Samedi 12 septembre 6 12 /09 /Sep 13:30


Publication avec l’accord de l’auteur

 

J’ai moi-même aussi un peu plus de 50 ans (53 exactement début 2010) et depuis bientôt plus de trente ans je suis aussi un adepte de la fessée dite conjugale, élargie aux fessiers de copines, secrétaires et amatrices de ce châtiment corporel à la fois claquant et cuisant…

 

Je ne sais pas d’où me vient cette « passion », mais plus je regarde de autour de moi et plus je m’aperçois que la fessée conjugale, éducative, judiciaire, motivante ou loisir est de plus en plus appliquée entre adultes confiants, complices et consentants.

 

Ma seule expérience que j’avais eu avec cette « punition particulière » avait été à l’âge de 14/15 ans et mes fesses en avait fait la cuisante et brûlante expérience, car je l’avais reçue de la main vigoureuse et vengeresse d’une voisine, mais je pourrai vous en parler plus tard …

 

Et c’est ainsi que depuis le lycée, en classe terminale, j’ai eu l’occasion de fesser plusieurs jeunes femmes, puis femmes, toutes différentes les unes des autres, qui pour moi était de simples camarades d’études, ma « petite copine » puis épouse, de bonnes copines, des relations professionnelles, , des secrétaires, etc …

 

Ma première expérience de la fessée donnée fut avec une camarade de classe terminale, Catherine, un mercredi après-midi dans le laboratoire de langues isolé sous les combles au dernier étage, auquel nous avions librement accès, la seule contrainte étant d’en percevoir et bien sûr rendre la clef auprès de la conciergerie de l’établissement.

 

A part les internes, nous étions peu nombreux à l’utiliser les mercredis après-midi. C’était la fin des années 70 et bien que presque tous et toutes majeurs, la tenue de mes camarades féminines était plutôt classique à cette époque : cheveux longs avec queue de cheval ou serre-tête, chemisier clair et pull ou gilet bleu, jupe plissée, collants foncés et chaussures à petits talons ; tenue que portait ce jour là une camarade prénommée Catherine et qui m’avait demandé de l’aider au laboratoire, en anglais, langue avec laquelle elle avait quelques difficultés.

 

Après une bonne heure studieuse, Catherine commença à devenir taquine et m’annonça l’idée de me « pousser à bout » (moi qui ne m’énervait jamais) pour me tester, voir mes réactions et à force d’insister, elle arriva à ses fins et quand je lui annonça que si elle continuait, j’allais certainement me « venger », elle s’enfuyait sans oublier de verrouiller derrière elle la porte du labo de langues, dans lequel elle me laissa de longues heures (trois facilement). N’ayant pris que mes cours d’anglais, j’enrageais devant le temps perdu, alors que si j’avais pris d’autres cours, j’aurais pu faire d’autres travaux, au lieu d’attendre sans trop de patience et beaucoup de colère contenue que le temps passe !!!

 

Enfin, en fin d’après-midi, j’entendis la clef tourner dans la serrure, vis la porte s’ouvrir et apparaître une Catherine, toute souriante du mauvais tour qu’elle m’avait joué, non plus vêtue de façon classique, du style jeune fille de bonne famille, mais avec un pull, un kilt assez court, des collants opaques et des escarpins. Toujours en me narguant, elle m’annonça qu’elle était sortie en ville et prise de remords (ce que je ne croyais pas du tout) qu’elle était revenue me libérer. Je lui annonçais qu’elle avait bien de la chance d’être une fille, plutôt une « sale gamine de 18/19 ans » et que si elle n’était pas une « fille » je ne sais pas comment je réagirais et qu’heureusement que j’avais des principes, entre autre, qu’une « fille » ça ne se battait pas … et toujours en souriant et avec ironie, elle affirma bien sûr qu’une « fille » ça ne se battait pas, mais que ça pouvait être fessée   …

 

A suivre

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Vendredi 11 septembre 5 11 /09 /Sep 12:52

 Vers le:  Début de l’histoire


Il faudra sans doute subir le fouet. Jaheda a confiance dans sa capacité à obéir et à refouler toutes les sensations externes, en s’enfermant à l’intérieur d’elle-même, en se murant dans le dernier orgueil, le plus fort, celui des esclaves et des soumis, l’orgueil de l’esprit libre dans un corps possédé et contraint. Déjà rentrée en elle-même, elle n’a pas entendu l’énoncé de la sentence, mais aux regards avides, au resserrement de la foule elle comprend que ce sera peu commun. Un eunuque l’empoigne de ses deux grandes mains noires, mais ne l’attache pas aux anneaux de la colonne, qu’est-ce que ça signifie ? Un autre eunuque lui défait sa ceinture, fait glisser le voile transparent, et lui enlève sa brassière échancrée qui ne cachait qu’imparfaitement sa poitrine. Ses seins gonflés par la chaleur s’épanouissent sans le tissu.

Sur un signe du sultan, salué par les exclamations étouffées des autres femmes, l’eunuque retire encore le voile qui drapait la tête de Jaheda.


Dans un réflexe elle veut le retenir, mais le choc dans ses poignets toujours fermement maintenus la ramène à la surface. Pas le voile, pas son dernier rempart contre les émotions des autres… Et soudain la panique l’envahit, elle sent l’appréhension se répandre en elle entièrement, dans son corps nu, exposé, ne lui restant pour toute parure que ses bracelets en métal. Ceux-ci la blessent déjà entre ses poignets serrés… Mais elle tente de les enfoncer encore plus dans sa chair, pour contenir son angoisse par la douleur. Toutes les femmes parlent à présent, Jaheda ne peut se fermer à ce bruit de fond continu, elle ne peut s’empêcher de saisir des bribes de commentaires, sérieux, ironiques, effrayés, méchants… Si seulement elle savait ce qui l’attend !


Le Sultan se lève et arrête les conversations d’un geste. Il ordonne à l’eunuque qui tient la danseuse de la courber sur ses genoux, et de ne pas retenir sa main. Jaheda a aperçu les yeux enflammés de son maître, mais n’a pu s’y accrocher… Basculée en avant elle perd pied et le ridicule de sa situation l’assaille. Comment garder une contenance dans cette position, avec derrière elle toutes les autres femmes dont elle peut sentir les regards irradier ses cuisses, ses fesses, et… son intimité à présent exposée entre ses jambes écartées de force. En sentant un souffle d’air passer entre ses jambes, qu’elle perçoit comme chargé de la respiration de tout le sérail, elle sent qu’elle ne pourra pas se rendre invulnérable, la partie est perdue. Mais elle ne parvient pas à se résigner ni à refouler sa détresse. La main lourde s’abat sur ses fesses, petites et musclées…


Avant même d’avoir senti la douleur, elle pousse un cri dont l’écho se répercute dans toute la cour et glace l’Assemblée. Les claques se succèdent, fortes, rythmées, dans un silence cérémonial et pénétrant. Jaheda étouffe ses cris en se mordant les lèvres, des larmes débordent à leur place, et bientôt elle ne trouve plus la force de se contrôler. Ses jambes battent l’air hostile et lourd, se referment, ses chevilles se croisent désespérément… Des femmes ricanent. Le Sultan intervient alors et ordonne qu’on la replace et qu’on la maintienne.


La voix crainte et vénérée résonne dans la tête de la danseuse, l’interpelle, la tire brusquement de son cauchemar. Aussitôt elle écarte ses jambes souples, se cambre et s’offre de tout son corps à cette voix, à l’intonation familière, irrésistible… Les eunuques qui s’étaient précipité s’arrêtent, interdits. Chacun guette la réaction du maître.


Imperturbable, il arrête les serviteurs d’une main, et de l’autre fait signe de reprendre la punition. Mais quand la fessée repart de plus belle, Jaheda entend encore la voix, comme si elle s’était adressée à elle. La conscience du regard du Sultan sur elle, sur son corps nu tourmenté, lui donne envie de se dédier toute entière à ce regard, de lui montrer ce qu’il y a de plus beau à voir, ses formes certes, mais surtout sa soumission, son offrande à son désir. Elle reçoit désormais chaque claque en soulevant légèrement les fesses vers la main qui les ramène contre le corps de son bourreau. L’eunuque ne fait d’ailleurs plus tant de zèle, l’attitude de sa victime captivant l’attention générale, il claque moins et appuie plus… Jaheda retient maintenant des soupirs langoureux, elle sent l’œuvre de ce mouvement s’accomplir en elle, qu’elle sait être du goût de son maître.


« Et Eblis [le Démon musulman] fit couler dans ses parties naturelles la liqueur avant-coureuse du plaisir »*


Mais les femmes les plus proches ont aussi remarqué le trouble dont jouit la punie. Elles commencent à chuchoter entre elles, à se faire passer la message. Toute la cour bruisse de leurs murmures, et l’information parvint finalement aux oreilles de la mère du Sultan, qui aussitôt devient plus rouge que les fesses de Jaheda, et s’adresse à son fils, visiblement furieuse. On annonce alors la deuxième partie de la punition : la punie va être attachée à la colonne, fouettée, et laissée ainsi jusqu’à la tombée de la nuit. Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, les eunuques entraînent Jaheda jusqu’à la colonne et la lui font enlacer. La fraîcheur du marbre la surprend. Les mains liées l’une à l’autre, ses seins bruns pressés contre la pierre, elle se cambre, encore. Le même eunuque qui l’avait prise sur ses genoux, en sueur et tout aussi accablé par la chaleur, lève le bras pour mortifier, encore, longtemps, le corps de la danseuse.

Sous la souffrance infligée par les verges, Jaheda serre les dents mais garde un visage impassible.

Chaque fois qu’elle entend le Sultan demander plus d’intensité, elle s’abandonne avec volupté à la voix qui ordonne, aux yeux qui jouissent de sa soumission, mais son expression n’en trahit rien.

Le dernier coup est tombé, et l’escorte crée un passage pour le Sultan qui retourne dans ses appartements. Passant à côté de la danseuse humiliée, il effleure sa nuque, de ses doigts burinés il presse la base du crâne pour incliner sa tête en avant, et poursuit son chemin.


L’après-midi va s’écouler, lente et douloureuse, ses marques brûlantes exposés aux rayons non moins cuisants du soleil. Quand les femmes se presseront par petits groupes autour d’elle pour la railler, la conspuer, toucher ses marques ou palper d’autres parties de son corps vulnérable, Jaheda repensera au dernier geste du Sultan. Elle sentira encore cette caresse, appréciation de sa soumission, promesse de soirées où lui aimera et honorera son nectar comme une offrande désirée.


*Cheikh Nefzaoui, Le Jardin Parfumé (XVème)

(Avec l'aimable autorisation de l'auteur)

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 10 septembre 4 10 /09 /Sep 22:32

Une atmosphère lourde baigne la Cour aux mille colonnes. Le soleil n’a pas encore entamé son déclin, et pourtant toutes les femmes se sont rassemblées… On a annoncé la visite du sultan. Les Haseki (épouses) s’éventent dans les rares coins d’ombre, les concubines s’entretiennent près des fontaines, d’autres encore se tiennent coites : chaque mouvement fait perler des gouttes de sueur sur leur front voilé. Un eunuque, les yeux mi-clos, observe trois jeunes filles qui se disputent, nerveuses ; la pierre blanche de la cour blesse les yeux, on ne peut se fixer que sur les étoffes chatoyantes… Le regard s’égare entre les pantalons bouffants, les décolletés encadrés par des broderies multicolores, les châles pourpres des musiciennes et les voiles orangés qui dissimulent assez peu les corps luisants des danseuses. La tension est telle que nulle n’ose parler à voix haute, les chuchotements se mêlent aux bruissements des tissus, aux bourdonnements des mouches. Le bruit d’une carafe qui se brise à terre fait sursauter tout le monde, et un eunuque houspille une servante pour qu’elle se dépêche de ramasser les morceaux. Le calme revient, mais toute langueur a disparu. L’heure approche. Quand le son profond de la cloche du palais résonne dans la cour, un silence pesant s’installe.


Une visite du Sultan à cette heure ensoleillée est particulièrement inhabituelle, et chacune tente de se rassurer intérieurement, de se prouver qu’elle n’a rien à craindre. Les plus jeunes, tout juste intégrées au sérail, n’ont encore jamais vu le maître…Elles attendent, figées, seules parmi leurs semblables. Les lourdes portes de bois s’ébranlent, les femmes frémissent et retiennent leur respiration. Deux gardes poussent les battants. Entre l’escorte d’eunuques, au milieu desquels le Sultan brille plus qu’il n’apparaît, tant les fils dorés de ses vêtements luisent au soleil. C’en est presque un soulagement de s’incliner et de baisser les yeux à son passage. Jaheda a eu le temps d’observer ses yeux froids, et durs. Elle ne tremble pas comme les autres, qui n’ont rien à se reprocher, elle est certaine que cette visite lui est destinée ; et pour l’instant c’est une force. Bientôt, toutes, elles laisseront échapper un soupir de soulagement, sans doute elles braqueront leurs yeux sur elle, les amies d’hier comme les vieilles ennemies… Mais savoir ce que la plupart ignore est une force au sérail, une force qui protège de la peur.


Le Sultan est passé entre les femmes courbées, les eunuques et les servantes s’affairent pour tendre la lourde toile jaune, de sorte qu’aucun rayon ne vienne l’importuner, sans qu’il ne soit pour autant dissimulé sous la tente. La mère du sultan vient annoncer qu’une faute grave a été commise hier soir, lors de la réception en l’honneur des ambassadeurs européens. Une des danseuses a trébuché pendant la cérémonie d’accueil, entachant l’élégance des spectacles et divertissements proposés. L’honneur du Sultan vis-à-vis de ses hôtes est donc atteint, et celui-ci se sent humilié. Mais la coupable est une distinguée, une remarquée… Elle ne sera donc pas exclue, mais humiliée à son tour, devant tout le harem dont elle n’a pas été à la hauteur, et aussi en guise d’exemple pour les plus jeunes. Une vague de réactions sourdes a parcouru l’assemblée, les yeux se croisent, on s’attarde sur les danseuses, on cherche celle qui tremble le plus, plus que les autres, dont le trouble n’est que soulagement. Mais quand on appelle la fautive à s’avancer, Jaheda ne se confond pas en rougeurs inopportunes, elle se détache de ses pairs, dont elle se sent déjà très loin, et adresse même machinalement un sourire ironique à Asrar, qui hier soir a négligemment laissé un de ses foulards sur la piste… Il serait vain et imprudent d’expliquer cela. De toute façon la jalousie a sans doute motivé son acte, et elle l’éprouve peut-être encore plus maintenant, alors que le Sultan s’est déplacé pour assister à la punition… Où va se placer l’envie, pense Jaheda, alors qu’elle s’approche de la tente royale, les yeux désormais fixés au sol.


A suivre

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 10 septembre 4 10 /09 /Sep 22:29

Je n’ai malheureusement pas le temps d’écrire des récits en ce moment. Je vais alors continuer de publier des nouveaux auteurs qui me plaisent beaucoup. Notamment des filles talentueuses. Mais quelques Messieurs aussi.


J’espère que mes découvertes vous plaisent.


isabelle

Par isabelle183 - Publié dans : Editorial
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 15 août 6 15 /08 /Août 10:25


Pour lire l’histoire dans ordre chronologique suivez les liens


« C’est mieux dit-il » en claquant férocement le postérieur de sa femme, par-dessus sa jupe, le corps d’Isabelle formait désormais un L inversé encastré sur la table ; sa poitrine généreuse était comprimée.

Le mari remonta la jupe de sa femme et descendit lentement sa culotte à mi-cuisse.

Isabelle reçut alors une véritable volée sur les fesses, son mari cinglait son postérieur, avec le martinet, à tours de bras … Il y allait sur un tempo rapide en prenant toutefois son élan à chaque coup pour bien marquer sa cible …

Isabelle pleurait comme elle ne l’avait jamais fait dans sa vie ; néanmoins, la correction – la dérouillée plutôt – continuait inexorablement.

Vingt minutes après, les fesses d’Isabelle étaient tuméfiées, mauves, couvertes de marques. Son mari s’était toutefois efforcé de ne pas la blesser, et, seuls les premiers coups avait déchiré la peau qui perlait de sang, après, le mari avait su mieux doser sa force.

Il permit à Isabelle de se rhabiller et lui demanda de lui servir la suite du repas.

Isabelle apporta le gigot, puis le fromage et enfin le sorbet – elle restait évidemment debout à regarder son mari manger. Elle assura aussi le service des différents vins. La moindre imprécision, la moindre goutte hors du verre, la moindre hésitation … et elle recevait une claque supplémentaire sur ses fesses tuméfiées.

Ayant apportée du vin blanc avec le fromage, elle dut se déculotter à nouveau.

A part ça, son mari mangea pendant tout le repas en silence. Isabelle était aussi silencieuse. En somme, les sanglots d’Isabelle faisaient échos aux bruits de mastication de son mari – une ambiance irréelle de glace.

A la fin du repas, son mari dit à Isabelle : « Tu desserviras la table, tu feras la vaisselle – le mardi, ce n’est plus le rôle de la bonne désormais ; et tu iras te coucher dans ta chambre. »

Isabelle osa répondre – timidement – « et demain ? » ; ce qui lui valu une claque intense sur le fessier … mais aussi une réponse :

« Demain tu restes dans ta chambre, la bonne t’apportera à manger. Après-demain pareil, et ce jusqu’à mardi prochain. Le temps que la brûlure de tes fesses se calme. Et mardi prochain, la bonne aura sa journée, tu me serviras un diner comme ce soir, et puis je te fouetterai après l’entrée, comme ce soir. »

« Et après ? »

Nouvelle claque, nouvelle réponse.

« Tu retourneras soigner ton cul une semaine, et tu me serviras un nouveau diner mardi suivant, et là je te fouetterai encore. »

« Et après ? »

Le mari fit signe à Isabelle qu’elle relève sa jupe et se déculotte pour lui infliger une claque encore plus intense … Isabelle ne put retenir un cri de douleur … Le mari en profita pour infliger quelques coups de martinet supplémentaires.

« Cela durera sans doute des mois. Je ne sais pas. Il faut que je réfléchisse à ce que tu as fais. Une chose est certaine. Tu n’as plus besoin de te punir en te torturant l’esprit désormais. C’est moi qui m’occupe de ta punition, et seulement moi. Contentes-toi de soigner tes fesses. »

Isabelle fut ainsi systématiquement punie une fois par semaine pendant 6 mois – restant sans rien faire dans sa chambre le reste du temps.

La veille du 24ème dîner expiatoire, son mari glissa un mot sous sa porte : « Merci de prévoir deux couverts demain ; et du caviar pour l’entrée, du béluga.»

Le lendemain soir, elle eut la surprise de voir la bonne arriver à 20h ; laquelle bonne assista à la fessée d’Isabelle … la dernière fessée d’Isabelle.

Isabelle n’eut même pas honte.

Contrairement aux nouveaux usages du couple, cette fessée se déroula avant le diner – elle fut moins forte que d’habitude, pour permettre à Isabelle de garder la capacité de s’asseoir ; après la punition, Isabelle dîna avec son mari, la bonne se chargeant du service.

Une fois la bonne partie, les deux époux firent l’amour sur la salle à manger d’abord, et, dans la chambre du mari ensuite, et ils dormirent dans le même lit en s’enlaçant.

Le lendemain un décorateur intérieur était convoqué – en urgence – pour remettre l’appartement d’aplomb : une chambre pour les parents, et deux pour les enfants, il fallait aussi revoir la décoration de la salle à manger, envisager une ambiance plus chaude, moins formelle …

Le martinet fut jeté aux ordures avec les restes du dîner de la veille.

Pendant les travaux, Isabelle et son mari partirent en voyage, en Suisse, ils s’aimèrent dans les meilleurs palaces et revinrent de Suisse avec leurs enfants.

Jamais Isabelle ne reçut la moindre fessée de son mari, après cet épisode, et ils s’aimèrent comme avant.

Depuis lors – une fois par an ; à la date anniversaire de son suicide – Isabelle va fleurir la tombe d’Antoine Jérôme. Elle revient toujours bouleversée et son mari la console dans ses bras.

La mère d’Antoine s’est suicidée à son tour. Elle a enfin fini de souffrir.

Isabelle et son mari invitent régulièrement le Docteur Jérôme à diner dans leur nouvelle salle à manger, il fait presque partie de la famille – c’est important car il n’a plus de famille désormais – les enfants du couple l’appelle « Papy », ce qui le fait pleurer parfois.

Le couple révéla au Docteur les 6 mois de pénitences d’Isabelle.

Celui-ci a développé une nouvelle théorie sur le remord et le pardon, une théorie qui démode Freud – on parle de lui pour le prix Nobel de médecine. 

Quant à Antoine – où qu’il soit – une chose est certaine : il continue viscéralement d’aimer Isabelle, son premier et dernier amour sur la Terre … 


FIN

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 13 août 4 13 /08 /Août 13:03


Pour lire l’histoire dans ordre chronologique suivez les liens


Tout d’un coup, Isabelle tomba en arrêt devant un article étrange : un véritable « martinet des familles ».

Elle prit l’objet et l’examina sous toutes ses coutures, longtemps, longtemps … Elle était comme fascinée … La patronne commença à s’impatienter avec force « Hum … Hum … » – mais Isabelle était ailleurs, au fond de sa mémoire, elle était 15 ou 16 ans avant … –, seulement la patronne tenait une droguerie des beaux quartiers, pas un sex-shop de Pigalle, quand même … La patronne expliqua aux autres clientes du magasin qu’elle connaissait bien Isabelle – ce qui était bien sûr archifaux – et que son mari venait d’acheter un pitbull, et, que dès lors Isabelle cherchait un moyen de domestiquer la bête.

Personne n’était dupe dans le magasin, sauf peut être quelques vieilles dames ignorantes de certains aspects de la sexualité moderne, – compte tenu de l’attitude bizarre d’Isabelle – et la patronne se dit qu’il était temps d’arrêter la vente des martinets – « cela n’attire que des pervers de nos jours … » pensait la bonne dame.

Isabelle finit par acheter le martinet – 2 euros 40 TTC – et remonta chez elle.

Isabelle téléphona à son mari pour lui dire de venir diner à la maison – ce dernier avait pris l’habitude de diner dehors, pour ne plus voir sa femme, toute conversation soutenue avec elle risquant de provoquer l’irréversible à tout instant.

Etonné de cette demande, il accepta bien volontiers.

Entre le coup de fil d’Isabelle vers 13 heures, et le diner, celle-ci s’était chargée elle-même d’acheter et de préparer un diner fin – la bonne, qui n’en croyait pas ses yeux, fut finalement invitée par Isabelle à prendre la fin de son après-midi …

Le mari arriva le soir avec une gerbe de 13 roses rouges et plein de bonne volonté.

Isabelle invita son mari à s’asseoir, à la grande table de la salle à manger, celle pour les invités, et lui servit un apéritif à base de rhum, comme il aimait.

Le mari s’étonna de ce que le couvert ne fût (NDA : j’ose ce temps précieux, à défaut de mieux ; je ne suis pas certain qu’il soit correctement employé ici – aucun reproche ne sera admis …) pas dressé pour Isabelle, il n’y avait effectivement qu’un couvert dressé : le sien.

« Ce soir je te fais la cuisine, je te sers et … je te parle. Et toi tu manges et tu écoutes. Mais tu ne montres pas que tu écoutes. Je suis compliquée, je sais … »

« Mais je croyais que j’allais diner avec toi ma Chérie, pourquoi as-tu renvoyé la bonne chez elle ? »

« Je veux te parler. C’est important. »

Isabelle apporta l’entrée – un magnifique homard – à son mari et s’assit en face de lui.

« Manges pendant que je parle. Sinon je ne pourrais pas. J’aurais trop honte. »

Habitué aux excentricités de sa femme, depuis quelques mois maintenant, le mari attaqua le homard de bonne grâce …

Elle attaqua quant à elle le récit de sa vie « d’avant », elle n’omit rien, ni les tentatives de suicide, ni le suicide, ni la perversité qui était la sienne à cette époque. Le récit était à charge, elle n’expliqua pas pourquoi elle s’était comportée de cette manière.

Elle finit son récit par sa séance chez le Docteur Jérôme, son conseil de se « racheter » en écrivant une confession et sa découverte fascinante du martinet dans la droguerie.

Le mari avait terminé le homard, elle son récit. La grande salle à manger était silencieuse. Le cerveau du mari s’efforçait d’assimiler toutes les informations qu’il venait de recevoir, et, il cherchait la meilleure conduite à tenir. Il jouait son couple. Il savait qu’un « Ce n’est rien ma Chérie tu es trop exigeante avec toi-même, tu es perfectionniste et tu voudrais avoir toujours été une sainte » ou pis  « C’est de l’histoire ancienne » n’étaient pas envisageables … Et il tenait encore à sa femme, son couple et, en tout état de cause, au bonheur de ses enfants …   

Le mari s’essuya longuement les mains, puis se leva.

D’une voix très froide le mari dit enfin : « Vas le chercher ce martinet. »

Isabelle revint avec l’objet.

« Mets-toi face à la table. Et penches-toi autant que tu peux. »

Isabelle se plaça face à la grande table de marbre, comme demandé, et se pencha.

Le mari força le dos d’Isabelle pour la plaquer sur la table tout en disant « Mieux que ça ».

A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 12 août 3 12 /08 /Août 12:02

 

Pour lire l’histoire dans ordre chronologique suivez les liens

 

Cette fois la voix d’Isabelle était pleine de colère ; Sans doute voyait-elle cette « paire de tartes » non reçue comme un dû, le minimum syndical pour commencer sa métamorphose …

« Etre une allumeuse, ce n’est pas un délit, même pas une violation du règlement du lycée, alors tout cela est bien normal. »

« Mais ce n’est pas BIEN ! »

« Vous le pensez, et je suis d’accord avec vous, et après ? »

Isabelle s’effondra en larmes dans les bras du Docteur Jérôme. Elle répétait mécaniquement : « Même pas une tarte ! » ; « Même pas une tarte ! » …

Le Docteur ne la repoussa pas. Il lui caressa même affectueusement le dos et lui demanda de reprendre sa place d’analysée, sur le divan.

« Je vais vous garder comme patiente quelques instants encore au lieu de vous jeter dehors. C’est insensé, mais je vais le faire pour la mémoire de mon fils qui vous a tant aimé, si brièvement. »

« Isabelle, j’ai envie de vous appeler comme cela car vous pourriez être ma belle fille, votre cas ne relève pas de la psychanalyse mais du bon sens. Votre médecin de famille aurait pu vous conseiller aussi bien que moi … Il n’est pas utile fouiller au tréfonds de votre inconscient pour trouvez un problème qui est visible comme votre nez au milieu du visage … Vous éprouvez du remord. Un remord immense qui vient de ce que vous n’étiez pas équipée pour comprendre la gravité de vos actes, à l’époque … »

Après un silence de quelques secondes, pesant, le Docteur reprit «  … mon fils non plus n’était pas encore mature, sinon il ne se serait pas suicidé pour un peu d’aguichage et quelques lettres sans réponse, vous étiez deux gosses – maintenant vous comprenez et le remord vous détruit. Cela prouve déjà que vous êtes une bonne personne … »

« Mais je ne veux pas vivre avec ça. Je ne peux plus supporter. »

« AH N’ALLEZ PAS FAIRE COMME LUI MALHEUREUSE ! »

Hurla le Docteur Jérôme ; avant de reprendre, d’une voix plus posée, presque Doctorale (au sens Universitaire) : « Il faudrait que vous vous libériez votre conscience Isabelle, pour passer à autre chose ensuite. D’autres que vous se précipiteraient pour se confesseur chez le Curé, mais vous n’êtes pas croyante, si j’ai bien compris … Moi non plus du reste, mais dans votre cas c’est dommage … »

« Mais comment faire ? »

« Peut-être que vous pourriez écrire un bouquin dans lequel vous expliqueriez ce qui s’est passé et demanderiez pardon à Antoine, et puis aux autres aussi. Vous l’éditeriez à compte d’auteur. A la limite, avec vos relations, vous pourriez le sortir en librairie, ce serait une vraie libération pour vous. Vous feriez sortir, enfin, ces remords de votre tête … Je ne peux vous dire qu’une chose : vous devez vous débarrasser de ce venin qui vous ronge inexorablement …  Et je ne peux pas le faire pour vous. »

Isabelle sortit du cabinet en larme. Elle avait tellement honte d’avoir tué le fils de ce brave homme.

En outre, Isabelle ne croyait pas un instant qu’écrire un livre de confessions publiques, sur son passé d’allumeuse,  pourrait l’apaiser en quoi que ce soit.

Arrivée à son domicile, Isabelle constata que la bonne avait oublié d’acheter du détachant – elle en avait besoin pour un tailleur –, elle décida d’aller en acheter elle-même, ça lui changerait les idées.

Isabelle gagna machinalement la droguerie en bas de chez elle, elle paierait le détachant deux fois le prix qu’il vaut en grande surface, mais quelle importance ...

Cette droguerie était une survivance du passé ; une vraie droguerie où l’on vend du produit à laver la vaisselle artisanal jusqu’aux articles de farces et attrape. Isabelle n’était jamais entrée dans ce bazar, mais il attirait son attention, chaque fois qu’elle passait devant.

Isabelle voulait s’oublier – ne penser à rien, rien du tout … – et une visite d’un magasin de cette nature était parfait pour cet objectif. Elle détailla tous les articles de la droguerie.

Tout d’un coup, Isabelle tomba en arrêt devant un article étrange : un véritable « martinet des familles ».

A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 11 août 2 11 /08 /Août 22:58


Pour lire l’histoire dans ordre chronologique suivez les liens



Isabelle fut surprise par cette question et répondit : « Mais évidemment, je vous ai dit vingt fois que celui que j’ai ‘suicidé’ s’appelait Antoine. »

« Et vous vous rappelez de son nom de famille, de cet Antoine ? »

« Non. Il avait un prénom comme nom de famille, un prénom commun, genre Jean ou Jacques, il m’avait expliqué que son grand père était un enfant de la DASS, d’où ce nom. »

« Mais cela commençait en J ? Vous m’avez cité que des noms en J. »

« Oui, cela commençait sans doute par J, mais vous dire quel prénom …  Vous savez je l’ai vu trois fois avant qu’il fasse … Vous savez quoi … Je me fichais de son nom, et après … après … j’ai vite cherché à oublier. Je suis passé à autre chose. »

 « Jérôme, peut-être ? »

« C’est ça : Antoine Jérôme ! »

Le prénom/nom était sorti de la jolie bouche d’Isabelle comme une balle de fusil, et juste après elle se tétanisa quelques instants.

« Jérôme, comme vous Docteur … Je me rends compte maintenant : Docteur Serge Jérôme … »

« Oui. Antoine était mon fils. Mon fils unique. Sa mère est à moitié folle depuis qu’il est parti. Nous avons divorcé, mais je la vois de temps à autre. Si elle savait que vous êtes ma patiente, elle vous tuerait d’emblée. »

Isabelle était sonnée, sa voix blanche.

 « Et vous qu’allez vous faire Docteur ? »

« Je vais vous demander de changer d’analyste, voilà tout. Je ne suis pas un justicier. D’ailleurs je m’en veux d’avoir eu besoin de 3 séances pour faire le rapprochement – mais je ne vous avais jamais vue et je ne connaissais que votre prénom : Isabelle ; et puis il fallait qu’on apprenne à se connaître pour que vous me racontiez votre histoire … –, maintenant il faut qu’un autre recommence votre analyse de zéro et ce n’est pas bon pour vous, j’aurais dû deviner plus vite, dans votre intérêt … »

« Mais qu’avez-vous à foutre de mon intérêt, vous devriez juste me haïr. »

« Je vous en ai voulu, évidemment, beaucoup même ... Surtout quand j’ai lu les brouillons des lettres qu’il vous avait écrites. De bien belles lettres, qui n’ont jamais reçues de réponses … »

Le psy resta silencieux un moment puis reprit d’une voix mal assurée …

« Je ne sais pas, je ne veux pas, vivre dans la haine, qui ne fera pas revenir Antoine d’ailleurs, j’ai pardonné depuis bien longtemps. Et puis, vous vous en voulez tellement qu’il n’y a pas besoin d’être plusieurs à vous punir, vous vous en occupez très bien toute seule … Je vais même vous dire, je ne serais pas mécontent que vous trouviez un peu de répit, vous vous êtes déjà infligée beaucoup trop de souffrances.  »

« Mais je n’ai même pas reçu une paire de tartes quand c’est arrivé. Je n’ai même pas été convoquée au commissariat … Je n’ai même pas été renvoyée du lycée ! Et pourtant tout le monde savait ! »

A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 10 août 1 10 /08 /Août 22:06

Pour lire l’histoire dans ordre chronologique suivez les liens

 

De retour de son travail, Isabelle trouva la bonne en train de parlementer avec son fils – une porte séparait la bonne et le fils forcené. Ce dernier s’était rué dans sa chambre, au retour du collège, et refusait d’en sortir.

Isabelle prit les choses en main et renvoya la bonne à d’autres activités. Mais elle ne parvint pas à convaincre son fils d’ouvrir la porte.

Un peu plus tard, le mari arriva à son tour, il n’eut pas plus de succès.

Isabelle et son mari tinrent un conseil de famille. Toutes les hypothèses furent envisagées : Drogue, racket, secte, impact des ondes électromagnétiques du téléphone portable du petit chéri – sans oublier, évidemment, un éventuel attentat de radicaux, lesquels auraient possiblement rajoutés des psychotropes dans les plats servis à la cantine du collège …  

Une décision fut prise. Le mari allait enfoncer la porte … et on saurait (on commencerait d’abord par appeler le pédiatre, à toutes fins utiles) !

En attendant, la petite sœur partait dormir chez ses grands parents – c’était plus sûr !

Le pédiatre arrivé, Monsieur passa à l’action et enfonça la porte de la chambre de son fils. Comme Monsieur était costaud, cela ne fut pas très compliqué.

Le petit fut sommé – avec douceur toutefois – de bien vouloir – Nom de Dieu ! – expliquer ce qu’il foutait enfermé dans sa chambre depuis l’heure du goûter...

Et il expliqua : Sophie, sa dernière petite copine, une grande de 5ème – fait d’arme pour un petit de 6ème !!! – venait de le larguer, il l’aimait à en crever, il pensait qu’elle aussi, il ne comprenait pas, et il voulait mourir ; voilà tout …

Le père demanda immédiatement – S’ils l’avaient fait ? – Face à la réponse négative de son fils, qui semblait sincère, le père éclata de rire … : « Et tu te mets dans des états pareils alors que tu n’as même pas couché avec cette fille une seule fois …. »

L’incident était clos, il restait à appeler le menuisier pour réparer la porte, et, noter qu’il faudrait parler de capote plutôt que prévu au planning – réellement, l’incident était clos pour Monsieur, mais alors pas du tout pour Isabelle.

Le – très – jeune amoureux éconduit refusa d’aller en cours le lendemain. Sa maman l’emmena au cinéma à la place.

Le soir il cessa de s’alimenter, ainsi que le lendemain … Le vendredi il était envoyé dans un service spécialisé de l’Hôpital Necker.

Un mois après, il était sorti d’affaire et reprit sa sixième dans un autre collège. Il s’en tirait avec une année scolaire de perdue …

Les médecins expliquèrent aux parents que leur fils était normal, un peu niais pour son âge – mais il rattraperait plus tard, parole de médecin –, et un peu trop attiré par les filles mais sans vraiment tout comprendre. En d’autres termes, son zizi avait pris de l’avance sur son cerveau …

Et Sophie – l’allumeuse de 5ème – l’avait choisi comme cible pour cette raison. Voilà tout. Fermez le ban …

Le couple sembla passer à autre chose. Mais Isabelle n’était pas au mieux. Elle venait de se prendre son passé en plein dans la figure. Cette fois du côté des victimes …

A compter de ce moment, Isabelle refusa de faire l’amour à son mari. Ce dernier l’aimait assez pour tolérer cette situation, tout en était infiniment triste, sûrement plus de voir sa femme dépressive que de ne plus s’amuser au lit …

L’humeur d’Isabelle s’était tellement dégradée que le couple avait décidé d’envoyer les enfants en pension pendant une saison – mais dans un beau « home d’enfant » en Suisse où ils seraient très heureux et feraient du ski, les cours finis, tous les après-midi !

En fait, Isabelle était devenue hystérique – elle était en arrêt maladie d’ailleurs.

Les enfants partis, le couple décida d’aménager deux chambres séparées.

Le mari d’Isabelle n’en pouvait plus. Seul le souvenir de l’amour fusionnel entre lui et son épouse, encore vivace, – et l’attachement à ses enfants –, l’empêchait de penser au divorce. Pour dire vrai, il commençait à y penser très sérieusement.

Isabelle avait conscience d’être devenue insupportable pour ses proches et s’en voulait à mourir.

Elle cauchemardait tous les soirs à propos de tous les jeunes hommes qu’elle avait sentimentalement torturés, et, surtout du suicidé, Antoine machin truc … Elle ne pouvait plus se coucher sans médicaments puissants.

Isabelle débuta une psychanalyse, évidemment, et tomba sur un psychanalyste assez âgé ; elle n’avait pas osé se faire conseiller, pour le choix de l’analyste, et, avait sélectionné un psy, au hasard dans le bottin, par ce qu’il était aussi psychiatre, gage de sérieux, et surtout que son nom lui rappelait quelque chose – mais elle ne savait pas très bien quoi au juste.

Lors de la 3ème séance, le psy il lui demanda si elle connaissait un certain Antoine.


A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 9 août 7 09 /08 /Août 14:48


Pour lire l’histoire dans ordre chronologique suivez les liens


Comment Isabelle avait réussi de tels exploits ? Facilement. Tout est question de méthode.


La sienne était simple : Choisir le garçon à qui elle pourrait faire le plus grand mal possible avec un effort minimal. Il fallait parvenir à les allumer, puis les désespérer, avant d’avoir couché, bien sûr, mais avant même le moindre investissement corporel – même pas un baiser.

Toute la science était dans le choix, le reste n’était qu’application …

Isabelle ne sélectionnait jamais les garçons séduisants (les beaux, drôles, sûrs d’eux et conquérants,  etc.) – les premiers morceaux dirait un boucher ; il n’est pas injuste d’appliquer ce terme à l’Isabelle de cette époque – très vite, n’obtenant rien d’elle, ils se seraient consolés ailleurs …

Les moches ne présentaient pas plus d’intérêt pour Isabelle. Ils étaient vaccinés et ils auraient flairé le piège bien trop rapidement … Ce type de garçon est obligé de développer une sorte de désinvestissement protecteur – un anti-romantisme primaire – qui lui permet de ne pas trop souffrir quand il tombe dans la toile d’une Isabelle … Une forme de défense naturelle en somme – la nature n’est pas si mal faite.

La cible d’Isabelle c’était les garçons pré-séduisants. Potentiellement attractifs, mais à la tenue grotesque, entreprenants avec les femmes, mais très maladroits dans leur approche, intelligents dans leurs raisonnements, mais un peu niais des choses de la vie … Des débutants, presque de grands bébés, pas encore sortis de l’adolescence, tardifs, mais avec un corps d’homme et les besoins qui vont avec.

Sans Isabelle, ils auraient éclos, le moment venu, grâce à elle, ils gagnaient quelques décennies de maturité – passant de bébés, à retraités du cul et du sentiment, à la vitesse de la lumière ; enfin les survivants …

Il faut être honnête, la capacité d’Isabelle à choisir LA bonne victime – parmi cent – n’expliquait pas tout. Elle avait du métier Isabelle, et, une très jolie frimousse, de la féminité où il faut devant et derrière, une voix éraillée à tomber par terre et, last but not least, elle semblait si douce – l’ange Isabelle …

Pourquoi Isabelle se comportait ainsi avec les garçons ? Pour pas grand-chose …

Isabelle était sortie, un peu trop jeune, avec un garçon un peu trop vieux, lequel cherchait un déversoir pour ses couilles, plus qu’une petite copine immature … Elle avait cédé trop vite et elle avait beaucoup pleuré ensuite, des semaines … Pas de l’acte en lui-même, elle était consentante, mais de ne jamais avoir été rappelée … Il l’avait bien eue et il faudrait bien que quelqu’un paie l’addition …

Plus tard, elle avait rencontré son mari, elle l’avait aimé, il l’avait aimée, et Isabelle était devenue réellement bonne, gentille, compatissante, etc. L’intérieur s’était réajusté sur l’extérieur. Une personnalité d’élite, mais avec un lourd passé de criminelle aux sentiments.

Sa vie antérieure, on l’a dit, lui restait en travers de la gorge et contrariait la plénitude de sa nouvelle existence, mais il fallait bien aller de l’avant et Isabelle n’était pas du genre à traumatiser sa famille avec de l’histoire ancienne – elle assumait, point barre.

Elle pensait assumer en fait, jusqu’à ce jour de mai où tout bascula.

A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 9 août 7 09 /08 /Août 14:28

Un peu hard à mon goût perso quant aux illustrations et clips. Mais intéressant pour pas mal d’idées développées. Comme la DD réciproque comme manifestation de l’égalité entre les sexes.

 

Cela dénote bien de beaucoup de blogs de D /s ou S/m dans lesquels je ne me retrouve pas. Ne serait-ce que pour les sentiments d’appartenance qui ne m’évoquent rien. Ou le côté " maître et soumise".

 

Je pense que les couples aimant la DD existent en France. Seulement ils s’expriment peu ou pas du tout.

 

Dans ce sens avec ce blog je me sens un peu moins seule sur le net français.

 

Voici le lien :

 

LA FESSEE CONJUGALE

 

Par isabelle183 - Publié dans : Editorial
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 8 août 6 08 /08 /Août 18:48

Voici un autre auteur à découvrir. Sauron publie ses textes depuis quelque temps déjà sur les forums de fessée. C’est la qualité et l’originalité de son écriture qui me séduit. Il me semble polyvalent et à l’aise dans les registres les plus divers.

 

Je lui ai donc demandé une autorisation de publication sur mon blog.

 

Ce  texte parle d’une Isabelle….

 

Loin de moi de vouloir établir des parallèles entre elle et moi. Je suis narcissique, mais pas à ce point.

 

Je vous laisse le plaisir de découvrir cette surprenante histoire, joliment racontée.

 

 

 

 

Sainte Isabelle l'allumeuse 


Isabelle avait 35 ans, au sommet de sa beauté, elle était épanouie et heureuse de vivre.
 
Elle était mariée, depuis 13 ans, avec un homme qu’elle vénérait, et qui le lui rendait bien ; ils avaient deux jeunes enfants adorables et sans problèmes, une fille de 11 ans et un garçon de 13 – le choix du roi, comme on dit …

Isabelle était fière de sa réussite professionnelle qui l’avait hissée à une fonction impliquant responsabilité et créativité – le tout sans préjudice pour sa vie privée. Enfin, Isabelle et son mari étaient ce qu’on peut appeler, d’un point de vue financier, des privilégiés … Ils voyageaient souvent dans les plus beaux palaces du monde, et Isabelle adorait cela plus que tout …

Sexuellement, les fantasmes divers – mêmes les plus anodins – n’avaient aucune place dans ce couple où le désir réciproque et l’affection mutuelle suffisaient bien assez pour provoquer l’érection du mari et l’orgasme de la femme … Et le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils le faisaient souvent …

Le plus drôle c’est qu’Isabelle, pas plus que son mari d’ailleurs, n’étaient des « coincés du cul » – incapables de créativité au lit, scotchés à un improbable catéchisme – encore une fois, leur attirance réciproque, et jamais démentie, jamais émoussée, valait tous les fantasmes de la terre …

En fait, Isabelle n’avait qu’un petit secret, une ombre à son existence de rêve ; une ombre qui ne manquait quand même pas de la travailler un peu au niveau de la conscience : Isabelle avait été une sacrée allumeuse, pendant pas mal d’années, et, cela n’avait pas été sans dommages pour ses proies.

Son physique de rêve aidant, elle avait lacéré un nombre absurdement immense de cœurs de jeunes hommes en construction. Autant de chantiers qui ne finiraient jamais, abandonnés …

Il est impossible de rendre compte du nombre d’amoureux éconduits ayant rejoints – après avoir été littéralement allumés par Isabelle comme des torches –, qui la Légion étrangère, qui les Ordres, qui la rue avec une solide vocation de SDF … 

Après tout, c’est le privilège des jeunes femmes, un peu trop jolies, de jouer un peu avec les sentiments des jeunes hommes, un peu trop niais – il faut que jeunesse se passe, comme on dit.

Mais Isabelle avait poussé le bouchon assez loin. Elle était à l’origine de trois tentatives de suicide, respectivement chez trois jeunes hommes différents, et, loin d’être calmée, elle était aussi la cause directe d’un suicide réussi chez un quatrième.

Et, pour tout dire, ce suicide lui restait un peu en travers de la gorge – comme une grosse arrête de poisson acérée … Une arrête morale et d’autant plus douloureuse …

Comment Isabelle avait réussi de tels exploits ? Facilement. Tout est question de méthode.


A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Syndication

  • Flux RSS des articles

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés