Samedi 15 août 6 15 /08 /Août 10:25


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« C’est mieux dit-il » en claquant férocement le postérieur de sa femme, par-dessus sa jupe, le corps d’Isabelle formait désormais un L inversé encastré sur la table ; sa poitrine généreuse était comprimée.

Le mari remonta la jupe de sa femme et descendit lentement sa culotte à mi-cuisse.

Isabelle reçut alors une véritable volée sur les fesses, son mari cinglait son postérieur, avec le martinet, à tours de bras … Il y allait sur un tempo rapide en prenant toutefois son élan à chaque coup pour bien marquer sa cible …

Isabelle pleurait comme elle ne l’avait jamais fait dans sa vie ; néanmoins, la correction – la dérouillée plutôt – continuait inexorablement.

Vingt minutes après, les fesses d’Isabelle étaient tuméfiées, mauves, couvertes de marques. Son mari s’était toutefois efforcé de ne pas la blesser, et, seuls les premiers coups avait déchiré la peau qui perlait de sang, après, le mari avait su mieux doser sa force.

Il permit à Isabelle de se rhabiller et lui demanda de lui servir la suite du repas.

Isabelle apporta le gigot, puis le fromage et enfin le sorbet – elle restait évidemment debout à regarder son mari manger. Elle assura aussi le service des différents vins. La moindre imprécision, la moindre goutte hors du verre, la moindre hésitation … et elle recevait une claque supplémentaire sur ses fesses tuméfiées.

Ayant apportée du vin blanc avec le fromage, elle dut se déculotter à nouveau.

A part ça, son mari mangea pendant tout le repas en silence. Isabelle était aussi silencieuse. En somme, les sanglots d’Isabelle faisaient échos aux bruits de mastication de son mari – une ambiance irréelle de glace.

A la fin du repas, son mari dit à Isabelle : « Tu desserviras la table, tu feras la vaisselle – le mardi, ce n’est plus le rôle de la bonne désormais ; et tu iras te coucher dans ta chambre. »

Isabelle osa répondre – timidement – « et demain ? » ; ce qui lui valu une claque intense sur le fessier … mais aussi une réponse :

« Demain tu restes dans ta chambre, la bonne t’apportera à manger. Après-demain pareil, et ce jusqu’à mardi prochain. Le temps que la brûlure de tes fesses se calme. Et mardi prochain, la bonne aura sa journée, tu me serviras un diner comme ce soir, et puis je te fouetterai après l’entrée, comme ce soir. »

« Et après ? »

Nouvelle claque, nouvelle réponse.

« Tu retourneras soigner ton cul une semaine, et tu me serviras un nouveau diner mardi suivant, et là je te fouetterai encore. »

« Et après ? »

Le mari fit signe à Isabelle qu’elle relève sa jupe et se déculotte pour lui infliger une claque encore plus intense … Isabelle ne put retenir un cri de douleur … Le mari en profita pour infliger quelques coups de martinet supplémentaires.

« Cela durera sans doute des mois. Je ne sais pas. Il faut que je réfléchisse à ce que tu as fais. Une chose est certaine. Tu n’as plus besoin de te punir en te torturant l’esprit désormais. C’est moi qui m’occupe de ta punition, et seulement moi. Contentes-toi de soigner tes fesses. »

Isabelle fut ainsi systématiquement punie une fois par semaine pendant 6 mois – restant sans rien faire dans sa chambre le reste du temps.

La veille du 24ème dîner expiatoire, son mari glissa un mot sous sa porte : « Merci de prévoir deux couverts demain ; et du caviar pour l’entrée, du béluga.»

Le lendemain soir, elle eut la surprise de voir la bonne arriver à 20h ; laquelle bonne assista à la fessée d’Isabelle … la dernière fessée d’Isabelle.

Isabelle n’eut même pas honte.

Contrairement aux nouveaux usages du couple, cette fessée se déroula avant le diner – elle fut moins forte que d’habitude, pour permettre à Isabelle de garder la capacité de s’asseoir ; après la punition, Isabelle dîna avec son mari, la bonne se chargeant du service.

Une fois la bonne partie, les deux époux firent l’amour sur la salle à manger d’abord, et, dans la chambre du mari ensuite, et ils dormirent dans le même lit en s’enlaçant.

Le lendemain un décorateur intérieur était convoqué – en urgence – pour remettre l’appartement d’aplomb : une chambre pour les parents, et deux pour les enfants, il fallait aussi revoir la décoration de la salle à manger, envisager une ambiance plus chaude, moins formelle …

Le martinet fut jeté aux ordures avec les restes du dîner de la veille.

Pendant les travaux, Isabelle et son mari partirent en voyage, en Suisse, ils s’aimèrent dans les meilleurs palaces et revinrent de Suisse avec leurs enfants.

Jamais Isabelle ne reçut la moindre fessée de son mari, après cet épisode, et ils s’aimèrent comme avant.

Depuis lors – une fois par an ; à la date anniversaire de son suicide – Isabelle va fleurir la tombe d’Antoine Jérôme. Elle revient toujours bouleversée et son mari la console dans ses bras.

La mère d’Antoine s’est suicidée à son tour. Elle a enfin fini de souffrir.

Isabelle et son mari invitent régulièrement le Docteur Jérôme à diner dans leur nouvelle salle à manger, il fait presque partie de la famille – c’est important car il n’a plus de famille désormais – les enfants du couple l’appelle « Papy », ce qui le fait pleurer parfois.

Le couple révéla au Docteur les 6 mois de pénitences d’Isabelle.

Celui-ci a développé une nouvelle théorie sur le remord et le pardon, une théorie qui démode Freud – on parle de lui pour le prix Nobel de médecine. 

Quant à Antoine – où qu’il soit – une chose est certaine : il continue viscéralement d’aimer Isabelle, son premier et dernier amour sur la Terre … 


FIN

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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