Jeudi 25 juin 4 25 /06 /Juin 00:18

 

Il me parait indispensable pour que la discipline domestique livre des résultats réels sur mon comportement qu’elle soit douloureuse et qu’elle marque bien dans le sens littéral. Mais il faut bien trouver la juste mesure. Mon homme n’est jamais cruel avec moi et il sait qu’il n’est pas nécessaire et déconseillé dans la discipline consentante  de me « torturer » pour que devienne obéissante. Il me traite avec la juste dose de sévérité dont j’ai besoin et ma danse sur ses genoux est toujours une rude épreuve pour mes fesses. Bien que consentante du principe de la discipline domestique, il arrive que je ne sois pas consentante sur le coup en estimant ma punition comme injustifiée. Je me mets en colère et parfois le vocabulaire m’échappe et je deviens très insultante envers mon homme malgré la fessée que je suis en train de recevoir. Je ne suis quasiment jamais grossière. Ce n’est pas dans mon tempérament. Mais je peux être vraiment blessante en jouant sur les petites faiblesses de mon homme.

Lui, il ne supporte pas ce côté de moi, car ceci ne fait pas partie de ses propres comportements, même en cas de colère. Encore une de ses facettes que je ne me lasse pas à admirer.


Alors il estime que je confonds ma bouche avec l’orifice de mon derrière et il arrête la punition pour une « leçon de modestie » dont je passe sur certains détails.


Il sait bien qu’il ne sert à rien de me forcer sur le coups tant que je suis en courroux et il m’envois dans la chambre pour me calmer et me préparer.


C’est souvent déjà à ce moment là que je réalise mon dérapage et que je commence à regretter. La punition qui m’attend est de taille. Outre une cérémoniel d’excuse très humiliant pour un effet psychologique, c’est la canne qui intervient.


Pour ceux qui ne sont pas familiers avec cet instrument, j’aimerais m’attarder peu sur ses particularités. La canne est un instrument redoutable et il serait un peu sot de recourir à des tiges de bambou vendues en magasin de jardinage. Elles risquent de se casser pendant l’emploi et causer ainsi des blessures ce qui ne me parait le but. Mieux vaut investir dans un instrument de qualité fabriqué exprès pour un usage sur les fesses.

Une bonne canne est souvent fait en rotin. Il en existe deux versions : vernies et nature. Les vernies sont assez rigides et manquent donc de la souplesse. Elle marquent beaucoup et procurent des stries qui se transforment facilement en hématomes. Quand on a la peau fragile comme moi, il se peut qu’on porte les marques pendant des semaines ( !).


Une « canne nature » possède une plus grande souplesse. Elle est très douloureuse sans forcer sur les coups en évitant ainsi les marques  de longue durée. Elle cause de belles stries qui gonflent vite, mais disparaissent assez vite aussi. Personnellement il m’est impossible après une correction à la canne de m’asseoir pendant des heures. A moins de me servir d’un coussin très rembourré.

Vu que le rotin est un matériel naturel, chaque canne possède son propre mordant. Nous avons mis du temps (et de l’argent) à en trouve une dont la douleur d’un coups assez léger déjà me fait grimper aux rideaux.


Je précise bien encore une fois que nous ne cherchons pas un effet érotique, mais punitif et dissuasif. On ne « badine » pas avec la discipline domestique chez nous et l’emploi rigoureux de nos instruments comporte plus le risque que je « mouille ma culotte » d’appréhension que de volupté. Que la douleur se transforme toujours après ma correction en sensation plaisante au niveau de mon bassin est une autre chose.


Après des insultes je reçois une douzaine de coups avec des longues pauses entre eux. Chaque coup est bien placé, bref et sec.


J’estime ma punition suffisamment intense pour me donner envie de ne plus recommencer mes dérapages verbaux si tôt. Largement suffisante aussi pour que je fonde en larmes et que je pleure à haute voix sans faire semblant. Puis largement suffisante pour un apaisement de mes nerfs et que je me blottisse dans les bras de mon homme pour me faire consoler et sécher mes larmes.


Dans ces moments je me sens prise en main comme je le désire. La sévérité de monsieur est sa plus belle épreuve d’amour pour moi et aissi que mon éducation lui tienne à cœur. L’éducation anglaise dont il me fait bénéficier me convient, me comble et contribue à mon bien-être. Seul regret de ne l’avoir pas connue plus tôt pour embrasser la discipline d’antan dès mes 18ans. C’est le monde à l’envers. Pour moi le droit à la culotte baissée au moindre faux pas est un des privilèges de la majorité et qu’on veille soigneusement qu’il ne s’applique pas aux enfants…

Par isabelle183 - Publié dans : Discipline domestique - Communauté : La fessée
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