Mardi 7 juillet 2 07 /07 /Juil 11:56

-Otez vos bottes et votre culotte de cheval. Elle est trop ajustée. Vous ne pourriez pas la garder à mi-cuisses. Vous serez plus à l'aise sans, pour vous faire cravacher.


Elle me tendit d'abord la cravache. Puis elle défit posément ce que j'avais demandé. J'attendais avec impatience et curiosité de découvrir son slip, il était noir et sexy.


-Descendez votre culotte à vos chevilles pour vous entraver et mettez vous à quatre pattes sur les bottes de paille, ordonnais-je.


Elle obéit. Ses fesses apparurent, elles se mirent à resplendir, à luire, comme un appel. Elle fit les quatre pas nécessaires en me tournant le dos, s'agenouilla à même la paille et se plaça. Je me plaçais aussi, derrière elle.


- Tant que faire se peut, vous garderez ou vous reprendrez la position, dis-je.
 
-Cambrez bien vos reins, pour chercher le coup.


Elle creusa ses reins.


Je me délectais longuement de la scène, de sa posture offerte. Pendant une minute, rien ne se passa.

Sans même avoir réfléchi, sans même l'avoir décidé consciemment, je cinglais violemment le travers des fesses offertes. Son corps tressaillit et partit un peu en avant. Elle mordit ses lèvres, pour ne pas crier. Aucun son ne sortit de sa bouche. Seul le tchac de la cravache résonna dans le hangar métallique. L'énorme masse de fourrage amortit vite le bruit, créant une atmosphère confinée, chaleureuse, entre nous. Simplement, Georgia se dandina un peu sur les genoux, comme un cheval de cirque;
Comme une jument... De la cravache, je fis une utilisation équestre. Petits coups répétés, qui stimulent un trot. Coups plus forts, mais espacés, pour soutenir le rythme d'un galop. Trois ou quatre coups très forts, pour impulser l'élan avant de passer un obstacle. Alors Georgia partait vers l'avant, comme bondissante. Sa mâchoire se mouvait plusieurs fois, comme si elle avait un mord aux dents, sa bouche se tordait. Elle poussait un "ah" d'une voix très grave, gutturale, un râle venu d'on ne sait où. Ses mains s'enfonçaient dans la paille, comme des griffes.  Je la laissais se calmer, respirer, se reprendre. D'un petit coup sec de bas en haut, à l'arrière de ses cuisses, je la ramenais au présent et à sa condition de femme fessée. Elle comprit et releva son bassin, qui s'était un peu affaissé. Elle pointa ses fesses vers le ciel. La rougeur gagnait entre les stries, devenait uniforme, prenait la teinte d'un coup de soleil.


 Je me fixais sur un point à l'arrière de la fesse gauche, je le cravachais très doucement, en cadence, puis avec une force sans cesse croissante et un final très fort, que je crains insoutenable. Elle s'affala et se coucha sur son lit de paille. Je l'admirai, de haut en bas, de bas en haut. Sa culotte noire sexy entravait ses chevilles. Ses mollets et ses cuisses sont puissants, de cavalière. Ses fesses étaient empourprées. Sa veste de cheval noire, sans manche, s'arrêtait au bas de ses reins. Elle ramena ses mains à ses fesses et les palpa, d'abord très précautionneusement, craignant manifestement de les trouver brûlantes et que la peau meurtrie ne supporte pas le contact. Puis elle les massa. Sa tête était posée sur la joue droite. La joue gauche était baignée de larmes.


Je la laissais se masser, tant qu'elle voulut, mais elle s'attardait, reprenait possession d'elle-même, redevenait étrangère pour moi, cet apparté finit par m'impatienter.


- Redressez-vous, dis-je.

 

Et je donnais un petit coup de cravache sur les mains aux fesses. Surprise, elle les sortit aussitôt, avec un petit cri. Elle se remit à quatre pattes, comme une sommanbule. D'un coup sec et bien senti aux cuisses, je dus à nouveau lui faire cambrer les reins.

Nos narines, nos poumons, s'emplissaient de l'odeur de la paille. J'eus la curiosité, déplacer, de regarder entre ses jambes. Son entrefesses était luisant, humide, chaud. Et c'est alors que tout dérapa. C'est pour cela qu'aujourd'hui, devant M. le maire, je m'apprête à lui dire "oui".

Entre ses poils blonds, j'écartais ses grandes lèvres avec le manche de la cravache et en appuyais le bout sur son clitoris, avec un petit mouvement tournant. Je repris la cravache en main, m'écartais et donnait un coup très fort, par le travers des deux fesses, mais pas pour punir, pour simuler le coup de boutoir d'un sexe d'homme, quand la verge vient en butée entre les reins d'une femme, remontant, emplissant, d'un coup, son vagin ou son anus. Puis je massais à nouveau le clitoris de Georgia avec le bout du manche, puis je lui redonnais ce coup de cravache, ce coup était fort mais sexuel. J'alternais ainsi, à cinq reprises. Le dernier coup de cravache déclencha l'orgasme. Elle fut parcourue de convulsions orgasmiques. Je m'en délectais. Je jetais la cravache. Georgia se releva, croisa ses bras sur sa poitrine. Elle semblait très émue. Elle se lova dans mes bras et on s'embrassa. Elle s'écarta, me tourna le dos, vit le lit de paille et s'y rendis tout droit. Elle se remit dessus, à quatre pattes.

-Pénètre-moi, dit-elle, prends-moi, comme une jument.

Mon sexe était dur et dressé. Je le dégageai aussi vite que je pus. Les premiers instants en elle encore très serrée furent une jouissance d'un intensité apocalyptique. Elle avançait et reculait doucement son bassin, faisant coulisser son vagin le long de ma verge en elle. Je la saisis par son bas-ventre et le haut des cuisses, l'attirais le plus fort que je pus à moi, pour la maintenir, tandis que je me répandais elle. Mon coeur s'accéléra, j'en restais essoufflé et j'eus pour elle une reconnaissance infinie.
Elle se releva, me sourit à nouveau.


-Montrez-moi vos fesses, dis-je.

Elle ne se fit pas prier, se retourna et fit une courbette, pour que je puisse mieux voir.
C'était un entrelacs de traits rouges sur fond rouge, comme un tableau abstrait. Elle le cacha en remontant la culotte noire et sexy qui lui entravait les chevilles. Elle remit son pantalon de cheval et m'embrassa sur la bouche.


-Merci, dit-elle, pour ces marques, que vous m'avez confiés.

Je sus alors que je devrais faire ma vie, avec cette femme, qu'elle aurait toujours besoin de mes fessées.

 
Souvent, je venais la voir s'entraîner. Quand je sentais le moment venu, je prenais avec moi une rose rouge. C'était le code entre nous pour lui signifier que ce jour là, elle serait cravachée. Georgia me faisait un petit signe de la main, pour me montrer qu'elle avait compris. Puis, toujours, elle donnait un coup de cravache à sa jument qui bondissait en avant.
Parfois, on se retrouvait, on prenait un pot. Georgia baissait les yeux, et elle m'assurait que j'excellais, dans l'art de la cravache et de l'amour.
Quand elle eut divorcé, vint ce jour où nous allons nous marier.
Je  vais lui dire oui. Il y a les amis, les familles, des flonflons et sûrement plein de cadeaux.
Moi aussi, j'en ai un, pour elle. Je le lui donnerai quand nous serons entre nous, pour la nuit de noces. C'est un paquet long, enveloppé de papier rouge et brillant.

Il contient une nouvelle cravache, en cuir tressé.


 

 

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net
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