Jeudi 13 août 4 13 /08 /Août 13:03


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Tout d’un coup, Isabelle tomba en arrêt devant un article étrange : un véritable « martinet des familles ».

Elle prit l’objet et l’examina sous toutes ses coutures, longtemps, longtemps … Elle était comme fascinée … La patronne commença à s’impatienter avec force « Hum … Hum … » – mais Isabelle était ailleurs, au fond de sa mémoire, elle était 15 ou 16 ans avant … –, seulement la patronne tenait une droguerie des beaux quartiers, pas un sex-shop de Pigalle, quand même … La patronne expliqua aux autres clientes du magasin qu’elle connaissait bien Isabelle – ce qui était bien sûr archifaux – et que son mari venait d’acheter un pitbull, et, que dès lors Isabelle cherchait un moyen de domestiquer la bête.

Personne n’était dupe dans le magasin, sauf peut être quelques vieilles dames ignorantes de certains aspects de la sexualité moderne, – compte tenu de l’attitude bizarre d’Isabelle – et la patronne se dit qu’il était temps d’arrêter la vente des martinets – « cela n’attire que des pervers de nos jours … » pensait la bonne dame.

Isabelle finit par acheter le martinet – 2 euros 40 TTC – et remonta chez elle.

Isabelle téléphona à son mari pour lui dire de venir diner à la maison – ce dernier avait pris l’habitude de diner dehors, pour ne plus voir sa femme, toute conversation soutenue avec elle risquant de provoquer l’irréversible à tout instant.

Etonné de cette demande, il accepta bien volontiers.

Entre le coup de fil d’Isabelle vers 13 heures, et le diner, celle-ci s’était chargée elle-même d’acheter et de préparer un diner fin – la bonne, qui n’en croyait pas ses yeux, fut finalement invitée par Isabelle à prendre la fin de son après-midi …

Le mari arriva le soir avec une gerbe de 13 roses rouges et plein de bonne volonté.

Isabelle invita son mari à s’asseoir, à la grande table de la salle à manger, celle pour les invités, et lui servit un apéritif à base de rhum, comme il aimait.

Le mari s’étonna de ce que le couvert ne fût (NDA : j’ose ce temps précieux, à défaut de mieux ; je ne suis pas certain qu’il soit correctement employé ici – aucun reproche ne sera admis …) pas dressé pour Isabelle, il n’y avait effectivement qu’un couvert dressé : le sien.

« Ce soir je te fais la cuisine, je te sers et … je te parle. Et toi tu manges et tu écoutes. Mais tu ne montres pas que tu écoutes. Je suis compliquée, je sais … »

« Mais je croyais que j’allais diner avec toi ma Chérie, pourquoi as-tu renvoyé la bonne chez elle ? »

« Je veux te parler. C’est important. »

Isabelle apporta l’entrée – un magnifique homard – à son mari et s’assit en face de lui.

« Manges pendant que je parle. Sinon je ne pourrais pas. J’aurais trop honte. »

Habitué aux excentricités de sa femme, depuis quelques mois maintenant, le mari attaqua le homard de bonne grâce …

Elle attaqua quant à elle le récit de sa vie « d’avant », elle n’omit rien, ni les tentatives de suicide, ni le suicide, ni la perversité qui était la sienne à cette époque. Le récit était à charge, elle n’expliqua pas pourquoi elle s’était comportée de cette manière.

Elle finit son récit par sa séance chez le Docteur Jérôme, son conseil de se « racheter » en écrivant une confession et sa découverte fascinante du martinet dans la droguerie.

Le mari avait terminé le homard, elle son récit. La grande salle à manger était silencieuse. Le cerveau du mari s’efforçait d’assimiler toutes les informations qu’il venait de recevoir, et, il cherchait la meilleure conduite à tenir. Il jouait son couple. Il savait qu’un « Ce n’est rien ma Chérie tu es trop exigeante avec toi-même, tu es perfectionniste et tu voudrais avoir toujours été une sainte » ou pis  « C’est de l’histoire ancienne » n’étaient pas envisageables … Et il tenait encore à sa femme, son couple et, en tout état de cause, au bonheur de ses enfants …   

Le mari s’essuya longuement les mains, puis se leva.

D’une voix très froide le mari dit enfin : « Vas le chercher ce martinet. »

Isabelle revint avec l’objet.

« Mets-toi face à la table. Et penches-toi autant que tu peux. »

Isabelle se plaça face à la grande table de marbre, comme demandé, et se pencha.

Le mari força le dos d’Isabelle pour la plaquer sur la table tout en disant « Mieux que ça ».

A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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