Dimanche 2 août 7 02 /08 /Août 21:06


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CHAPITRE 3 (1)


Elle dormit longtemps. Combien ? Elle ne saurait le dire. Elle eut du mal à se situer dans le temps et dans l'espace. Elle était ... dans son salon et il faisait... nuit noire. Elle se redressa avec peine. Le tissu conservait encore l'odeur de sa sueur, celle qu'elle avait déposée lorsqu'elle était restée un moment, pantelante, à genoux, le corps appuyé sur le dossier, après qu'il eut utilisé sur elle ce curieux instrument en cuir.


Il sonna au parlophone.

Elle s'était préparée. Elle avait mis une jupe toute simple, un chemisier blanc et des chaussures plates. De toute façon, elle n'avait pratiquement que des chaussures plates. Pendant tout ce temps, elle s'était demandée si elle devait continuer. Une partie de sa tête lui disait d'arrêter, mais tout son corps avait envie de continuer. Plus le temps s'écoulait, plus son appréhension grandissait, mais plus son désir, son excitation grandissaient aussi. Elle le soupçonnait de lui avoir dit sa dernière phrase intentionnellement, pour accentuer la pression qui pesait sur elle. Il avait réussi. Le trac l'étreignait.

C'est pourtant sans véritable hésitation qu'elle ouvrit la porte de l'immeuble. Pendant les quelques minutes qui suivirent, elle crut que son cœur allait exploser. Elle sursauta lorsqu'il sonna à la porte. Elle ouvrit et lui sourit d'un air faussement assuré.

Elle ne put que dire « entrez » et désigna de la main le bout du couloir. Elle le précéda jusqu'à la salle de séjour. Elle avait l'impression d'être une soubrette introduisant une visite pour sa patronne. Elle le vit calme et détendu. Ce ne fut pas de nature à diminuer son stress.
« Vous voulez visiter ? » demanda-t-elle un peu bêtement. Tu parles comme ça doit l'intéresser… mais si ça permet de gagner du temps...
« Volontiers », répondit-il poliment.

Cuisine, chambre, salle de bain, la visite fut expédiée avec les exclamations admiratives de rigueur.
« Vous voulez boire quelque chose ? ». Toujours gagner du temps, retarder le moment... Elle lui servi le jus de fruit demandé. Il se tenait debout près d’elle. Dès qu’elle eut fini de servir, il lui entoura la taille de son bras gauche d'un geste incroyablement rapide, la souleva, s'assit sur le canapé et la plaqua sur ses genoux.

Elle en eut le souffle coupé et n’eut pas le temps de se ressaisir. Déjà elle recevait ses premières claques sur les fesses. Elles étaient heureusement amorties par ses habits. Elle retrouva ses esprits assez vite et commença à protester. Elle sentit aussitôt sa jupe remonter jusqu’à sa taille et découvrir sa culotte, un sous-vêtement assez banal, comme elle en portait tous les jours.

Les claques reprirent. Elle les ressentait plus nettement, ses fesses étant moins protégées. Un vrai picotement commençait à poindre. Elle se mit à émettre quelques « aïe » bien sonores et tenta de se dégager. Mais plus elle essayait de bouger, plus l’étau se resserrait.

A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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