Mardi 1 janvier 2 01 /01 /Jan 23:25

Ce n'est pas une simple réédition, mais une version plus charnelle d'un de mes anciens textes. J'ai envie d'aller plus loin, de quitter un peu mon cliché trop sage. Fiction et réalité s'en mêlent...

 

 

Monsieur, moi et les cravates, c'est toute une histoire. Quand je l'ai

rencontré, il en avait déjà. Étant bien « classique » sur ce point, je me suis dit:

 

Excellent signe!

 

Et - comble de surprise – il y en avait des jolies. Selon mes critères, cela va de soi.

 

Chouette ! Un homme de goût.

 

Il en mets pour aller au restaurant ou faire du shopping avec moi sans que je sois obligée de lui rappeler que rien ne va aussi bien avec une femme en bas et porte-jarretelles qu'un homme portant une cravate.

 

Mais oui, on n'a rien sans rien  !

 

Et j'adore quand il me trousse sur le chemin de retour dans un coin discret. Et Dieu sait que cela ne manque pas en allant vers les Pyrénées. Parce qu'il n'arrive pas à attendre. Parce que son pantalon le serre. Parce que je vois bien cette grande bosse dû à ma présence, dû a mes charmes, dû à un long jeu de séduction tout au long de nos courses. Quand je réajuste une jarretelle dans un ascenseur. Quand je lui demande de vérifier la couture de mes bas. Quand je lui dis en passant à côté d'une esthéticienne que - hors épilation définitive - rien ne vaut la cire pour être parfaitement lisse dans le moindre recoin. Quand je lui dit que je n'ai jamais été aussi épanouie depuis que je reçois une éducation au martinet par ses soins. Des mots , des allusions, des chuchotements. Et il suffit d'un petit déclencheur en toute innocence pour que Monsieur perde de ce qui reste de sa retenue :

 

Chéri, je te trouve terriblement tendu. Une petite pause te fera du bien...

 

Mon string sur mes chevilles, penchée en avant mes fesses en l'air en attente que Monsieur ouvre enfin sa braguette pour sortir l'instrument des instruments pour me montrer quel rôle dame nature réserve à chacun de nous deux . Pas besoin de faire dans la sophistication. J'aime beaucoup un Monsieur qui a attentivement suivi les cours d'éducation sexuelle. Qui s'y prend de manière conventionnelle et qui livre une solide prestation. Qui m'écoute d'une oreille attentive pour bien cerner au son de mes gémissements où j'en suis. Je n'aime pas m'expliquer pendant des heures sur ces choses-là et j'ai une préférence pour les scouts : toujours prêt et surtout capables de suivre un jeu de piste sonore.

 

 

Il m'est agréable de sentir l'haleine de mon homme dans mon coups. De sentir ses bras autour de moi. De le sentir passer une main vers l'avant pour me caresser ma peau toute lisse. Il m'est agréable aussi quand il me claque sur mes fesses. Par surprise et surtout vigoureusement. Dans ces moments-là, il n'y a plus de sensation de douleur.

 

Plus fort...

 

Cette envie qu'il me mette le derrière en feu. Que j'aurais dû mal à m'asseoir plus tard dans la voiture. Que je garde pendant des heures une vivre brûlure comme souvenir de nos galipettes. Et comme il sait s'y prendre avec moi mon chéri. Il arrive si bien à me laisser pantelante, pleinement satisfaite et bien disposée pour d'autres aventures à la maison. Parfois je me dis, le pauvre, cela lui apprendra d'avoir souhaité partager sa vie avec une femme qui aime les joies de la chair...

 

A suivre...

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : Ecritures Sensuelles
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés