Jeudi 3 avril 4 03 /04 /Avr 23:15

Il me regarde avec étonnement. Les sangles de cuir doux entre mes mains l’amusent.

 

« Tu te prends pour une dominatrice à présent ? »

 

« Ne dis rien. Laisse toi faire. »

 

Je le déshabille lentement, puis je le fais asseoir dans son fauteuil. »

 

« Ce soir c’est ni-touch à la poupée. Je vais m’occuper de toi. »

 

Je lui attache les mains à l’accoudoir. Ensuite je me consacre à ses jambes en me servant de notre barre  d’écartement. L’idée qu’il se trouve à ma merci m’excite beaucoup.

 

Je lui titille son sexe avec le bout de mon indexe jusqu’à ce que mon grand garçon se présente devant moi en garde à vous. Origine allemande oblige. J’aime soigner les détails. Mis a part ma casquette de cuir et mes escarpins je suis nue. Il aime bien me voir ainsi chapeautée, mes cheveux cachés, mes oreilles et ma nuque offertes à la vue.

 

Sur une douce musique je commence à me déhancher en passent sensuellement une huile brillante sur mon corps. Je prends mon temps pour mes bras et jambes.

 

Pendant que je malaxe mes seins je ne quitte pas mon homme des yeux. Un regard défiant est un bon excitant.

 

« Si tu es sage, tu auras droit tout à l’heure à un petit stimuli avec la matière la plus douce de ce monde, une langoureuse chevauché entre mes lolos. »

 

Quand je commence à m’enduire cette petite fente qui fait tant rêver monsieur, je me laisse aller en toute confiance. J’adore exprimer minutieusement mon ressentie par mes soupir. Mon partenaire doit savoir ce qui se passe en moi. Ca renforce notre complicité et en même temps son érection. Il me veut impudique depuis le début. Ca tombe bien. Je le suis naturellement dans l’intimité et j’ai beaucoup de gratitude envers mon voyeur favori qui ne se lasse jamais de me yeuxiter.

 

Pour annoncer le programme complet le lui tourne le dos donnant une vue imprenable sur la partie qu’on cache les plus.

 

L’huile glisse entre mes fesses bien écartées. Mon petit soleil est notre jardin secret en commun. C’est par la que passe une bonne partie de notre communication non verbale.

 

J’aime quand il me montre de façon impérieuse qui est le maître à la maison. Rien ne me semble plus viril qu’un homme qui me sodomise vigoureusement. Dans ce jeu il n’y a plus de doute sur les rôles. Ma partie, de présenter mes orifices sans le moindre tabou à ses assauts me comble. Je m’y complais souvent dans ma passivité prosternée sur le lit et accessible au désir.

Cependant je ne suis pas toujours passive…

 

Il aime beaucoup quand je me masturbe cette partie de mon anatomie en poussant des petits cris obscènes. Il a horreur des filles sages qui se retiennent pour des raisons indéterminables.

 

Une fois bien lubrifiée je suis prête pour la suite…

 

Je ne suis pas une téteuse. Plutôt un candide chaton qui s’approche hardiment par petits coups langue. J’aime laper ce qui m’intrigue, titiller par des mouvements rotatoires ce que voudrais découvrir, provoquer ce qui se laisse le plus facilement provoquer chez un homme.

 

Ce qui gonfle n’est pas toujours gonflant.

 

Parfois ce gros truc bouge tout seul. Je fais des petits bonds en arrière, fait glisser avidement ma langue autour de mes lèvres puis reviens en bonne féline.

J’ai envie que son érection devienne plaisamment douloureuse comme il dit parfois, qu’il perde sa maîtrise et retenue, qu’il gémisse et me supplie de m’empaler sur lui en faisant attention que ce puits ne déverse pas avant l’heure ce qui est habituellement réservé à minette.

 

Ce jeu me plait beaucoup et pour aujourd’hui j’ai décidé d’accorder une pause à ma chatounette. J’ai envie de me prendre une grosse décharge électrique dans le cul. Ben quoi ? moi aussi je sais être grossière de temps en temps. Parait que ça défoule.

 

Je me délecte de retrouver le goût de mon homme, son odeur. Je savoure ce qui se dresse devant mes yeux. Je pense à mes multiples régimes quand il m’encourage dans mes efforts par un soutien protéique ce qui me touche beaucoup. Et dire que les hommes ne pensent qu’à eux.

 

Je connais bien ses endroits les plus sensibles, la manière qui le stimule le plus. Il pousse des grands soupirs. Son corps est bien tendu, raide comme cette annexe qui me regarde avec sa petite tête si mignone en se demandant ce qui lui arrive.

 

Pour la détendre un peu je l’immerge entre mes seins, la fait glisser de haut en bas et de bas en haut et lui fait profiter de l’huile chaude sur ma peau. Petit chaperon rouge ne craint pas la louve et a l’air d’apprécier. Ca mérite quelques câlins avec les pointes de mes seins.

C’est beaucoup plus petit, mais c’est dur aussi, une communion parfaite.

 

Les petits bisous font de l’effet, le fauve tire à ses sangles, essaye de se libérer, grogne et pour m’impressionner. Il est en sueur, des grosses goûtes coulent le long de son torse. Je bois goulûment cette liqueur salée à petit coup en continuant à malaxer le précieux bien entre mes petits lapins comme il appelle mes seins.

Il bouge encore plus, n’arrive pas se laisser faire sagement. Je vais lui montrer qui dirige les ébats.

 

Je monte sur le fauteuil et lui plaque la grande tête contre le dossier enfouie entre mes fesses, du rugby à ma façon.

 

Ca le calme bien, sa voix devient rauque, étouffée. Son haleine me chatouille le petit orifice qui est à l’honneur ce soir.

 

Je bouge pour une petite spécialité maison : Le nasal-sex. 

 

Cette partie de l’anatomie aussi est propice à la pénétration et le souffle de la bête augmente la sensation. Sa langue explore mes régions vanille.

 

Moi aussi je commence à transpirer. Mon homme doit avoir sacrément chaud entre mes fesses. Je sais qu’il adore le grand bleu, alors à lui de me prouver ses performance en apnée. Sa respiration s’accélère, ça commence à devenir un délicieux supplice pour lui.

 

Je me vois déjà à la une des journaux.

 

Une obsédée du cul étouffe son homme entre ses fesses.

 

Et alors ? Moi aussi je suis étouffée et ceci de partout. Je lui offre ma peau de bébé pour une belle mort. A vrai dire je ne cherche que la petite.

 

L’aire de jeu est glissante à souhait. Il est grand temps de libérer mon captif. On va faire une petite fête rusticale à la rondelle digne des montagnes ariégeoises.

 

Tais toi, minette. C’est pas ton jour aujourd’hui.

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits
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