Samedi 18 avril 6 18 /04 /Avr 12:32

Suite de: Dessous Noirs. Pour Cuir Noir 4


A Isabelle.

 

 

5. Où Watson subit les caprices et les desseins de Noémie.

 

Alors Watson subit. Subit l’envie, subit le choix de Noémie, se gardant bien d’aviser son « le grand homme» de la représentation qui va suivre, s’arrangeant la plupart du temps en guise de consentement de marmonner, il t’en cuira davantage Noémie.

 

Autant Noémie est calme lorsque elle se soumet à Sherlock, autant elle est agitée sur les genoux de Watson.

 

- Tu vas compter en français Noémie et jusqu’à 33 évidemment, nombre hypocratique par excellence. Tel est l’ordre rituel du bon docteur Watson alors que déjà avant même de commencer les jambes de la flagellée battent l’air avec vigueur telle Sainte Roselyn amenée à plat ventre sur une planche pour battue aux yeux de tous. Vous avez déjà vu ses apparitions!

 

Mais Noémie ne sait compter que jusqu’à trois dans la langue de froggies. Aussi invariablement après trois, en revient-elle à un. On avancera jamais, se plaint le bourreau du cœur de l’action!

-Watson au début fesse toujours à la main, ce qui bien entendu déplait fortement à Sherlock, mais pas à Noémie.

Cette fessée là est une toute autre histoire que celle de Sherlock. Watson fait semblant de la croire éducative, alors qu’elle est « préliminaire » par la sensuelle Noémie.

 

Rapidement Watson ne peut s’empêcher de tâter la culotte de sa victime, de tirer dessus pour dégager les globes avantageusement présentés à ses claques.

 

Il joue à rendre les gifles le plus sonore possible et à creuser les paumes à effet d’emprisonner l’air pour qu’il sonne, comme les sacs en papier explosés par les gamins. C’est un parfait percussionniste que nous avons là. Plus le creux des paumes est prononcé, plus fort est le son. C’est tout un art lyrique qui se joue là. Et Noémie chante sa complainte. Oh Ah Ah Oh. Oui. Euh Non !

 

C’est la culotte tirbouchonnée,  tirallée entre les fesses, au rythme irrégulier de l’humeur du Docteur, qui commence à émoustiller sérieusement celle qui sous les battements, peine à dissimuler sa satisfaction en simulant la douleur.

 

Soudain tout à fait prestement Watson, qui a quelque peu fait durer le plaisir, débarrasse Noémie de sa culotte déjà humide et la fourre dans sa poche. La séance est loin d’être terminée. Mais il lui faut reprendre son souffle. C’est l’entracte avant le changement de décors et d’accessoire. Et voilà le tableau suivant …

 

Watson s’empare de l’instrument posé négligemment au sol par Noémie

L’art et la maîtrise de Watson à manier le martinet du jour, il le tient certainement du tennis où malgré ses rondeurs, il excelle.

On vante depuis longtemps son parfait « touché de balle ».

 

C’est avec un œil exercé que Watson vise la cible. Ensuite il ne reste lui plus qu’à évaluer la hauteur de la zone à atteindre souhaitée et de plier légèrement les genoux.

Et un beau coup droit en perspective.

Parfaitement à horizontale la large et courte lanière gravée s’abat. 

Bien enroulée autour des fesses, c’est un revers lifté.

 

Avec concentration et changement de rythme : et hop au raz du postérieur, et hop tout en haut des cuisses, et hop plus fort, faire cambrer la punie lorsque son dos ploie trop, et hop au bas des reins, et hop à la naissance du sillon, et hop un coup inattendu sur le mollets.
Enfin un bel amorti près du creux des genoux.

 

Mais toujours pour en revenir comme on dit « aux fondamentaux », sur les hémisphères offerts et bien horizontalement.

 

Ooooh, Monsieur … n’a pu s’empêcher Noémie. Ce chuchotement, cette plainte, cette complainte, finalement cette requête ravive l’ardeur de Watson.

 

Et hop, bien appuyé celui là, et hop un revers sclicé.

Les fesses s’agitent, se cabrent, se mettent à ruer en tout sens.

Pitié Pitié … Monsieur ! s’écrit Noémie. Mais tel n’est pas là la règle du jeu.

Encore un effort !

Et la partie reprend de plus belle. A droite. A gauche. Au centre. Le jambes s’ouvrent et se referment. De haut en bas. Les fesses se tendent, veulent s’ouvrir. De bas en haut, pour calmer les ardeurs.

 

Elle halète notre Noémie, elle cuit, elle luit, elle rit aussi dans sa tête, pressée qu’elle est de rejoindre son coquin qui ne comprend rien mais sait finir.

 

- Et puis tiens Noémie, l’occasion est trop belle, un smash appuyé en guise de point d’orgue. Cette balle de match appuyée de Watson éveille enfin la bonne imploration attendue.

 

 

Et Noémie s’enfuit en laissant le pauvre Watson plus qu’essoufflé, apoplectique !

 

A suivre...

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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