Mes récits

Mercredi 5 avril 3 05 /04 /Avr 22:28

...fait un bien fou à celui qui l'applique !

 

Certains jours mon insolence n'a pas de limites. C'est plus fort que moi et après quelques bienveillantes mises en garde Monsieur se lève pour chercher le martinet. Ah le grand geste. Comme il est fier de faire respecter l'ordre et la discipline à la maison. Trop craquant mon chéri quand il ajoute :

 

Cul nu, jeune dame. Tu l'as bien cherché.

 

Niveau frisson cela marche à chaque fois. Avec le temps j'ai développé quelques réflexes quand il est question de martinet. Pas seulement que je me dépêche pour me déculotter, mais aussi je rougis timidement. Car la position a adopter est de plus impudique. Mes jambes en peu écartées, je dois me pencher en avant, mes mains sur mes mollets. D'un simple coup d’œil on y voit tout les secrets d'une fille. Il est facile à comprendre que Monsieur prend tout son temps. Puis c'est le moment de passer à l'acte.

 

En fin connaisseur de ma psychologie, il s'applique avec modération. En variant surtout les alentours de ce qui va se passer . C'est ainsi que se construit un suspense de la petite aventure au quotidien qui ne craint pas de la violence fessière. D'accord c'est toujours une expérience douloureuse (ce qui est la nature même de cette pratique), mais il n'y a pas d'abus et en plus pas de tripotage vicieux.

 

Non, non, on ne badine pas avec la discipline.

 

Bref, il marque son domaine, l'autorité de me punir quand il le juge bon...

 

Il est important de bien comprendre l'expression...juger bon... car notre discipline domestique se base sur mon besoin de punition...et aussi sur le besoin de punir de mon homme.

 

Évidement il est très délicat de parler d'un besoin de punir. Et il vaut mieux connaître le contenu exact de cette notion pour ne pas tomber de haut ou plutôt dans des pratiques non souhaitées.

 

Mais, mais, mais...

 

...parfois j'arrive vraiment à agacer mon homme par mes comportements. Et dans ce cas, par accord commun, rien de mieux que la fessée dans le sens que Françoise Dolto  -selon les on-dits- lui a attribuée :

 

Elle n'éduque pas, mais soulage la personne qui l'applique.

 

Pour ma part, je dois dire, je me sens soulagée aussi...

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits
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Dimanche 6 janvier 7 06 /01 /Jan 22:11

(Vers le début de l'histoire)

 

 

Je suis pliée de rire entre ce qui me pend au nez et ce qui se dresse devant mes yeux....

 

...tandis que mon chéri desserre le nœud de sa cravate encore un peu plus.

 

Oh là là, il a chaud, très chaud le pauvre...

 

Il respire profondément et essaye de se donner un air sérieux. D'après tout, il est sensé de représenter l'autorité à la maison. Et il est décidé de me le prouver. Je n'essaye pas de le divertir, par exemple en m'ajustant un des mes porte-jarretelles. C'est un geste qu'il adore, mais dans cette situation précise il considérerait cela comme une provocation supplémentaire. Alors je risque gros, des punitions à la hauteur de mon insolence. Style révision de mes connaissance de majorette avec des musiques allemandes de carnaval.

 

Maintenant c'est moi qui s'amuse...

 

Je reste donc bien sage devant lui en attendant le verdict. A partir de ce moment, il a des différentes possibilités. Parfaitement imprévisibles, ce que j'aime par dessus tout avec mon homme.

 

Il me menace :

 

A chaque fois que je mets une cravate le matin, tu me fais ton cirque isabelle. Soit tu te calmes, soit j'en mets plus.

 

Terrible sa menace. Je me retiens pour ne pas exploser d'un autre rire encore plus bêtasse.

 

Il est susceptible ce jour-là à la ruse féminine :

 

Il est bien connu que certains garçonnets se calment quand on leur propose une sucette. Pour certains grand garçons c'est pareil. Et quoiqu'il en dise, le mien, il bosse bien mieux après une petite récréation.

 

Il se comporte en homme...tout court :

 

Sois sur le canapé de son étude, sois penchée sur son bureau, soit sur un des tapis etc. J'ai pu constater dès le début de notre relation à quel point son étude est bien...étudiée. Mais oui, il n'y a pas que la discipline dans notre vie.

 

Il recourt ce jour-là à la intransigeance masculine :

 

Le martinet en main, il me demande de me préparer. Bon, ma faute, pour le moins qu'on puisse dire minime, dans l'échelle punitive de notre ménage, va entraîner une toute petite séance d'échauffement de fessier.

 

Toutefois cela tangue vers le punitif – et il m'importe beaucoup que mon homme me montre de cette façon qui porte le pantalon à la maison.

 

Mais avant, un moment particulièrement...délicieux  de gêne concernant mon déculottage :

 

Par curiosité, j'aimerais bien voir la tête d'une séductrice chevronnée qui s'engage dans cette voie et qui comme moi doit remonter sa jupe et baisser sa petite culotte pour présenter aux yeux amusés du Monsieur son derrière dans sa nudité paradisiaque. Pas de guili-guili, mais du pan-pan cul cul. Et après au coin, les fesses bien exposées.

 

Et là, je boude sérieusement...

 

Par contre je sais que Monsieur quand il a eu l'occasion de me corriger dans la journée, se montre particulièrement ardent le soir. Ce qui tombe bien. Moi aussi je me languis de cette réconciliation...

 

Ah oui, je me pose souvent la question si mon homme ne me provoque pas intentionnellement en mettant une cravate le matin...

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Vendredi 4 janvier 5 04 /01 /Jan 16:37

(Vers le début de l'histoire)

 

Pour mieux montrer à mon chéri que ce petit accessoire de rien du tout, dit phallique à juste titre, me procure des forts émois, il m'arrive de lui servir des repas en tête à tête, habillée uniquement en escarpins vernis et avec une de ses cravates. Outre le plaisir pour la bouche, préparé de A à Z par mes soins, j'offre en même temps le plaisir pour les yeux. Et Monsieur apprécié beaucoup. Non seulement ma cuisine, mais aussi ma présentation.Et inutile de dire qu'il ne sait pas trop où mettre ses mains. En grand gamin, il s'amuse parfois de me soulever ma cravate qui par la loi de la pesanteur bloque justement l'endroit qui distingue les filles des garçons. Il aime également me mettre un doigt sous la cravate en explorant les secrets de mon anatomie. Inutile aussi de dire que je me chope quelques savoureuses claques sur mon derrière pendant mon service. Ce que je me défendrais de qui que ce soit, devient un puissant stimulant quand c'est mon homme qui s'applique. Bref il s’intéresse pleinement à moi et de le voir aussi heureux me va droit au cœur.

 

On s'en doute un peu de la nature du dessert que je lui propose. A petit coups de langue et en prenant mon temps. J'ai aimé ces petits câlins dès mes premières expériences quand j'étais encore adolescente. A l'époque hélas les hommes ne s'épilaient pas et le fameux poil entre les dents me procurait des sensations bien désagréables. Puis génération sida oblige, il faillait s’accommoder au préservatif. Rigoureuse pour éviter les risques, j'ai patiemment attendu ma première relation stable pour enfin goûter ce qui se cachait sous l'emballage en latex. Cruel jeu pendant des années qui nous met devant les yeux ce qui est défendu de déguster. C'était un peu comme dans le temps d'attendre le mariage pour avoir accès au plein plaisir.

 

Mes efforts concernant les cravates ont porté leurs fruits. Quand je lui en offre une (« le pauvre » selon ma Maman), ce n'est pas pour faire de la déco. Il les mets vraiment. Pas tous les jours, mais souvent ...le terme convient bien. Et aussi à la maison pour me surprendre au petit déjeuner.

 

J'aime beaucoup les situations quand mon homme sous l'emprise de l’alchimie hormonale commence à desserrer le nœud de sa cravate...parce que j'ai encore pris - en toute innocence - des poses indécentes qui perturbent sa concentration (il travaille à la maison). Par exemple en faisant la poussière de notre immense bibliothèque qui se situe dans l'étude de Monsieur et qui va jusqu'au plafond. Plumeau en main aucun grain me résiste. Et nous avons même une échelle -mon chéri est soucieux du détail - qui lui permet de son bureau une vue directe ...sous mes jupes.

 

Tu fais encore la vilaine isabelle....pas de culotte ?

 

Ma foi, ce n'est pas très original ce qu'il a à me dire. Seulement là, il faut le comprendre. Il mène un dur combat intérieur entre sa conscience professionnelle qui est de taille, ses ambitions d’éducateur intransigeant pour grandes filles et une foulé de désirs pervers...

 

Vilaine, mais ouiii, je sais être terriblement vilaine !

 

Il arrive même à mon homme de pointer sur son pantalon pour me faire constater les ampleurs du dégât causé. Et moi insolente comme pas permis, je commence à ricaner...

 

...bêtement. Arrête isabelle, sinon je sors le martinet !

 

Oh oui, oh oui !

 

Et je suis pliée de rire entre ce qui me pend au nez et ce qui se dresse devant mes yeux....

 

A suivre...

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Mardi 1 janvier 2 01 /01 /Jan 23:25

Ce n'est pas une simple réédition, mais une version plus charnelle d'un de mes anciens textes. J'ai envie d'aller plus loin, de quitter un peu mon cliché trop sage. Fiction et réalité s'en mêlent...

 

 

Monsieur, moi et les cravates, c'est toute une histoire. Quand je l'ai

rencontré, il en avait déjà. Étant bien « classique » sur ce point, je me suis dit:

 

Excellent signe!

 

Et - comble de surprise – il y en avait des jolies. Selon mes critères, cela va de soi.

 

Chouette ! Un homme de goût.

 

Il en mets pour aller au restaurant ou faire du shopping avec moi sans que je sois obligée de lui rappeler que rien ne va aussi bien avec une femme en bas et porte-jarretelles qu'un homme portant une cravate.

 

Mais oui, on n'a rien sans rien  !

 

Et j'adore quand il me trousse sur le chemin de retour dans un coin discret. Et Dieu sait que cela ne manque pas en allant vers les Pyrénées. Parce qu'il n'arrive pas à attendre. Parce que son pantalon le serre. Parce que je vois bien cette grande bosse dû à ma présence, dû a mes charmes, dû à un long jeu de séduction tout au long de nos courses. Quand je réajuste une jarretelle dans un ascenseur. Quand je lui demande de vérifier la couture de mes bas. Quand je lui dis en passant à côté d'une esthéticienne que - hors épilation définitive - rien ne vaut la cire pour être parfaitement lisse dans le moindre recoin. Quand je lui dit que je n'ai jamais été aussi épanouie depuis que je reçois une éducation au martinet par ses soins. Des mots , des allusions, des chuchotements. Et il suffit d'un petit déclencheur en toute innocence pour que Monsieur perde de ce qui reste de sa retenue :

 

Chéri, je te trouve terriblement tendu. Une petite pause te fera du bien...

 

Mon string sur mes chevilles, penchée en avant mes fesses en l'air en attente que Monsieur ouvre enfin sa braguette pour sortir l'instrument des instruments pour me montrer quel rôle dame nature réserve à chacun de nous deux . Pas besoin de faire dans la sophistication. J'aime beaucoup un Monsieur qui a attentivement suivi les cours d'éducation sexuelle. Qui s'y prend de manière conventionnelle et qui livre une solide prestation. Qui m'écoute d'une oreille attentive pour bien cerner au son de mes gémissements où j'en suis. Je n'aime pas m'expliquer pendant des heures sur ces choses-là et j'ai une préférence pour les scouts : toujours prêt et surtout capables de suivre un jeu de piste sonore.

 

 

Il m'est agréable de sentir l'haleine de mon homme dans mon coups. De sentir ses bras autour de moi. De le sentir passer une main vers l'avant pour me caresser ma peau toute lisse. Il m'est agréable aussi quand il me claque sur mes fesses. Par surprise et surtout vigoureusement. Dans ces moments-là, il n'y a plus de sensation de douleur.

 

Plus fort...

 

Cette envie qu'il me mette le derrière en feu. Que j'aurais dû mal à m'asseoir plus tard dans la voiture. Que je garde pendant des heures une vivre brûlure comme souvenir de nos galipettes. Et comme il sait s'y prendre avec moi mon chéri. Il arrive si bien à me laisser pantelante, pleinement satisfaite et bien disposée pour d'autres aventures à la maison. Parfois je me dis, le pauvre, cela lui apprendra d'avoir souhaité partager sa vie avec une femme qui aime les joies de la chair...

 

A suivre...

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Lundi 31 décembre 1 31 /12 /Déc 18:50

J'aime quand mon homme me fait des confidences. Quand il me parle de ses désirs, ses petites envies, des trucs qui le titillent.

 

C'est parce que tu l'aimes isabelle !

 

Cela va pas la tête. C'est parce que je sais ce qu'il me demande ne va pas bien loin. Parce que cela reste toujours à mes yeux du bon enfant. Ma liste des « non » est très longue. Tiens, aller en club par exemple. Faire des jeux de société à deux couples. Sortir chacun de son côté. Alors oui, heureusement mon chéri adore la monogamie.

 

J'ai un truc infaillible pour que mon chéri se lâche ! (Pour me raconter tout, tout...tout aussi, mais bon cela je le garde pour nous.)

 

Je sais à peu près à quelle heure il finit son travail. Alors je vais le voir tac, tac, tac sur des très hauts talons qui font tac et je m'assois sur son bureau en soulevant ma robe. Mes fesses plaquées sur le bois, je croise mes jambes qu'il voie bien le haut de mes bas et je commence à ajuster mes portes-jarretelles. Ben quoi, je n'ai jamais dit que j'étais originale moi !

 

Et hop, son attention est captée et moi j'attends...pas longtemps !

 

Tu sais, ce qui me ferait plaisir, isabelle...

 

Non mon chéri, mais je t'écoute attentivement !

 

...que tu sortes avec moi un des ces jours sans rien sous ton imper.

 

Pour aller où ?

 

Cris du cœur ! Sans panique. Non , non ce ne sera pas bien méchant.

 

Une promenade en amoureux autour du lac !

 

Il suffit de me demander ! Je réfléchis. Tout compte fait, pourquoi pas ? Hors saison touristique c'est un endroit de toute tranquillité. Mais... tout de même...

 

...avec mon vieux imper ?

 

Il me regarde, il sourit, puis il ajoute :

 

Justement je compte de t'en offrir un tout nouveau, tout beau.

 

Waoh, comme il sait parler aux femmes mon chéri.

 

Je me pose la question du fantasme inverse. Existe-t-il des dames qui rêvent de sortir avec leur homme, lui nu sous un imper ? Passons.

 

Alors quelques jours plus tard, au coucher de soleil, comme c'est romantique, nous faisons notre tour du lac. Monsieur dans un élégant costume et moi sans rien sous mon imper, m'enfin on se comprends, il y a quand même une jolie guêpière, des bas couleur havane et des escarpins. Tenue dans toute sa banalité de celles qui aiment se montrer.

 

Seul un détail dénote. La couleur de mes fesses ! Rouge vif.

 

Mon homme n'en pouvait plus. Un jour en entier pour choisir ce maudit imper. Des heures de marche dans la ville et je ne sais plus combien de magasins dont certains à plusieurs reprises.

 

Première mise ne garde vers le début de l'après-midi.

 

Tu abuses, isabelle !

 

Colère de Monsieur en fin de l'après-midi, décision très rapide alors de ma part pour choisir mon imper. Puis retour à la maison, me voilà déjà prévenue d'une petite rectification de mes manières avec le paddle tout cuir que Monsieur affectionne tant. (Fait chez un cordonnier sur mesure pour mon derrière ; Monsieur ne me refuse rien)

 

J'essaye de calmer la situation :

 

Tu veux que je le fasse briller un peu plus avant que tu ne t'en serves, chéri ?

 

Tu te payes ma tête isabelle ? Sur mes genoux et vite !

 

Ce n'est pas une fessée plaisir, ce n'est pas non plus une fessée angoisse.

Je paye pour les longues heures de conseil, pour l'accompagnement en ville et mes abus à répétition le prix fort. Je sais bien que mon homme, sa patience épuisée se délasse le mieux en m'infligeant un claquant concert de paddle sur mon... cul nu. Et il ne se prive pas que la séance soit mémorable. Et quand je me lève j'ai vraiment très mal, mais je pense :

 

Lui, il ne se laisse pas marcher sur les pieds comme les mecs de mes copines. Quelle perle rare !

 

C'est cela qui est jouissif, sa détermination et sa fermeté de me remettre à ma place.

 

En marchant je sens la main de mon homme se glisser sous mon imper.

 

T'es fesses sont encore chaudes, isa. Tu devrais enlever ton imper pour qu'elles refroidissement mieux. Mets toi à l'aise, il n'y a personne.

 

Tu parles, me mettre à l'aise. Nous sommes loin de la discipline domestique. Il n'y a pas d'obligation. On est, je dirais dans la séduction pure. Je sais à quel point mon homme aime que je fasse -la tête haute et on balançant mes hanches comme dans un défilé de mode - ce qu'il appelle entre autres la marche honteuse , celle de la femme qui vient de recevoir une sacrée fessée cul nu. Alors je continue cette promenade avec mon imper sur mon bras. Mes fesses au grand air. En présentant les traces de ma punition au bon plaisir de mon homme.

 

Cette parade de la punie a fait parti de maints de mes fantasmes quand j'étais encore célibataire. Punition, puis marche au travers de la ville pour présenter mes excuses à la personne offensée.

 

Ce n'est pas pour cette mignonne parade alors que je trouve que mon homme a le vice dans sa peau. En fait tout s'est passé comme dans son fantasme de base qui comportait aussi une fessée de taille avant que je ne m'enfile mon imper. Il n'a pas jugé nécessaire de me parler de ce détail, me connaissant trop bien et notamment mon comportement inacceptable pendant certaines courses.

 

Mais j'ai compris l’étendu de son vice quand il m'a dit :

 

J'adore les courses avec toi, isabelle !

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Lundi 24 décembre 1 24 /12 /Déc 14:53

Oh ce vilain Georges-Henry !

 

Vint d'abord le récit d'un nouveau tour en mon absence dans mon tiroir de lingerie pour s’imprégner de l'odeur de mes bas et de mes petites culottes. Avec cette fâcheuse tendance de se frotter ses parties intimes avec mes jarretelles pour leur aspect rugueux, mêlé de douceur satinée. J'ai beau à le punir, même avec la canne, il n'arrive pas à renoncer à ce vice.

 

Ayant été pendant longtemps engagée dans l'armée, en charge du drill de nouvelles recrues, je sais l’exercice hautement bénéfique pour combattre l’oisiveté. J'ai tenté donc dans le passé de faire marcher au pas mon mari pendant des longues heures. En lui apprenant, tant qu'on y était de saluer de manière impeccable on claquant ses talons. C'est un plaisir de le voir faire sienne cette discipline qui dénote tant de ses grands discours d'antan sur le ridicule de ceux qui se soumettent sans broncher à une autorité. Grâce à mon travail il admet enfin volontairement :

 

Tu avais raison, Éléonore. Il n'y a que le martinet qui me fait progresser !

 

J'ai cru comprendre, vêtue de mon tailleur uniforme, coupé au plus près de mon corps, d'attiser encore plus ses élan amoureux. Et imaginez mon étonnement quand il m'a audacieusement soufflé, le soir au lit, dans l'oreille si je ne comptais pas aller chez le coiffeur pour me refaire ma coupe à la garçonne que je portais à notre rencontre. Réveillant le souvenir de mes émois sensuelles quand il me passait la mains sur ma nuque parfaitement dégagée. Mais réveillant surtout ma terrible jalousie à chaque fois quand je l'ai cru contempler l'une de ces provocantes créatures à la longue chevelure flottante. J'ai compris alors des années plus tard ce qui l'avait tant séduit en moi.

 

Puis il m'a rappelé mon sifflet pour cadencer les exercices de mes recrues. Je n'ai pu m’empêcher de penser à tous ses jeunes hommes musclés qui transpiraient à grosses goûtes sous mes ordres. A mes tours d'inspection les plus imprévues dans les douches et vestiaires. Voir se dresser à porté de main et au garde à vous devant moi des beaux mâles nus de la tête au pied . Leurs yeux droit devant comme indique le règlement, tandis que moi j'inspectais sans la moindre gêne ce qui les distingue des filles. Je me souviens à quel point j'étais troublée quand je rejoignais mon lit et de mes inavouables fantaisies qui me harcelèrent. Car déjà à l'époque j'aurais bien aimé de pouvoir recourir à la discipline corporelle. Seulement je n'étais pas encore prête pour passer à l'acte.

 

Ceci me passant par la tête j'ai compris que Georges-Henry était le mari qui me fallait. Et pour parfaire mon bonheur, j’accepterais avec joie la mission de transformer aussi sa mollassonne bande de copains de foot en un bataillon de choc dévoué aux service des dames.

 

Malheureusement ma sentimentalité affectueuse fut gâchée par l'aveu d'un achat d'une revue sur papier glacé, dédiée à la gloire et au charme de dames sévères. Au premier abord c'est motivant et flatteur à la fois de savoir les rêveries intimes de mon homme s'imbiber de ses conditions de vie. Ce qui est nettement moins réjouissant ce sont les traces d'un honteux acte d'autosatisfaction étalés sur un bas de dos féminin, dépourvu de tout vêtement, étroitement lacé par un corset. Et quand je lui ai posé la question sur les raisons du choix de sa cavalière virtuelle, il m'a avoué une vénération particulière pour un bijoux que portait cette dame pour cacher de manière aguichante – et je pèse mes mots - l'endroit le plus honteux de son anatomie. L'endroit que je ne nommerai point et que j'expose d'habitude uniquement à mon esthéticienne pour une soigneuse épilation à la cire me garantissant une hygiène corporelle irréprochable même dans mes zones les plus reculées. Traitement que je trouve extrêmement agréable et qui m'a confirmé une forte sensibilité quelque peu gênante à admettre. En fait je me suis aperçue de ce caprice de ma nature car ma nervosité quand j'étais en train de punir mon époux m'envahissait toujours de ce côté-là. Je confirme donc, ce n'est pas une légende urbaine, le goût de la bonne discipline passe chez certaines personnes par la voie rectale.

 

Pour calmer ces drôles d'ardeurs j'ai essayé d'abord sans grand succès des lavements à la camomille. Puis en confiant mes mésaventures à une copine, elle a attiré mon attention sur ces choses, quelque peu obscènes, mais parfaitement étudies pour procurer une agréable détente de cet endroit, combinée avec un confort inégalé qui permet un port prolongé. Et depuis, parfois quand Georges-Henry me trouve particulièrement tatillonne et coincée dans mes attitudes, je me réjouis du soutien stimulant de mon achat.

 

Alors oui, ce jour-là, confrontée à cette dame sur papier glacé, je me suis sentie trahie dans mes secrets intimes.

 

A suivre...

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : La fessée
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Dimanche 23 décembre 7 23 /12 /Déc 11:31

Il a suffit d'un seul regard de ma part, pour arrêter Georges-Henry dans ses élans et j'ai su aussitôt que le moment d'agir était venu.

 

Et depuis il à dû apprendre, petit à petit, à se plier à mes principes d'éducation. Je garde toujours un souvenir ému de sa première punition au martinet. De voir mon tendre mari, rougissant de honte, baisser son pantalon, se plier sur le dossier de son fauteuil de foot et de recevoir - au lieu de sa habituelle bière et des ses éternel chips - une belle série corrective sur son auguste postérieur à faire honneur à un manuel d'éducation traditionnelle. Dommage qu'il n'y ait pas de groupes de supporteurs féminins qui se déplacent pour ce genre de spectacle, avides de ne pas louper la moindre miette. Filles décomplexées qui applaudissent claque coup à sa juste valeur et qui discutent le bienfait de l'éducation masculine. Compétitions internationales avec des messieurs, les shorts aux chevilles qui chantent l'hymne nationale de leur pays en exhibant la nudité de leur derrière avant de chanter l’internationale de ceux qui n'en peuvent plus tellement ils ont mal aux fesses.

 

Cette première correction avait eu un superbe impacte sur comportement de mon mari. Il s'est tenue au carreau pendant des semaines! Et il a suffit seulement que je mentionne de temps en temps le martinet pour qu'il cesse aussitôt tout genre de contrariété à mon égard.

 

J'ai trouvé cette expérience fort agréable et elle a largement alimenté mes petites rêveries en prenant une tournure qui me donna sueurs et frissons à la fois. Au point de me montrer particulièrement demandeuse de câlins conjugaux au grand étonnement et plaisir de mon mari. Sans manquer d'encourager dignement mon tendre époux à chaque fois :

 

Tu vois mon chéri comme les grands garçons sages m'inspirent. Il serait vraiment dommage que tu me déçoives par des incartades, non ?

 

Et lui, tout feu tout flamme comme à nos débuts, ne manqua pas de me souffler dans l'oreille :

 

Tu n'as qu'à me corriger sévèrement quand je le mérite, Éléonore.

 

J'ai pris alors pleinement conscience aussi qu'il me ne tardait rien de plus qu'un nouveau faux pas de la part de mon mari. Et qu'alternativement rien mis à part d'une conduite irréprochable de mon chéri ne s'opposait pour recommencer cette … jouissive expérience éducative.

 

A chaque fois que je décroche le martinet, je suis donc bouleversée par une multitude d'émotions contradictoires. Il y a une sorte de déception par exemple quand je me trouve devant un écart de comportement recourant, déjà puni à maintes reprises. Je me sens volée des fruits d'une longue et rigoureuse éducation. Situation qui sent de loin le roussi pour les fesses de Georges-Henry. Car c'est ma fierté et mon ambition personnelle qui se réveillent avec véhémence. Je me pose des questions sur mes méthodes punitives.

 

Quel entraînement lui faudrait-il pour éviter les récidives ? Quel nouveau châtiment appliquer pour mieux souligner mes exigences ?

 

Je me pose aussi -parfois inquiète, parfois amusée, parfois enthousiaste - des questions sur cette petite voix intérieure qui me suggère un règlement de plus en plus strict que Georges-Henry doit respecter scrupuleusement. Et bien que je sois une personne méthodique qui progresse généralement avec la tête au calme, dans ce contexte précis je me heurte à mes propres limites. L'idée de faire la fête au postérieur de mon homme me procure un effet de plus aphrodisiaque auquel je ne peux que difficilement mes soustraire. Car effectivement Georges-Henry avec l'éducation qu'il à déjà reçu de ma part, commencé à se montrer très friand d'apports réguliers de discipline comme d'autres se montrent très friands...

 

...de bonbons !

 

Le martinet en main, je marque un temps d’arrêt et j'essaye de pratiquer une fulgurante autocritique. Vaine tentative devant un envahissement de cette excitation, surgissant de partout et de nulle part que je ne saurais qualifier autrement à ma grande confusion que de nature profondément perverse. Impuissance avouée qui a pour effet de me mettre en colère. En principe contre moi, mais j'ai peur que cette dernière s'ajoute à mes ardeurs pendant la correction à venir et que ce soit le fessier de mon mari qui paye les frais comme on dit.

D'où mon habitude (ce n'est pas la première fois que je me sens aussi nerveuse) de confesser mon mari avant sa punition. Ce jour-là sa mauvaise conscience lui pesait particulièrement et j'ai ressenti son réel besoin de la soulager. J'ai appris alors bon nombre de méconduites, chacune à elles valant une correction exemplaire !

 

A suivre

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : La fessée
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Samedi 22 décembre 6 22 /12 /Déc 18:01

Il est temps alors pour moi de chercher le martinet et de le présenter à Georges-Henry.

 

C'est un acte annoncé à haute voix avec un regard droit dans le yeux de mon homme pour qu’il comprenne bien que j'attache grande importance de le maintenir sous un régime digne d'un adolescent de l'ère victorienne. Il a beau à me dire dans ses moments de révolte qu'il me trouve vieillotte, rien n'y fait . Imperturbable je lui explique qu'il fait selon ma conception du monde partie de ces grands garçons avec un besoin tout naturel de discipline et qu'il n'a qu'à demander avis à son deuxième cerveau, celui de la petite tête, se situant sous son caleçon et qui lui, plus perspicace que la raison de Monsieur approuve pleinement et surtout visiblement mes méthodes éducatives. Par conséquence à chaque fois que je désapprouve un comportement, je continuerai de descendre son pantalon aux chevilles pour lui appliquer une correction dont son derrière se rappellera pendant plusieurs jours. Devant tant détermination, il baisse ses yeux comme il se doit pour un garçon assez grand pour comprendre quelle service lui est rendu par ce traitement.

 

Parfois il essaye de marchander. Des longues argumentations pour obtenir le droit de garder son caleçon pendant ses punitions. Cela me fait rire de bon cœur, tellement je le trouve ridicule quand il m'expose son point de vu, les mains derrière son dos et en dansant d'un pied sur l'autre. Mal à l'aise dans sa peau et transpirant, en gouttant au délice tant convoité que je lui dise...

 

Non !

 

Il a dû passer des jours pour trouver tant de choses à dire pour renégocier sa pudeur. Alors pour faire durer le plaisir, je lui promets une décision pour le dimanche matin, journée de sa confession hebdomadaire et le plus souvent aussi de la « magistrale » comme il appelle affectueusement notre cuisante séance très intime qui suit ses confidences trop audacieuses.

 

Et croyez moi, un homme dans la force de l'âge ne manque pas de fantasmes insolites qui méritent punition.

 

Ceci dit jusqu’à nouvel ordre, ainsi est-il convenu, que Georges-Henry accueillera notre martinet familial par la nudité de son derrière.

 

Quand je quitte la pièce pour chercher le martinet, je ne me trouve pas devant l'inadmissible allure de certains grand garçons très mal élevés qui se moquent de la bonne discipline et surtout de celle qui se donne le mal de leur inculquer des manières irréprochables et qui fanfaronnent un

 

Même pas peur, même pas mal !

 

Pas que je veuille vanter particulièrement les qualités de mon homme. Non, je n'ai pas honte d'avouer que lui aussi fit partie de ces vilains garnements qui se réjouissent de leur propre insolence. C'est à force de corrections régulières que le germe du respect à pu trouver un terrain favorable. Voila donc ce que j'aimerais dire aux autres dames dans ma situation :

 

Ne vous découragez pas dans votre mission de disciplinaire.

 

C'est en appliquant une éducation sans faille sur des longues années que le comportement de votre mari s'affinera pour vous combler de bonheur et de fierté de votre travail. Étant donné que le mariage c'est pour la vie, le temps nécessaire ne vous manquez pas. Pensez-y et n’hésitez pas à établir votre autorité dès le début. Votre mari vous remercia plus tard pour vos efforts.

 

Quand j'ai parlé pour la première fois de mes aspirations d'introduire la discipline d'antan dans notre relation, Georges-Henry s'est ouvertement moqué de moi. D'abord par un long et interminable fou-rire, exprimant une arrogance masculine hors pair et insoupçonnée de ma part.

 

J'ai su garder ma patience en pensant :

 

Rira bien qui rira le dernier.

 

Sachant très bien qu'au font Georges-Henry n'étais pas un mauvais gars, seulement un en manque de repères sans le savoir lui-même. Un terrain propice donc qui vaut le coup de le labourer.

 

Pendant sa phase de rébellion contre l'introduction du martinet dans notre foyer, il a manque de peu un soir, porté par la bière et par une victoire sportive, qu'il pousse le vice pour partager le sujet avec ses copains des soirées foot en me rendant ainsi la risée de la bande.

 

Il a suffit d'un seul regard de ma part, pour l’arrêter net dans ses élans et j'ai su aussitôt que le moment d'agir était venu.

 

A suivre...

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Vendredi 21 décembre 5 21 /12 /Déc 18:26

Dans notre couple c'est mon époux Georges-Henry qui porte les pantalons. Littéralement ! Précision nécessaire, car sans le moindre rapport avec le sens transposé. Dans notre quotidien c'est moi qui les acheté pour lui, fait déjà révélateur en soi et c'est moi aussi qui les lui baisse quand je ne suis pas satisfaite des ses comportements.

 

Georges-Henry tu me mets encore dans l'obligation de te corriger...

 

Couple très uni et quelque peu nostalgique, nous avons su garder une place pour le bon vieux temps quand les châtiments corporels étaient encore à l'ordre du jour pour grand garçon en manque de bonnes manières.

 

Il en va de soi que son caleçon aussi est descendu aux chevilles. Parfois c'est moi qui s'en charge, d'autres fois Georges-Henry est appelé d'accomplir cet acte lui-même sous mon regard amusé. Je vois bien à quel point cela le gêne et une bonne partie de mon plaisir consiste dans le fait de me faire obéir. Il est assez inhabituel de nos jours pour un homme de se montrer dans une telle posture, si peu glorieuse et de se faire rappeler que le martinet fait encore intégralement partie de sa vie. Cependant il lui arrive, déjà déculotté pour recevoir sa correction, d'essayer de marchander le coté impudique de sa peine.

 

Éléonore, je t'en prie...

 

Soulignant ses troubles et sa honte par une belle rougeur de ses joues. Malheureusement pour lui, je reste intraitable.

 

Non, nous avons déjà abordé le sujet. Jusqu'à nouvel ordre une bonne fessée s'applique cul nu chez nous !

 

Et je ne vois aucune raison pour qu'un adulte bénéficie d'un traitement de faveur à ce niveau. Pour moi la honte fait autant partie de la punition que la douleur.

 

Ce n'est pas mon mari qui va me contredire quand je l’envoie après son châtiment au coin pour que ces globes rouges prennent de l'air. Cette éducation traditionnelle lui réussit bien et rien que l'évocation d'une bonne séance de discipline stricte suffit souvent pour le rappeler à l'ordre. Il me semble qu'il a compris son besoin de fermeté féminine quand il le faut. Ce qui n'exclue pas la tendresse quand il a sagement payé pour sa faute et ainsi mérité mon pardon.

 

Au début il avait un peu de mal à s'y faire. Mais ma détermination et ma persévérance ont porté leurs fruits. Bien sur, il ne fait pas fier quand une magistrale correction lui pend au nez et il ne se vante pas non plus devant ses copains des méthodes que je lui resserve. Par contre il me fait des jolies confidence sur l'oreiller :

 

Merci pour ta sévérité, Éléonore. Je t'aime.

 

Dernièrement je me suis aperçue que mon mari avait de plus en plus de mal pour rentrer dans ces pantalons. Cette prise de poids m'était inexplicable et malgré ma surveillance de sa façon de s'alimenter et

d'intenses séances de sport en ma présence, rien n'y fit.

 

Puis en vidant les poches d'une de ses veste, avant de la porter au pressing, j'ai enfin trouvé la clef de l'énigme.

 

Des bonbons !

 

Visiblement mon homme se moquait ouvertement de ma bonne cuisine diététique pour se gaver en cachette d'ignobles produits de sucrerie. Largement de quoi pour me mettre en colère.

 

Ah si j'avais eu à ce moment là Georges-Henry sous mes mains. Malheureusement pour moi et heureusement pour lui, il était encore au travail. Je n'ai pu m’empêcher de lui envoyer un SMS :

 

Chéri, prépare tes fesses pour ce soir. J'ai à te parler sérieusement.

 

A suivre

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Mardi 4 janvier 2 04 /01 /Jan 00:16

Début de l’histoire

 

 

Ca m’a fait chaud au cœur  d’apercevoir l’autre jour le martinet dans votre cuisine, isabelle.

 

(Ne te mêle pas de nos affaires vielle bique !)

 

Après tout je suis une femme adulte et ma vie intime ne regarde pas la voisine. Mais au lieu de lui parler de cette dernière manière, c’est encore ma méchanceté gratuite qui me traverse en premier l’esprit. J’ai horreur de ce trait de mon caractère. Heureusement on y travaille !

 

La tolérance zéro dont fait preuve mon homme quand il s’agit d’insultes ou d’insolences de ma part est bien entrée dans ma petite tête. Je constate avec satisfaction que je ne me suis pas emportée devant la vieille dame. Il y a une grande fierté qui s’empare subitement de moi et enivrée de cette victoire personnelle sur mon mauvais caractère, j’oublie de maintenir mes gardes. M’enfin, rien de nouveau. Des gaffes, je sais en faire de long et de large.

 

C’est drôlement efficace, un martinet !

 

Un peu confuse, j’essaye de rattraper le coup.

 

Ce n’est pas ce que vous pensez…

 

Ma tentative maladroite n’échappe pas à la voisine. Et elle me répond sur un ton auquel je ne m’attendais pas, presque maternel et sans la moindre moquerie :

 

Soyez sans crainte, isabelle. J’ai bien compris qu’il ne s’agit pas d’un simple jeu pour pimenter vos soirées à la campagne.

Il me semble tout-à-fait naturel qu’une jeune femme peut encore éprouver le besoin de punitions au martinet. Une bonne fessée de temps en temps, ça peu faire un bien fou. N’est-ce pas ?

 

Je me fais toute petite sur mon banc si dur. Mais étrangement je me sens très bien d’être comprise à ce point. La voisine, maintenant pleinement dans la confiance, ne peut pas s’empêcher de laisser libre cours à sa curiosité.

 

Ca vous gêne pas de devoir montrer à tout le monde que la bonne, vieille déculottée est toujours d’actualité pour vos fesses ?

 

Mon homme y tient. Il trouve que cela augmente l’impacte pédagogique.

 

Comme il a raison. Décidément votre mari a beaucoup de qualités à mes yeux. Et vous, qu’en pensez-vous ?

 

Je suis …flattée par ses mots. Les choses me semblent si simples en compagnie de la vielle dame. De la compréhension qui ne prends pas mon chéri pour une brute envers sa petite femme. Bienvenue au pays d’antan de la fessée.

 

Nous sommes nouveau dans ce coin et nous connaissons quasiment personne. …d’un côté le martinet dans ma cuisine me dérange quand nous recevons de la visite. De l’autre, je suis toujours troublée quand un regard s’attarde sur mon martinet.

 

Pas plus que les personnes qui regardent ! Moi aussi j’étais troublée quand je l’ai découvert chez vous. Entre nous, mon mari aussi affectionnait le martinet. Il m’est arrivé de le recevoir – quand mon comportement laissait à désirer - dans la cuisine pendant que nos invités attendaient au salon. Vu le bruit, ils se doutaient bien de ce qui se passait. Je garde de ces fessées mes souvenirs le plus intenses.

 

Là, je suis vraiment épatée de cette femme. Aucune allusion aux souvenirs d’enfance. Puis, on ne s’imagine souvent pas qu’une personne d’un certain âge puisse encore être troublée. Et encore moins qu’elle fasse des confidences de ce genre…

 

Depuis ce jour, mon éducation traditionnelle que je croyais sur une si bonne voie, commence à me faire défaut quand il s’agit de la voisine. Je me trouve de plus en plus insolente envers elle. Pourtant, il n’y a pas d’autre mot, je l’adore et j’aime beaucoup passer du temps avec elle. Puis hier je ne sais pas ce qui m’a pris. J’étais en train d’étendre du linge. A cet endroit du terrain il y a une vu sur le jardin de la vielle dame. Elle était en train de papoter avec une copine de son âge et les deux me regardaient d’un air amusé. Je n’ai pu m’empêcher de leur tirer la langue. C’est là que j’ai compris. Je cherche à recevoir une fessée devant elle.

 

A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : La fessée
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