa jupe sous laquelle ses fesses m’attendaient nues et lui ai administrée à mon tour une magistrale fessée, claquante et cuisante, qui lui fit battre des jambes, tandis qu’elle cherchait désespérément à se protéger ses rondeurs d’une main que je rabattis dans son dos, poussant des cris de douleur non feints, tandis que j’appuyais fermement chaque claque dont le bruit crépitait dans le studio et par un coup d’œil indiscret, car elle m’exposait son intimité, je vis que la « belle » semblait apprécier cette fessée, une rosée de plaisir étant apparue sur sa toison brune ; je la fessais avec tant d’énergie que j’en avais mal à la paume de ma main … la fessée se termina alors qu’elle était vautrée en travers de mes cuisses, le derrière cramoisi et  meurtri, récupérant pendant de longues minutes, exposant ses fesses rouges sous mon visage !!!

 

L’après-midi se termina autour d’un café qu’elle prit, assise du bout des fesses sur le canapé, les fesses directement à même le tissu des coussins, avant qu’elle s’inquiète de retrouver et remette sa culotte avant de me demander de la raccompagner à la gare et surtout de fixer une date pour un prochain rendez-vous.

 

(Contacter l’auteur)

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Lundi 20 décembre 1 20 /12 /Déc 17:38

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Voici une nouvelle BD de Zerte qui met en relief un sujet qui inspire beaucoup mes petites rêveries :

 

L’acquisition d’un martinet dans une quincaillerie.

 

Pour moi c’est en quelque sorte la sortie du martinet du placard par la grande porte. Et bien évidement dans mes rêveries le commerçant ou de préférence la commerçante se comporte d’une manière de plus complice en donnant de précieux conseils d’éducation pour grandes filles. En s’adressant à mon homme. Cela va de soi. Signe de considération de la fessée non pas comme un simple jeu coquin entre adultes, mais comme une rigueur de vie malheureusement trop négligée de nos jours. Sorte d’éloge à la discipline sans faille dont le martinet est le garant…

 

Avant de venir en France je ne connaissais pas ce genre de magasin. Il a fallut que mon homme m’y amène. C’était un dépaysement total, la porte d’entrée d’un monde d’antan. Et le martinet en semblait faire partie tout naturellement. Vu le nombre de modèles proposés qui se distinguaient l’un de l’autre par la qualité de leurs lanières. On aurait dit des pièces uniques. Le choix, infiniment plus grand qu’au rayon animalier d’un supermarché, étant difficile, nous avons pris notre temps. Sans être dérangés par des conseils de vente ou des propos mal placés concernant les enfants.

 

Entre mes petits rires et le sérieux de mon homme, il fallait être aveugle pour ne pas se douter du but de notre achat.

 

Voila une jeune femme sur le seuil de faire connaissance avec une éducation dite classique qu’elle n’avait visiblement pas connue dans son enfance et dont elle se languit de tout son âme.

 

Eh oui, comme j’ai pu m’en apercevoir plus tard, il existe encore d’autres « grandes filles » comme moi qui rêvent d’un martinet à la maison. Idem pour certains « grands garçons ». C’est un fantasme bien mignon je trouve, car il concerne deux personnes adultes qui agissent par consentement mutuel sans vouloir nuire à autrui.

 

De là en déduire que le martinet soit destiné à un emploi purement ludique me semble une erreur. A mon avis il comble aussi et parfaitement certains nostalgiques de l’éduction traditionnelle. C’est un fantasme bien particulier qui met en honneur la vraie fessée qui se veut punitive. Il est encore difficile d’en parler librement de nos jours. Je ne saurais chiffrer les adeptes d’un tel fantasme, mais de toute évidence il existe. Son non-dit se confond difficilement avec un discours hédoniste. 

 

A chacun sa fessée !

 

Pour mon homme et moi, le martinet, c’est notre instrument fétiche. Nos fantasmes respectifs prennent racine dans des vécus tout-à-fait différents, mais ils se rejoignent dans une poésie émotive qui tourne autour de valeurs d’antan, transposées sur un niveau adulte :

 

Le bien-être que procure d’une éduction stricte !

 

Autant pour celui chargé de l’appliquer, autant pour celle qui en bénéficie. Les règles à respecter, les bonnes manières, le comportement irréprochable, le respect de l’autorité, le gout de la discipline… Ou dans un registre plus religieux le pêché et son châtiment. Bien que j’aie un peu de mal avec ces dernières notions, car elles ne m’évoquent pas grand-chose.

 

Nous ne sommes pas naïfs au point d’attribuer une réelle valeur sociale à notre petit ménage, imbibé d’un érotisme quelque peu étrange qui accompagne mes fessées punitives. Nous nous contentons seulement d’un simple constat : cet univers contradictoire à un statut d’adulte et ambivalent par les émotions véhiculées nous convient parfaitement…

 

Voila plus de douze ans déjà que le martinet fait partie de notre quotidien, mais la vive émotion quand je dois baisser ma culotte est toujours au rendez-vous…

 

A suivre...

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Zerte - Communauté : La fessée
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Vendredi 10 décembre 5 10 /12 /Déc 15:02

 

Suite de : Isabelle, la rebelle féministe (Petite BD par Zerte) 2

 

A vrai dire, je suis agréablement surprise à quel point mon ami Zerte arrive de mettre de plus en plus fidèlement mes univers en images. Connaissant déjà une partie de la suite de cette aventure, j’ai l’impression de me trouver devant des prises de vue instantanées de mes petites rêveries. Certes il s’agit de fantasmes, mais je me retrouve parfaitement dans les gestes et attitudes de l’isabelle dessinée. Loin être d’un simple objet, échappé de l’imagination pure d’un dessinateur, elle est dotée d’une personnalité et de réactions humaines crédibles. Ce genre de scénario me parait rare et précieux.

 

Comme l’isabelle dessinée, je manque rarement en allant au coin de me frotter une de mes fesses (et non pas les deux à la fois). Comme elle je continue à râler…pas toujours sagement ceci dit. Et comme elle je ne reste pas scotchée dans mon coin les yeux droit devant. Je n’arrête pas de me retourner pour lancer d’autres petites piques.

 

Aussi, le martinet sciemment caché, sans parler des lanières coupées ou transformées en scoubidou, ne m’est pas étrange.

 

Chez Zerte, il n’y a nulle part cette lourdeur d’un univers de soumission qui colle souvent à la fessée. De la dame qui s’abandonne à son sort en silence et qui donne un effet dompté par le « pouvoir du mâle ».

 

Au contraire, il y a une recherche de donner à la fessée une identité propre sans recourir à d’autres artifices.

 

Bon j’arrête de papoter. Place au dessin de Zerte :

 

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A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Zerte - Communauté : La fessée
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Jeudi 9 décembre 4 09 /12 /Déc 12:00
Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Zerte - Communauté : La fessée
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Lundi 29 novembre 1 29 /11 /Nov 22:50

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Je suis heureuse de vous présenter une nouvelle histoire dessinée de mon ami Zerte.

 

Honni soit qui mal y pense !

 

Le fantasme de fesser un féministe ne me parait pas aussi rare que l’on ne l’imagine. Déjà pour ma part j’ai « beau spécimen » à la maison qui trouve un sacre plaisir dans cette fantaisie sans que je le trouve macho pour autant. Il suffit de faire la part des choses et de distinguer entre les ambitions de la dame de s’ouvrir au monde et d’y intervenir et son plaisir coquin qui reste à l’abri du monde dans l’intimité.

 

Puis ce fantasme ne se limite pas seulement aux hommes. Il existe certaines femmes qui se disent féministes (moi y compris) et dont le monde fantasmatique se présente par une forte déclivité pour la fessée. Il existe également des femmes qui fantasment sur le fait de voir leur meilleur copine (peut-être justement trop féministe à leur gout) s’en prendre une bonne pour une raison ou une autre.

 

Je n’essaye pas d’expliquer cette irrationalité humaine, je me contente de constater qu’elle existe et qu’elle puisse être source de grand plaisir. Et si cela se passe entre deux personnes sur la même longueur d’onde, je n’y trouve rien à redire.

 

Malheureusement on trouve très rarement des dessins à ce sujet.

 

Merci Zerte pour cette superbe suite !

 

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A suivre...

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Zerte - Communauté : La fessée
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Dimanche 28 novembre 7 28 /11 /Nov 15:52

Catherine, une collègue de travail, ravissante blonde aux formes pulpeuses, avait passé avec moi un pari dont nous avions oublié l’objet, mais pas l’enjeu, car en effet si elle gagnait, je devais lui offrir une glace aux griottes et si elle perdait, je pouvais la fesser, car depuis que nous nous connaissions, la fessée revenait régulièrement dans nos conversations et il faut dire que l’éventualité de recevoir une fessée n’effrayait pas la ravissante étourdie qui avec une bonne paire de fesses, avait de quoi l’amortir du moment que son honneur était sauf.

Eventuellement fessée jupe retroussée, mais surtout pas culotte baissée !!!

Nous avions passé cet accord avant l’été et les congés et lorsque la rentrée arriva, quelques jours plus tard, Catherine vint me retrouver et me rappela notre enjeu, regrettant de n’avoir pu manger une glace.

Mais elle n’avait pas gagné, ni moi non plus…

Sa réponse m’étonna car elle suggéra que puisqu’il n’y avait ni vainqueur ni perdant, tout le monde avait donc gagné : elle recevrait la fessée, mais une bonne fessée classique, sans jupe retroussée et dégusterait ensuite sa glace pendant la pause de midi. Nous décidâmes de nous retrouver aux archives, une fois que tous nos collègues seraient sortis pour déjeuner ; elle y monterait la première, préparerait les lieux et m’y attendrait ; il me suffirait de frapper à la porte.

A midi, une fois tout le personnel parti, je montai aux archives et je n’eus pas à frapper à la porte puisque Catherine m’y attendait. Les archives occupaient une grande pièce sans fenêtres que divisaient plusieurs rangées d’étagères remplies de classeurs et de boîtes à archives. Une fois tous deux à l’intérieur, Catherine referma et verrouilla la porte, derrière nous en me précisant :

« Je veux bien que nous rigolions tous les deux, mais je ne veux pas en faire profiter tout le monde, alors jure-moi que tu n’en parleras à personne ».

Je n’en avais nullement l’intention et lui promettais un silence tombal.

Elle m’invita à la suivre vers les dernières rangées d’étagères entre lesquelles, elle avait positionné une chaise, Catherine ayant tout prévu, m’avoua être une amatrice de la fessée classique « sur les genoux », et qu’elle restait sur sa faim, son mari n’étant pas trop amateur de cette fantaisie.  Elle m’invita à m’y assoir et me fit jurer de la fesser uniquement par-dessus sa jupe, pour cette première, justifiant son choix par la fin de l’été, qu’elle ne portait pas de collant et redoutait qu’une fois à plat ventre sur mes genoux, jupe retroussée, de se retrouver petite culotte baissée pour recevoir la fessée « cul nu », ce pourquoi, elle ne se sentait pas encore prête … pas tout à fait … promettant mi sérieuse, mi coquine, qu’à l’automne prochain, elle se laisserait peut-être tenté par une fessée jupe retroussée, mais avec un collant bien opaque …

Je lui promis de tenir ma promesse et vu la courte longueur de la jupe et le tissu léger dont elle était faite, qu’elle le veuille ou non, une fois à plat ventre sur mes genoux et penchée bien en avant Catherine m’offrirait quand même une vue plongeante sous sa jupe dont la faible épaisseur n’amortirait pas les claques sur son derrière potelé serré dans le tissu étroit de la jupe.

Elle prit donc position sur mes genoux, à plat ventre, se tenant des deux mains aux pieds de la chaise, les jambes tendues au sol. Sans perdre de temps, la maintenant à la taille d’une main,  à la fois pour lui éviter de tomber, mais aussi de s’échapper, j’entrepris de la fesser comme elle le demandait, tout en observant que je ne mettais pas trop trompé. Malgré le côte pudique et effarouché de Catherine, j’avais sous les yeux le haut de ses cuisses et le bas en dentelle de sa culotte satinée, car en se penchant trop bien en avant après s’être allongée sur mes genoux, elle n’avait pu empêcher le tissu de la jupe remonter le long de ses jambes.

Ma main droite tomba en cadence, alternativement d’une fesse sur l’autre et entre chaque claque, son derrière, s’il s’était instinctivement contracté dès les premières claques, se tendait vers la claque suivante et la main qui le corrigeait, qui en tombant bien à plat sur le tissu tendu, le faisait tressauter sous la jupe, laquelle tandis que plus que Catherine gigotait et se trémoussait, était remontée plus haut que ses cuisses et depuis j’avais une vue plongeante sur une magnifique paire de fesses galbées que le tissu d’une culotte pastel avait un peu de mal à contenir, révélant les fossettes des deux fesses, qui rougissaient à vue d’œil.

Sous l’intensité et le rythme de la fessée, Catherine battait des jambes, sous chaque claque et au bout de longues minutes et plusieurs paires de claques, elle me demanda d’arrêter puisque j’avais gagné mon pari, c’était à son tour d’avoir le sien et de nous rendre au restaurant pour qu’elle y déguste une glace aux griottes, dont ses fesses devaient avoir, je suppose, la même couleur.

 

Je pris alors le temps d’examiner cette « grande chipie » de 35 ans qui pour l’occasion s’était vêtue de façon sage et classique, chemisier clair, jupe foncée à plis, collant chair opaque et escarpins noirs … elle prit même le temps de tourner sur elle-même, faisant virevolter sa jupe comme une enfant en m’annonçant que je n’avais pas encore tout vu … S’arrêtant, elle prit une chaise de visiteur qu’elle plaça au milieu de la pièce, m’invita à y prendre place, ce que je fis, sans me faire prier … Catherine s’avança vers moi, mains croisées dans le dos, un sourire coquin aux lèvres et m’annonça :

 

« En avant pour la fessée … et  encore mieux que la dernière fois … j’en ai trop envie … quand cela suffira, je te le dirai … je veux de la fessée claquante et cuisante et jupe retroussée !!! »

 

 

Et sans perdre une minute de plus, Catherine s’installa en travers de mes cuisses, à plat ventre, se tenant à l’horizontale, d’une main au dossier de la chaise et de l’autre à l’un des pieds de la chaise. Sans perdre de temps, la ceinturant fermement par la taille de mon bras gauche, je pris quand même le temps de retroussée lentement la jupe de cette « effrontée », le long de ses mollets, puis de ses cuisses, jusqu’aux hanches et en rabattant le tissu au dessus de la cambrure de ses reins, j’eus l’agréable surprise de constater que Catherine portait certes un collant bien opaque, sans démarcation et que sous ce collant, elle ne portait pas la moindre petite culotte et malgré l’opacité du collant  ses fesses potelées et nues, ainsi que la fente qui les séparait comme un fruit bien mûr, apparaissaient comme en plein jour ; elle éclata alors de rire en m’annonçant qu’elle m’avait bien eu et regrettait que si moi je pouvais plus que deviner ses fesses, elle était un peu déçue de ne pas voir ma tête !!!

 

Je lui promis de tenir ma promesse et vu la courte longueur de la jupe et le tissu léger dont elle était faite, qu’elle le veuille ou non, une fois à plat ventre sur mes genoux et penchée bien en avant Catherine m’offrirait quand même une vue plongeante sous sa jupe dont la faible épaisseur n’amortirait pas les claques sur son derrière potelé serré dans le tissu étroit de la jupe.

« Quand je pense qu’il y a de cela quelques mois, tu m’exposais ta théorie sur la fessée jupe retroussée, mais surtout pas culotte baissée pour laquelle tu ne te sentais pas prête, je trouve que tu t’es rapidement dévergondée et je vais tout faire pour ne pas te décevoir !!! »

Pour toute réponse, je vis ses fesses se contracter sous le nylon du collant et je commençais à fesser Catherine énergiquement, d’une fesse à l’autre, pour ne pas faire de jalouse, la paume de ma main droite rebondissant sous les claques d’un globe à l’autre, les martelant à cadence rapide et chaque fois que ma main tombait à plat sur le derrière tendu vers moi, la trace de ma paume et de mes cinq doigts s’imprimaient sur la fesse qui venait d’être corrigée et malgré le collant opaque, je voyais la couleur des fesses rougir à vue d’œil !!!

Chaque fois que ma main claquait la croupe de Catherine, le bruit sec de la claque résonnait dans la pièce close et suivant l’intensité de la claque ou Catherine faisait un commentaire dans le style « aïe … celle la elle fait mal … ouille, mais ça chauffe » ou si elle ne disait rien, repliait en bloc ses deux jambes sur ses cuisses, mais au fil des minutes, Catherine cessa ses commentaires, la cadence de la fessée s’accélérant, je l’imaginais, serrant les dents, car je la voyais serrer les fesses sous le collant depuis quelques minutes et elle commençait à battre l’air des jambes, perdant même un de ses escarpins, se tortillant en espérant pouvoir échapper aux claques, ses jambes, ses fesses et sa queue de cheval battant l’air en cadence et la rougeur de ses fesses tranchant sur l’opacité du collant lui gainant cuisses et jambes !!!

Enfin, elle cria grâce :

« Arrête s’il te plaît, arrête, je n’en peux plus, mes fesses sont en feu !!! »

Je respectais la règle du jeu, je m’arrêtais et Catherine ne perdit pas de temps pour se relever et après avoir récupéré et remis sa chaussure, elle me fit face, se frottant énergiquement les fesses à deux mains sous la jupe …

« S’il avait fait moins froid ce matin et si j’en avais eu le temps et si aussi mon mari était parti avant moi, j’aurais mis des bas et pas de culotte pour t’embarrasser … » avoua-t-elle en éclatant de rire, ce à quoi je lui répondis que je n’en aurais pas perdu la vue et que malgré qu’elle portait un collant, ce dernier ne cachait pas grand-chose de ses charmes …

« Bon, fit-elle, il va falloir quand même rentrer chez nous respectivement, mais avant je dois remettre ma culotte que j’avais enlevée avant de venir recevoir ma fessée … j’espère que je n’ai pas de bleus » et à mon étonnement elle me tourna le dos, relevant sa jupe comme une danseuse de french cancan, m’exposant ses fesses et me demandant de les examiner.

« Des rougeurs, mais je te rassure, pas de bleus, du moins je n’en vois pas à travers ton collant »

« Tu en es sûr ??? »

Et tout en se redressant, elle prit à deux mains l’élastique du collant qu’elle baissa  sous les globes de ses fesses et là je pus rapidement constater, mais sans en perdre une miette qu’elle avait des fesses bien rouges, mais pas la moindre trace de bleus ou de petits vaisseaux éclatés. Rassurée, elle se reculotta et je sortis pour la laisser remettre ses dessous et reprendre sa vie digne de parfaite collègue de bureau. Quelques minutes plus tard, elle ressortit, fila chercher son manteau dans son bureau, tandis que je l’attendais dans le hall devant la porte de sortie verrouillée où elle me rejoignit rapidement, le feu aux joues, mais aussi ailleurs … cela, il n’y avait qu’elle et moi qui le savions !!!

« Mon bonhomme ne rentre qu’en fin de soirée, je vais pouvoir me refroidir les fesses dans un bain glacé car j’ai le derrière en feu. Je ne pensais pas que quelqu’un aussi  poupon que toi pouvait avoir une telle poigne !!! » et pour la première fois depuis que nous travaillions ensemble, Catherine me fit une grosse bise sur chaque joue avant de nous séparer.
 

J’avais décidé de changer d’emploi, attiré par une société me proposant un nouveau profile de carrière beaucoup plus avantageux et le fis savoir à mes employeurs, ainsi qu’à mes plus proches collègues, dont Catherine.

Quelques semaines avant mon départ définitif de l’Est de la France, pour gagner après les congés d’hiver le grand Ouest, au cours d’une pause café après le déjeuner, Catherine et moi nous prenions en commun un café avant de retourner dans nos bureaux respectifs et Catherine m’annonça très sérieuse qu’après mon départ, elle ne connaîtrait jamais la joie d’une bonne fessée jupe retroussée et culotte baissée, comme une « sale gamine » !!!

Je lui répondais qu’elle aurait du se décider plus tôt, vu que mon départ était imminent en fin de semaine … elle m’annonça que cela la tentait, mais ni aux archives, ni aux bureau et me proposa avant cette fin de semaine, de ne pas aller à la cantine le midi, de nous échapper pendant la pause du déjeuner, non pour aller chez elle, mais chez une de ses copines dont elle avait les clés du studio pour en soigner les plantes … aussi ravi qu’elle, j’acceptais et nous fixions cette « entrevue » au dernier jour de la semaine, le vendredi.

Le vendredi arriva et à la pause du midi et Catherine me communiqua l’adresse de l’appartement où tous deux devions nous retrouver devant l’entrée et comme cela n’était guère éloigné de nos bureaux, en quelques minutes nous étions rapidement sur place et quelques minutes plus tard, devant la porte de l’appartement. A cette heure du déjeuner, aucun bruit dans la case d’escalier, l’immeuble était désert. Catherine ouvrit la porte de l’appartement, s’y engouffra et je la suivais. C’était un petit deux pièces dans lequel on accédait via un petit couloir bordé de placards, puis par une nouvelle porte, on arrivait dans la pièce principale, meublée d’une table ronde et de deux chaises et aussi d’un canapé.

Catherine referma l’entrée principale, puis la porte du couloir et une fois dans cette pièce, elle fit ce qu’elle devait faire, c'est-à-dire arroser les plantes de sa copine et une fois ceci terminé, elle tira rideaux et double rideaux, pour plonger la pièce dans une semi obscurité, mais surtout pour éviter la vue de la scène qui allait se dérouler depuis les fenêtres des immeubles voisins.

Catherine m’avoua qu’elle avait fortement envie que cette dernière fessée dure et qu’elle souhaitait être confortablement installée pour la recevoir et plutôt que se retrouver plaquée sur mes genoux, tête en bas, jambes pendantes et fesses en l’air ; elle préférait être fessée sur le canapé vers lequel elle se dirigea et prêt duquel elle alluma une lampe abat-jour, pour que je puisse contrôler l’évolution des rougeurs et ne pas en perdre une miette.

Après avoir ôté mon manteau, je m’installais donc sur le milieu du canapé tandis que Catherine se débarrassant aussi de son manteau et de son sac à main, vint vers moi et  après avoir ôté ses escarpins, s’agenouilla sur le canapé, sur ma droite, avant de s’installer confortablement à plat ventre en travers de mes cuisses, jambes relevées et coudes en appui sur les coussins. Je posais ma main droite sur ses jambes gainées de nylon noir et en glissant le long, je pris tout mon temps pour retrousser sa robe noire qui heureusement n’était pas moulante. Lorsque j’arrivais à la cambrure de ses reins, passant l’obstacle de ses hanches, je pus rabattre le bas de sa robe sur sa taille, découvrant ses fesses encore protégées par le collant et une culotte noire aussi. 

Catherine s’allongea alors, joue contre le coussin et m’encouragea à continuer. Je pris alors le collant à deux mains sur les bords et le baissait lentement, attrapant par la même occasion les bords de la culotte et fit glisser l’ensemble le long de ses fesses pour le baisser juste sous ses fesses, Catherine se souleva, décollant son ventre de mes cuisses comme pour m’aider à franchir plus facilement l’obstacle de ses hanches et exposer son derrière blanc laiteux, mis en valeur par le noir de la robe retroussée et le noir du collant gainant ses cuisses.

Une fois entièrement déculottée, fesses à l’air au milieu du salon, confortablement installée en travers de mes cuisses sur le canapé, Catherine se recoucha à plat ventre et attendit. Au lieu de la saisir à la taille comme je l’avais fait jusqu’à présent, ma main gauche la saisit par sa hanche gauche et je posais la paume de ma main droite sur sa fesse gauche, comme pour en mesurer la surface, pour mieux viser, mieux les claquer … instinctivement Catherine serra ses fesses tièdes, au point que la fente qui les séparait généreusement fut si étroite que l’on aurait pu y glisser un doigt … et le duvet blond de ses fesses généreuses se hérissa, pourtant il faisait chaud dans la pièce … au lieu de commencer à la fesser, je lui caressais une fesse, puis l’autre, comme pour les apprivoiser … au bout de quelques caresses, Catherine saisit de sa main droite, ma main qui la maintenait au niveau de la hanche, souleva un peu ses hanches de mes cuisses pour tendre ses fesses potelées vers la fessée qui se faisait trop attendre et me murmura :

« Fesse moi comme une sale gamine … aussi longtemps que tu le veux … vite !!! »

La première claque tomba sur sa fesse droite et sous l’impact Catherine se tendit … une première claque suivit d’une autre  … jusqu’au nombre de cinq, avant  que je change de fesse et lui applique le même traitement … plus les claques tombaient, plus Catherine me serrait la main ; après ces quelques claques, je me décidais de prendre une cadence de bonne fessée, claquante et cuisante et c’est alternativement, d’une fesse à l’autre, que je me mis à claquer à cadence soutenue, avec énergie les fesses musclées de Catherine qui accompagnait chaque impact sur sa croupe tendue et ferme d’un « aïe » ou d’un « ouille » … les minutes passaient, rythmées par le bruit sec des gifles s’abattant sur une croupe qui rougissait à vue d’œil et dont la ravissante propriétaire poussait moins de cris de douleur, préférant mordre dans le coussin du canapé, certainement de douleur, mais aussi de plaisir, tout en commençant à battre des jambes, entravées par le collant et la culotte, mais de plus en plus vite … et malgré la semi obscurité de la pièce, regardant le derrière de Catherine, plutôt que le plafond, derrière dont le rouge de plus en plus intense tranchait sur  le noir de la robe et aussi des cuisses gainées du collant noir, baissé juste sous les rondeurs de ses fesses, fesses qui sous les claques de plus en plus rapprochées et fermes, tressautaient dans tous les sens, Catherine ne pouvant plus les serrer aussi fermement qu’au début de la fessée qui durait depuis plusieurs minutes et pour laquelle la paume de ma main commençait aussi à chauffer … Catherine ne criant pas grâce, le visage toujours enfui dans le coussin, je continuais à lui claquer avec toujours autant d’énergie et de rapidité les fesses quand elle se décida enfin à tourner la tête vers moi et tout en continuant à me serrer la main gauche me demanda d’arrêter :

« Arrête s’il-te-plait, arrête je n’en peux plus … mes fesses vont prendre feu !!! »

Je m’arrêtais, tandis que Catherine, les yeux humides, échevelée, émergeait de cette bonne fessée, restant prostrée les fesses à l’air, allongées en travers de mes cuisses sur le canapé … je lui rabattais la robe sur les reins et en lui frôlant les fesses, je pus constater qu’elle n’exagérait pas et que ses rondeurs étaient non seulement écarlates, mais aussi brûlantes.

Nous ne pouvions rester ainsi, elle à attendre que ses fesses reprennent une couleur et une température normales, il fallait retourner au bureau, les préparatifs de la fessée et la fessée proprement dite ayant duré toute presque toute l’heure du déjeuner. Catherine se redressa à genoux à mes côtés, passant ses mains sous sa robe et se frottant énergiquement les fesses comme pour les rafraîchir … enfin, elle se releva et sans la moindre gêne, ôta devant moi son collant qu’elle roula avant de le faire disparaître dans son sac à main dont elle sortit une paire de bas noirs auto fixant qu’elle enfila  devant moi après s’être reculottée en grimaçant…

« J’ai du mal à supporter ma petite culotte, alors avec un collant par-dessus, je ne t’explique pas … heureusement que mon mari est en déplacement car sinon je ne sais pas comment je pourrais justifier mes fesses cramoisies !!! »

 

Nous retournâmes ensemble au travail, à pied, comme nous étions venus, Catherine faisant des commentaires sur l’arrière saison et le vent s’engouffrant sous sa robe, permettant ainsi à sa partie charnue de refroidir un peu plus rapidement.

 

Quelques années après mon départ d’est en ouest, Catherine m’apprit qu’elle avait divorcé … quelques années après, elle m’apprit que son « ex » était décédé … quelques années encore après, elle m’annonça qu’elle avait refait sa vie avec un nouveau mari et que ce dernier n'hésitait pas à la fesser quand elle le méritait !!!



Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Dimanche 21 novembre 7 21 /11 /Nov 20:51

 

Suite de : La fessée de Claudine  (Un récit d’Alain)

Je ne pensais pas en assistant à la punition de Claudine en ce chaud après-midi d’été des années 80, que beaucoup plus tard, ce serait à moi ou plutôt à ma main que ses fesses auraient à faire …

Au cours du printemps de l’année suivante, Sylvie ne pouvant bénéficier de congés en même temps que moi, m’envoya me reposer quelques jours dans la maison familiale du Massif-Central et en souriant m’invita à me méfier de Claudine et de ses mauvais tours, mais elle savait qu’au pire je connaissais le bon moyen pour la faire revenir dans le bon chemin et tout en souriant m’invita à n’en user qu’en cas d’absolue nécessité … elle ne croyait pas si bien dire.

Claudine était en école d’infirmière et bien qu’elle détienne son permis de conduire, elle ne possédait pas de voiture et si je peux dire ainsi, rongeait son frein. Elle avait à maintes reprises essayé de me charmer pour que je lui prête ma Renault 5, ce à quoi je n’avais pas cédé.

Un vendredi soir, je l’avais invitée à dîner à la maison familiale, plutôt qu’elle se morfonde dans sa chambre d’étudiante et j’étais passé la chercher à la sortie de ses cours et ensemble avions rejoint la maison familiale où Sylvie devait nous rejoindre en cette soirée de fin de semaine. J’étais sorti chercher du bois pour la cheminée, quand du fond de la grange, j’entendis ma voiture démarrer et j’eus juste le temps de la voir sortir à toute vitesse du hameau, Claudine au volant, qui avec la chaussé humide, couverte de feuilles mortes, négocia mal le virage de sortie et alla directement au fossé. Les bûches m’en tombèrent des bras et je me précipitais au pas de course jusqu’au virage pour y trouver Claudine prostrée au volant et ne bougeant pas ; j’ouvrais la porte inquiet et c’est une Claudine hilarante que je récupérais alors que je m’attendais au pire …

Je lui ordonnais de rejoindre la maison, de m’y attendre car nous allions avoir tous deux une discussion sérieuse, tandis que je faisais l’inspection de la voiture qui à première vue ne semblait avoir subi aucun dommage. Rassuré, je me dirigeais vers la grange où je savais pouvoir y trouver le tracteur remisé du grand-père et aussi quelques cordes et chaînes pour m’aider à extraire ma voiture du fossé, ce qui me prit quand même pas mal de temps pour manœuvrer, puis remiser le tracteur et de récupérer ma voiture pour la reconduire de la cour qu’elle n’aurait jamais du quitter si je n’avais pas laissé mes clés à la vue de Claudine qu’à son tour je n’avais pas surveillée !!!

Je retrouvais, après m’être lavé les mains couverte de graisse, de boue et de terre, dans la pièce principale une Claudine toujours aussi hilare. Je regardais cette grande fille de 20 ans, dans son pull over à col roulé, sa jupe style kilt et ses bottes d’où seuls émergeaient ses genoux gainés de nylon foncé. Je n’avais nullement envie de discuter pour lui signifier ma mauvaise humeur et décidais à mon tour après l’épisode de l’été passé, de lui administrer séance une bonne fessée que cette « petite peste » n’allait pas être prête d’oublier.
Je pris une chaise de la salle à manger que je plaçais éloignée de la table, m’y asseyait et annonçait à Claudine :

A : « Retrousse ta jupe ! Viens t’installer sur mes genoux pour y recevoir une bonne fessée ! Et crois-moi tu ne sortiras pas de cette pièce tant que tu ne l’auras pas reçue !»

C : « D’accord pour la fessée … j’ai l’habitude depuis l’été dernier … et de quoi l’amortir … mais hors de question que je me soumette à tes exigences vestimentaires ! »

Et Claudine s’approchant de moi, s’installa confortablement en travers de mes cuisses avec un sourire provocateur. J’avais décidé de ne pas perdre de temps ni en discussion, ni en préparation, alors je retroussais amplement le kilt jusqu’à sa taille, mais même si je m’étais régalé l’été dernier de la vue de ses fesses nues tandis que Sylvie la corrigeait pour un vol d’argent, j’hésitais quand même à lui baisser séance tenant son collant et sa culotte et entrepris de la fesser par-dessus son collant d’une longue, claquante, cuisante fessée, alternant les gifles d’une fesse à l’autre, qui tressautaient sous l’énergie et l’intensité des claques, et bien que contenues, comprimées dans le collant nylon tressautaient en tout sens, l’une après l’autre chaque fois que la paume de ma main s’abattait sur elles.

A la cadence et à l’intensité de la fessée, Claudine se débattit, se trémoussant dans tous les sens, battant avec l’énergie du désespoir l’air de ses deux jambes, poussant des cris de douleur sous chaque gifle, remplissant la pièce de « aïe … ouille … aïe-aïe-aïe … ouille-ouille-ouille !!! », cherchant des deux mains à protéger ses rondeurs, mais sans y parvenir, je finis par les lui saisir aux poignets pour les lui regrouper au creux des reins et continuer à la fesser avec plus de force et de vigueur, si bien qu’elle finit courbée sur mes cuisses haut du corps et jambes inertes des deux côtés opposés, le dernier rehaussé et continuant à tressauter sous les claques. Je m’arrêtais jugeant la punition suffisante, bien que l’opacité du collant m’empêchait de voir ou de deviner la couleur des muscles fessiers de l’insolente, mais en posant ma main après la dernière claque sur le fond du collant, je puis constater que le derrière de Claudine, si je ne pouvais en juger la couleur, devait avoir une température supérieure à la pièce dans laquelle nous nous trouvions depuis de longues minutes.

Je la poussais hors de mes cuisses dont elle tomba, le derrière en premier sur le tapis, ce qui lui arracha un dernier cri de douleur et lui annonçais que la punition serait complète lorsqu’elle aurait nettoyé la carrosserie de ma voiture couverte de boue, ce dont elle s’exécuta immédiatement, en sanglotant et en essuyant ses larmes de la manche de son pull. Après de longues minutes d’absence, elle revint et je pus constater par la fenêtre de la pièce que plus aucune trace du séjour de mon véhicule dans le fossé n’apparaissait sur sa carrosserie et annonçait à Claudine qu’elle pouvait aller se refaire une toilette avant l’arrivée de Sylvie, sa cousine. Claudine disparut en se frottant énergiquement les fesses par-dessus le fond du kilt à deux mains, pour ne réapparaître que quelques minutes, juste avant l’arrivée de Sylvie, à laquelle aucun commentaire sur les événements qui venaient de se produire ne fut fait.

Quelques années plus tard, Claudine s’aventura à raconter ses mésaventures d’emprunt de véhicule sans autorisation et de la magistrale fessée qu’elle avait reçue à l’issue à Sylvie, laquelle fit cet unique commentaire :

« Je ne reprocherai que deux choses à Alain : ne pas t’avoir fessé ni assez fort, ni assez longtemps que tu le méritais !!! ».
Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Mardi 16 novembre 2 16 /11 /Nov 21:47

Il m’a été donné d’assister à une autre séance de fessée « entre filles » dans les années 80 et ce fut Claudine, une cousine de ma femme qui en fut l’« héroïne ».

Cet été là, j’étais venu retrouver Sylvie dans la maison de campagne familiale où elle passait ses vacances avec ses trois cousines. J’ai été ainsi pendant quelques jours, le seul garçon au milieu de quatre filles âgées de 15 ans à 25 ans. Ma femme étant l’aînée, puis venait Claudine, âgée de 20 ans et enfin les deux sœurs Carole 17 ans et Isabelle 15 ans.  

Un après-midi, alors que je cueillais des fruits avec les deux plus jeunes, Sylvie vint nous chercher en urgence pour participer à un « conseil de famille». Dès que nous entrâmes dans la pièce, à la tête que faisait Claudine, bras croisés et regardant la pointe de ses chaussures, je devinais que c’était du sérieux.

Sylvie nous annonça qu’elle avait surpris Claudine à fouiller dans son sac à main pour y prendre de l’argent, précisa qu’elle n’était qu’une voleuse et méritait d’être punie comme telle, telle une gamine. Aussi nous proposa-t-elle que, malgré ses 20 ans, Claudine reçoive une bonne fessée devant nous tous rassemblés, en espérant que cela serve aussi de leçon aux deux plus jeunes. Cette proposition fit l’unanimité de Carole et Isabelle, mais pas trop celle de Claudine qui bien que ne contestant pas la sanction, demanda à pouvoir être fessée dans l’intimité.

Sylvie ne  lui laissa pas le temps ni de négocier, ni de pleurnicher et se levant, la saisit par le bras et l’entraîna vers le milieu de la pièce. Prenant une chaise par le dossier, toujours sans lâcher Claudine et une fois assise, elle la renversa en travers de ses cuisses, et tout en la maintenant fermement par la taille,  sans perdre de temps, retroussa la courte jupe d’été,  la rabattant largement sur la taille de la coupable, saisit l’élastique de la culotte en coton, tandis que Claudine essayait bien de l’en empêcher, culotte qu’elle fit glisser rapidement jusqu’à la pliure des genoux, nous dévoilant ainsi une belle paire de fesses bien rondes d’un blanc laiteux.

 Tandis qu’elle la ceinturait plus fermement pour l’empêcher de bouger, tout en lui saisissant les deux mains avec lesquelles Claudine essayait désespérément de protéger ses rondeurs déjà serrées, prêtes instinctivement à la correction en public qui les attendait et à laquelle leur propriétaire ne pouvait plus échapper !!!

Le bras droit de Sylvie se leva et la paume de sa main se mit à marteler à cadence rapide la croupe de la coupable, d’une fesse à l’autre, sans aucun répit… chaque fois que la main claquait le derrière tendu, la trace rouge de la paume de la main et de ses cinq doigts s’imprimait sur le globe fessier où elle venait de tomber tandis que la pièce résonnait d’un bruit sec suivi d’un cri de douleur faisant sursauter les deux jeunettes… qui ne perdaient aucune miette du spectacle et ceci me fit penser qu’elles avaient dû connaître pareille mésaventure de la main de leurs deux aînées et à voir leur sourire, il n’y avait aucun doute qu’elles se voyaient vengées des fessées qu’avait dû leur administrer Claudine !

Tout en se tortillant, battant des jambes, entravées dans la culotte pour tenter d’échapper aux claquées, Claudine poussait maintenant des cris de douleur et, entre deux sanglots, suppliait Sylvie de cesser. Mais Sylvie ne se laissait pas attendrir et savourait, sourire aux lèvres, cette fessée qu’elle administrait en laissant tomber sa longue et fine main sur un derrière qui avait perdu sa pâleur initiale pour rosir puis rougir en passant par toute la gamme des rouges et ressemblait maintenant à une tomate bien mûre prête à être cueillie !!!

La fessée ne dura pas très longtemps mais fut intense et lorsque Sylvie s’arrêta et relâcha, Claudine, celle-ci avait les fesses écarlates et des larmes plein les yeux. Elle ne perdit pas de temps et se releva aussitôt, remonta sa culotte du mieux qu’elle put tout en se précipitant dans l’escalier pour pouvoir regagner sa chambre tout en se frottant le derrière à deux mains sous sa jupe d’où elle ne réapparut qu’en fin de soirée au moment du dîner.

Sylvie sermonna Carole et Isabelle avant de les renvoyer continuer à cueillir les fruits, non sans les avoir menacées du même châtiment si l’envie leur prenait d’imiter Claudine. 

Une fois seuls, Sylvie m’avoua qu’elle avait éprouvé un « certain plaisir » à claquer le derrière de jeune femme de Claudine et qu’elle comprenait le plaisir que pouvaient éprouver les garçons en fessant les « vilaines grandes filles » !

 A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Jeudi 11 novembre 4 11 /11 /Nov 10:33

 

Début de l’histoire

 

A mon tour, les yeux dans les yeux, je lui annonçais que j’allais la fesser comme elle le méritait et le cherchait depuis tant d’années et que j’espérais que son collant n’était quand même pas trop opaque afin de pouvoir contrôler l’évolution de la couleur de son « charmant petit popotin musclé ». Nadine ne dit mot, mais mit en sourdine un CD de musique et quelques minutes plus tard, je me retrouvais assis sur une chaise au milieu de la salle à manger,  Nadine confortablement installée et allongée en travers de mes genoux, jambes tendues d’un côté, se tenant des deux mains aux pieds de la chaise. Je lui rappelais, qu’il avait été convenu entre nous que la fessée serait donnée et reçue jupe ou robe retroussée ... Nadine acquiesça … il fallait donc le faire … et je le fis, retroussant sans aucun mal la robe évasée, tout en prenant mon temps, découvrant tout d’abord ses cuisses au-dessus de ses genoux et découvrant avec surprise, une fois le haut des cuisses atteint, qu’elle ne portait pas du tout de collant, mais des bas lycra très opaque, maintenus par un porte jarretelles noir, jarretelles tendues à l’extrême, le tout avec une culotte noire assortie qui tout en préservant sa pudeur, laissait deviner à travers la dentelle ajourée, la peau pâle de ses fesses, ni trop minces, ni trop potelées… je rabattais la robe au-dessus de sa taille, Nadine contracta ses rondeurs … l’atmosphère était lourde dans la pièce …elle croisa les jambes au niveau des chevilles,  faisant crisser ses bas, tendit le derrière vers moi tout en le contractant encore plus … je lui serrai la taille du bras gauche, non par crainte qu’elle ne s’échappe, mais pour lui éviter de glisser et de tomber, surtout si elle venait à se débattre sous les claques de la fessée …

 

Au début, je me pris au jeu et les claques commencèrent à crépiter timidement sur ses fesses, et de plus en plus fermement et rythmées, Nadine encaissant sans un commentaire, sans un cri, son « charmant petit popotin musclé » tressautant quand même sous chaque claque.


Combien de temps dura cette fessée ? je n’en sais rien car le temps ne comptait pas et ne compte jamais dans une fessée et de toute façon je regardais les fesses magnifiques que j’avais sous les yeux et je ne comptais pas les claques … Nadine non plus … au bout d’un temps assez long, ses fesses devinrent moins fermes, tressautant plus rapidement et amplement sous chaque claque et Nadine de la main droite me saisit la main qui la tenait à la taille, la serrant très fort, tout en repliant ses cuisses vers ses hanches, chaque fois que mon autre main claquait une de ses fesses …

une petite voix annonça : « pouce, je te promets de ne plus être en retard !!! »

Je cessais de la fesser et le temps qu’elle se relève, je pus constater, la couleur  rouge vif de ses fesses avec le noir de ses dessous et bas … que les fesses de Nadine avaient une belle couleur … quant à la chaleur, j’avoue qu’une fois la fessée terminée, je ne les ai pas touchées, même si cela me tentait … Nadine se releva de mes genoux, remis un peu d’ordre dans sa tenue, prit le temps de retendre ses bas, défroissa sa jupe, avant de la rabaisser et me surpris en venant s’assoir sur mes genoux, chose qu’elle n’avait jamais fait … et malgré l’épaisseur de sa robe d’hiver et aussi de mon pantalon, je sentis la chaleur de ses fesses et provocation supplémentaire, elle m’avoua qu’en s’habillant le matin même, elle avait longtemps hésité entre un collant ou des bas … et me demanda ce que je préférais ; je lui répondis qu’à la prochaine fessée, si toutefois celle-ci ne suffisait pas, les bas seraient plus pratiques pour lui donner une vraie fessée jupe retroussée et culotte baissée !!!

« Tu n’oserais quand même pas ???» me demanda-t-elle ; je répondis: « pourquoi pas ! »


Il était tard et il me fallait rejoindre mon studio ; Nadine me raccompagna jusqu’au hall de sa résidence et m’embrassa généreusement sur les deux joues, me chuchotant à l’oreille :

 

« Je crois bien que je vais devoir dormir sur le ventre car mes fesses me chauffent un peu !!! »

 

Depuis il m’a été donné une fois d’apercevoir ses fesses nues car de passage chez elle il y a deux ans, je préparais le déjeuner et Nadine avait mis du pain à griller ; le grille pain s’est emballé, ne projetant pas la tartine et j’ai vu Nadine émerger de sa salle de bain, le devant du corps caché par une serviette, mais quand elle est repartie aussi vite qu’apparue, j’ai quand même entrevu son « charmant petit popotin musclé » !!!

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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Jeudi 11 novembre 4 11 /11 /Nov 10:30

Un grand merci à vous, cher visiteurs !

 

Et un grand merci aussi à toutes les personnes qui contribuent à ce blog par leurs récits et dessins !

 

C’était avant-hier que mon compteur a dépassé les 900 000 pages. Je reste toujours scotchée devant le sucés de ce petit espace. Malgré une irrégularité frappante de ma part, due essentiellement à un manque de temps, il fait tranquillement son chemin. Bon, le million ne sera pas pour demain, mais je commence sérieusement à m’approcher.

 

Je pense pourvoir reprendre ma propre écriture pour la fin du mois. Des textes inspirés par des dessins de Zerte dont je dispose encore d’un bon nombre.

 

Je continue à publier des dessins et récits d’autres auteurs. Les règles sont simples. Un contenu entre adultes, sans vulgarité, de préférence dans le sens H/f ou F/f.

 

Pour me contacter :

 

isabellesrt@yahoo.fr

Par isabelle183 - Publié dans : Editorial
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