Récits de fessée par mes amis du net

Lundi 9 avril 1 09 /04 /Avr 20:19

Suite de : Odile 1 (Une fessée pour la belle sœur ; Un récit d’Alain)

C’en était trop, il y avait trop longtemps que je supportais ses sarcasmes depuis que je fréquentais Sylvie … tant pis pour elle … et puis fière et orgueilleuse comme je la connaissais, j’étais sûr que cette « mégère » n’irait pas se vanter de ce qui allait lui arriver … je me dirigeai vers elle, montais les quelques marches de l’escalier me séparant d’elle, la saisissais par la taille, me penchais en avant et la chargeais comme un sac sur mon épaule et descendant l’escalier, je l’entraînais vers le salon-salle à manger, malgré sa résistance, tandis qu’elle manifestait son mécontentement en battant des jambes, me tapant sur les épaules et me traitant de tous les noms d’oiseaux qu’elle connaissait … en quelques pas, je me trouvais à proximité d’une chaise que je tirais par le dossier et amenais au milieu de la pièce, avant de descendre Odile de mon épaule, mais sans lui laisser le temps de poser les pieds au sol, je la tenais toujours par la taille courbée sous mon bras gauche, m’installais sur la chaise, courbais et renversais ma chère « future belle sœur » à plat ventre en travers de mes genoux où elle se retrouvait toujours ceinturée à la taille, la tête pendant sur la gauche, les jambes sur la droite, le derrière dans sa robe bien en l’air, la maintenant au niveau des cuisses de mon autre bras :

« La première fois que j’ai fessé  Sylvie,  cela la fit rire se vantant que ça ne lui faisait pas mal … alors je lui ai retroussé sa jupe afin que ça claque mieux … la fois suivante, elle s’est vantée que mes fessées ne l’impressionnaient pas … alors j’ai encore retroussé sa jupe, mais je lui ai aussi baissé collant et culotte … »

Pendant toutes ces explications, Odile se tortillait en tout sens, contestant ce qui l’attendait, battant des jambes, cherchant même à protéger des deux mains le fond de sa robe, faisant sonner et teinter clochettes et grelots de sa ceinture de sa robe … j’en profitais pour lui saisir les poignets, lui rabattre les deux mains au creux des reins, poursuivant ma sentence :

« Pour toi ma chère, je vais faire mieux et passer immédiatement au stade supérieur d’une petite fessée … je vais aussi te baisser collant et culotte pour te montrer qu’ il n’est pas trop tard pour recevoir une bonne fessée cul nu ! »

Et joignant le geste à la parole, de la main droite, moi qui suis droitier, dommage pour elle, je retroussais sans grand mal sa robe au-dessus de ses reins et découvris avec surprise qu’Odile était beaucoup plus coquine que Sylvie car elle portais bas, porte-jarretelles et culotte noirs, plutôt qu’un collant … j’avais beau la tenir fermement plaquée contre mes cuisses, c’était une véritable furie qui se débattait, disant n’importe quoi, criant vengeance et ou promettant d’être sage, de ne plus recommencer, sans m’attendrir je tirais sa mini culotte qui cachait si peu de ses fesses vers le bas, voulant la lui baisser jusqu’à ses genoux ... mais l’élastique de la ceinture se prit dans les jarretelles … mais bien décidé,  je ne pus quand même le baisser aussi bas que je le souhaitais, dépassant cuisses et chevilles gainées des bas nylon noirs, poussant le bon goût pour moi, mais mauvais pour Odile, une fois la minuscule culotte baissée jusqu’à ses chevilles, de lui faire franchir les escarpins, de la laisser tomber au sol et de faire ce commentaire :

« Comme ça tu pourras battre des jambes autant que tu voudras … et c’est vrai que toi aussi tu as une bonne paire de fesses … crois moi, je vais te les faire regretter !!! »

A ces mots, instinctivement Odile serra, contracta ses fesses et résignée, attendit, abandonna sa résistance, penchée en avant d’un côté, jambes tendues,  ses escarpins plantés sur le parquet de la pièce, fesses tendues et serrées, derrière généreusement offert, que je ne manquais pas de contempler … et de tapoter pour en tester la fermeté … ma main libre se leva et claqua la fesse droite et la fesse gauche, arrachant deux « aïe » à Odile dont le corps se tendit et les jambes se replièrent sur les cuisses gainées de nylon … encouragé par ce premier test et sachant ce que ce derrière généreux pouvait supporter,  je faisais crépiter sur le derrière laiteux d’Odile plusieurs dizaines de claques bien assénées, claquantes et cuisantes pendant de longues minutes … d’une fesse à l’autre … sourd aux protestations de sa propriétaire, à ses « aïe », ses « ouille », la pièce résonant des claques de cette fessée crépitant sur un derrière nu et des tintements des clochettes et grelots de la ceinture de la robe … Odile battant des jambes et gigotant dans tous les sens … ses cris de douleur et de rage furent entrecoupés de sanglots et Odile ne se débattant plus, je lui lâchais les poignets et la maintenait fermement par la taille, puis par la hanche droite … au fur et à mesure que la paume de ma main s’abattait sur les fesses de moins en moins fermes et de plus en plus rouges, le derrière de la punie se tendait entre chaque claque vers moi comme pour mieux m’encourager à fesser sa propriétaire … quand son derrière fut devenu bien écarlate, estimant la fessée suffisante, je poussai Odile hors de mes genoux et elle se retrouva à genoux sur le tapis, la robe toujours au dessus de sa taille … pleurant à chaudes larmes … son maquillage coulant avec ses larmes … au bout de quelques minutes d’attente, je lui conseillai de sécher ses larmes, de remettre de l’ordre dans sa tenue et de se refaire une beauté, car nous avions de la route à faire pour rejoindre la famille.

Sans prendre soin de rabattre sa robe, Odile se releva et se pencha pour récupérer sa culotte, ce qui me permit d’avoir une vue plongeante sur ses fesses dont le rouge tranchait avec le noir de la lisière de ses bas montant haut sur ses cuisses ….Odile se précipita vers sa chambre et grimpa rapidement les escalier l’y conduisant, sans oublier de se frotter à deux mains les fesses … j’attendis un peu, mais pas trop … j’entendis de l’eau couler dans la salle de bains … Odile devait se rafraîchir le derrière dans le bidet … enfin, elle réapparut les yeux encore rouges, mais remaquillée et vêtue d’une manteau et un petit sac de voyage à la main.

Dans la voiture, je rompais la glace car Odile était muette, me fuyant du regard …

« J’espère que cette fessée te servira de leçon … sinon la prochaine fois je te fesse en public et un public uniquement féminin avec ta sœur et toutes vos cousines rassemblées … »

Depuis Odile ne m’a plus jamais cherché ou embêté … elle ne cherche plus et n’embête plus Sylvie aussi … elle s’est mariée … elle est toujours aussi infernale avec les autres, sauf Sylvie et moi, car je ne pense pas que son mari a su la prendre en main… au sens propre comme au figuré !!! 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : Les amateurs de Fessées
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 20 janvier 4 20 /01 /Jan 12:31

Quand j’ai commencé à sortir avec Sylvie, elle m’a présenté sa sœur aînée Odile et  j’ai pu rapidement découvrir qu’Odile était une véritable « petite peste »,  se plaignant, critiquant tout et tout le monde, si bien, qu’exaspérée, Sylvie me confia un jour : 

« Tout ce qu’elle mériterait, c’est d’avoir un copain qui lui donne une bonne fessée jupe retroussée et culotte baissée de temps en temps! Heureusement pour elle qu’elle ne sort pas avec toi, car quand je pense à celles que tu me donnes et que je reçois depuis que nous sommes ensemble !!!! »

Les semaines et les mois  et des années passèrent et un jour, Sylvie me laissa seul sur place, devant rejoindre ses parents à leur maison de campagne familiale, me demanda d’attendre qu’Odile rentre de son travail et de venir en fin de journée les rejoindre avec elle. Je restais moins d’une petite heure à attendre Odile qui finit pas arriver, un peu plus tard que je l’attendais et je l’invitais à se dépêcher pour préparer ses affaires pour que nous puissions prendre la route et rejoindre tout le monde pour le week-end, la nuit arrivant assez vite en cette période hivernale.

Odile manifesta rapidement sa mauvaise humeur et son mauvais caractère en me faisant attendre dans le salon tandis qu’elle s’enfermait dans sa chambre pour en somme faire un tout petit sac de voyage avec seulement quelques vêtement pour uniquement deux jours d’absence … elle sortit, une première fois, tandis que je l’attendais patiemment assis, bras croisés, dans le canapé, pour me jeter une revue de mode sur les genoux en me disant : « Essaie de lire cela car ça va être long !!! »

Puis elle ressortit une deuxième fois pour me réclamer du feu pour fumer une cigarette, alors qu’elle savait très bien que je ne fumais pas, ce qui ne l’empêcha pas de me dire :

« Ce n’est pas parce qu’on ne fume pas qu’on ne doit pas avoir du feu pour sa « peut-être » future belle-sœur !!! »

Elle trouva un briquet dans la cuisine et fuma sa cigarette dans le salon où je me trouvais et quittant la pièce pour retourner dans sa chambre, elle me jeta le briquet en me disant :

« Garde le … au moins la prochaine fois que je te demanderai du feu, tu en auras !!! »

Elle était repartie en écrasant mal sa cigarette qui rapidement se consuma et empesta l’atmosphère  du salon, ce qui me fit me lever pour l’écraser, vider le cendrier et aérer la pièce car je pensais bien que j’en avais encore pour de longues dizaines de minutes à attendre « mademoiselle » !!!

Je sentais monter en moi une certaine impatience et aussi nervosité, quand elle ressortit de sa chambre, ayant changé de tenue, portant une robe d’automne dont la ceinture consistait en une chaîne garnie de clochettes, tintant au rythme de ses déplacements … semblant chercher quelque chose et en vue de gagner du temps et aussi de détendre l’atmosphère, je lui demandais ce qu’elle cherchait, ce à quoi elle me répondit :

« Ma cigarette … qu’en as-tu fait ? je suis sûre que tu l’as jetée … je ne l’avais même pas finie … ça se voit bien que tu ne fumes pas et que tu n’en achètes pas !!! »

Je lui répondis qu’elle devait se calmer, être un peu plus aimable et pas seulement avec moi, mais avec tout le monde car sinon une fois de plus le week-end allait une fois de plus être gâché … ce à quoi elle me répondit :

« Si tu voulais des week-ends plus calmes, tu n’avais qu’à pas sortir avec ma « petite » sœur et te choisir une autre  fille sans  grande sœur  !!! »

 

N’y tenant plus, je m’approchais d’elle de très près et les yeux dans les yeux, je lui annonçais :

« A bientôt trente ans, mais tu es vraiment une petite peste et je crois bien que Sylvie a raison quand elle dit qu’une bonne fessée de temps en temps te ferait le plus grand bien !!! »

… cela la fit sourire … tandis que j’ajoutais :

« Sylvie m’a déjà testé avec ses caprices, ses colères, ses sautes d’humeur, ses dépenses, mais après quelques bonnes fessées reçues jupes retroussée, allongée sur mes genoux, elle s’est vite calmée !!! »

Debout bras croisés, me fixant depuis l’escalier menant à sa chambre, Odile me lança :

« Eh bien, j’aurais voulu voir cela ma chère petite sœur, jupe retroussée à 25 ans recevoir une fessée comme une gamine !!! Moi aussi, comme elle, j’ai aussi une bonne paire de fesses, fermes et musclées par le footing et la natation et ça  ne me fait pas peur !!! Tu risques même d’avoir mal aux mains avant que j’aie mal aux fesses !!! » 

A suivre… 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Mercredi 22 décembre 3 22 /12 /Déc 13:50

Est-ce que la fessée reçue d’une main féminine quand on est adulte, à plus de 40 ans a plus ou moins d’effet qu’une fessée reçue adolescent à l’âge de 15 ou 6 ans … j’avoue que ce n’est pas comparable, car les circonstances sont souvent différentes … en effet, adolescent, j’ai été fessé par une voisine pour avoir regardé sous ses jupes, alors qu’elle montait dans les escaliers et la fessée qu’elle m’a administré, déculotté et renversé en travers de ses genoux, a été plus une correction, une punition, qu’un jeu ... de même la fessée reçue de la main de ma tante-professeur, là encore déculotté et couché sur ses genoux, avant d’entrer en classe de seconde parce que je refusais d’effectuer des révisions d’été avait été aussi une bonne correction dont mon derrière garda une brûlure toute l’après-midi !!! 

Tandis que celle reçue à 42 ans de la main d’une complice en jeux de fessées a été à la fois une punition, une initiation et une révélation …

 

Ayant fait la connaissance via internet d’une dame d’une quarantaine d’années, amatrice et je devais le découvrir plus tard, grande consommatrice de fessées, je dirais même gourmande de fessées, nous avons convenu après une longue correspondance via internet, une rencontre informelle pour mieux faire connaissance, de nous retrouver un samedi après-midi pour nous adonner à notre passion commune. Lorsque je suis allée l’accueillir dans une gare parisienne et que je l’ai vue arriver, j’ai compris qu’elle avait mis tous les avantages de son côté pour me décider à la fesser, car si jusqu’à présent j’avais fessé des fessiers féminins dont la taille flirtait avec le 40, 42, je craignais qu’un derrière de taille 36-38 puisse mal amortir une bonne fessée … je me trompais …

 

La dame est donc arrivée vêtue d’un tailleur noir, les jambes gainées de lycra clair et chaussée d’escarpins. Nous nous sommes rendus dans mon petit studio parisien et avons convenu des règles du jeu avant de commencer : pas d’attouchements sexuels, définition d’un mot code pour cesser, … une fois tout ceci fixé et acté, la dame n’étant pas réticente à recevoir une bonne fessée, jupe retroussée et culotte baissée, elle s’est allongée en travers de mes cuisses et après s’y être bien installée, j’ai entrepris le retroussage de la jupe cintrée du tailleur pour la lui rabattre sur la taille et découvrir qu’elle portait des bas et une ravissante mini-culotte que je lui fis glisser jusqu’aux plis des genoux, déculottant un ravissant petit derrière, hâlé et légèrement potelé, ce qui me fis un peu hésiter car dans le passé j’avais eu plusieurs fois l’occasion de fesser une autre complice avec un tel fessier, mais celui-ci sous les claques bleuissait plus qu’il ne rougissait !!!

 

 

La maintenant fermement par la taille, je la vis croiser pudiquement ses chevilles, faisant crisser ses bas lycra et sans lui demander si elle était prête, voyant ses fesses se contracter, je commençais à la fesser énergiquement, alternativement d’une fesse à l’autre, ma main rebondissant allègrement d’un globe à l’autre. De temps à autre, je m’arrêtais pour vérifier de l’efficacité de la punition et aussi pour entendre si la dame avait quelque chose à me dire, car cela faisait plusieurs minutes, donc plusieurs dizaines de paires de gifles que je lui claquais la croupe, lorsqu’elle me fit cette réflexion :

 

 « Si tu penses m’impressionner avec une toute petite fessée de rien du tout, il va falloir que tu apprennes comment fesser une dame ! »

 

 

Ebahi, je m’arrêtais et la dame en profita pour se relever. Une fois redressée, elle enjamba sa minuscule culotte dont elle se débarrassa, rebaissa sa jupe sur ses cuisses, me fis lever et s’assit à ma place. Une fois assise, elle me fit signe de l’index de l’approcher par la droite et une fois à sa portée, elle desserra ma ceinture de pantalon, le déboutonna, en baissa le zip et baissa mon slip à mi-cuisses, avant de me faire signe de me baisser et de m’installer à mon tour sur ses genoux ; hésitant, elle m’attrapa le bras et me fis pivoter d’autorité en travers de ses cuisses et je me retrouvais la tête en bas et les fesses à l’air et en l’air sur ses genoux où elle entreprit immédiatement de me fesser … avec des claques énergiques et fermes, attaquant mes fesses tantôt par le haut, tantôt par le bas, accélérant son rythme; elle s’arrêtait de temps à autre comme pour contempler son ouvrage et le commentant, tandis qu’à la fois surpris par cette fessée, je tentais de lui manifester à la fois mon refus, mais aussi ma douleur car elle savait bien claquer un derrière, mais rien n’y faisait, elle reprenait la fessée … au bout de longues minutes et de dizaines de claques, je me surpris à la supplier d’arrêter, ne sentant plus mon derrière ou plutôt sentant mon derrière me brûler, battant des jambes comme un gamin, empêtrées dans mon pantalon baissé, mais rien n’y faisait … enfin elle s’arrêta, m’invita à me relever, à remettre de l’ordre dans ma tenue et m’invita à la fesser comme elle venait de me l’apprendre, avec la menace qu’elle recommencerait si elle n’était pas satisfaite !!!

Je me suis donc assis sur la chaise, le derrière brûlant, douloureux et sans lui laisser le temps, l’ai renversée sans ménagement en travers de mes genoux, lui retroussant sa jupe sous laquelle ses fesses m’attendaient nues et lui ai administrée à mon tour une magistrale fessée, claquante et cuisante, qui lui fit battre des jambes, tandis qu’elle cherchait désespérément à se protéger ses rondeurs d’une main que je rabattis dans son dos, poussant des cris de douleur non feints, tandis que j’appuyais fermement chaque claque dont le bruit crépitait dans le studio et par un coup d’œil indiscret, car elle m’exposait son intimité, je vis que la « belle » semblait apprécier cette fessée, une rosée de plaisir étant apparue sur sa toison brune ; je la fessais avec tant d’énergie que j’en avais mal à la paume de ma main … la fessée se termina alors qu’elle était vautrée en travers de mes cuisses, le derrière cramoisi et  meurtri, récupérant pendant de longues minutes, exposant ses fesses rouges sous mon visage !!!

 

L’après-midi se termina autour d’un café qu’elle prit, assise du bout des fesses sur le canapé, les fesses directement à même le tissu des coussins, avant qu’elle s’inquiète de retrouver et remette sa culotte avant de me demander de la raccompagner à la gare et surtout de fixer une date pour un prochain rendez-vous.

 

(Contacter l’auteur)

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 28 novembre 7 28 /11 /Nov 15:52

Catherine, une collègue de travail, ravissante blonde aux formes pulpeuses, avait passé avec moi un pari dont nous avions oublié l’objet, mais pas l’enjeu, car en effet si elle gagnait, je devais lui offrir une glace aux griottes et si elle perdait, je pouvais la fesser, car depuis que nous nous connaissions, la fessée revenait régulièrement dans nos conversations et il faut dire que l’éventualité de recevoir une fessée n’effrayait pas la ravissante étourdie qui avec une bonne paire de fesses, avait de quoi l’amortir du moment que son honneur était sauf.

Eventuellement fessée jupe retroussée, mais surtout pas culotte baissée !!!

Nous avions passé cet accord avant l’été et les congés et lorsque la rentrée arriva, quelques jours plus tard, Catherine vint me retrouver et me rappela notre enjeu, regrettant de n’avoir pu manger une glace.

Mais elle n’avait pas gagné, ni moi non plus…

Sa réponse m’étonna car elle suggéra que puisqu’il n’y avait ni vainqueur ni perdant, tout le monde avait donc gagné : elle recevrait la fessée, mais une bonne fessée classique, sans jupe retroussée et dégusterait ensuite sa glace pendant la pause de midi. Nous décidâmes de nous retrouver aux archives, une fois que tous nos collègues seraient sortis pour déjeuner ; elle y monterait la première, préparerait les lieux et m’y attendrait ; il me suffirait de frapper à la porte.

A midi, une fois tout le personnel parti, je montai aux archives et je n’eus pas à frapper à la porte puisque Catherine m’y attendait. Les archives occupaient une grande pièce sans fenêtres que divisaient plusieurs rangées d’étagères remplies de classeurs et de boîtes à archives. Une fois tous deux à l’intérieur, Catherine referma et verrouilla la porte, derrière nous en me précisant :

« Je veux bien que nous rigolions tous les deux, mais je ne veux pas en faire profiter tout le monde, alors jure-moi que tu n’en parleras à personne ».

Je n’en avais nullement l’intention et lui promettais un silence tombal.

Elle m’invita à la suivre vers les dernières rangées d’étagères entre lesquelles, elle avait positionné une chaise, Catherine ayant tout prévu, m’avoua être une amatrice de la fessée classique « sur les genoux », et qu’elle restait sur sa faim, son mari n’étant pas trop amateur de cette fantaisie.  Elle m’invita à m’y assoir et me fit jurer de la fesser uniquement par-dessus sa jupe, pour cette première, justifiant son choix par la fin de l’été, qu’elle ne portait pas de collant et redoutait qu’une fois à plat ventre sur mes genoux, jupe retroussée, de se retrouver petite culotte baissée pour recevoir la fessée « cul nu », ce pourquoi, elle ne se sentait pas encore prête … pas tout à fait … promettant mi sérieuse, mi coquine, qu’à l’automne prochain, elle se laisserait peut-être tenté par une fessée jupe retroussée, mais avec un collant bien opaque …

Je lui promis de tenir ma promesse et vu la courte longueur de la jupe et le tissu léger dont elle était faite, qu’elle le veuille ou non, une fois à plat ventre sur mes genoux et penchée bien en avant Catherine m’offrirait quand même une vue plongeante sous sa jupe dont la faible épaisseur n’amortirait pas les claques sur son derrière potelé serré dans le tissu étroit de la jupe.

Elle prit donc position sur mes genoux, à plat ventre, se tenant des deux mains aux pieds de la chaise, les jambes tendues au sol. Sans perdre de temps, la maintenant à la taille d’une main,  à la fois pour lui éviter de tomber, mais aussi de s’échapper, j’entrepris de la fesser comme elle le demandait, tout en observant que je ne mettais pas trop trompé. Malgré le côte pudique et effarouché de Catherine, j’avais sous les yeux le haut de ses cuisses et le bas en dentelle de sa culotte satinée, car en se penchant trop bien en avant après s’être allongée sur mes genoux, elle n’avait pu empêcher le tissu de la jupe remonter le long de ses jambes.

Ma main droite tomba en cadence, alternativement d’une fesse sur l’autre et entre chaque claque, son derrière, s’il s’était instinctivement contracté dès les premières claques, se tendait vers la claque suivante et la main qui le corrigeait, qui en tombant bien à plat sur le tissu tendu, le faisait tressauter sous la jupe, laquelle tandis que plus que Catherine gigotait et se trémoussait, était remontée plus haut que ses cuisses et depuis j’avais une vue plongeante sur une magnifique paire de fesses galbées que le tissu d’une culotte pastel avait un peu de mal à contenir, révélant les fossettes des deux fesses, qui rougissaient à vue d’œil.

Sous l’intensité et le rythme de la fessée, Catherine battait des jambes, sous chaque claque et au bout de longues minutes et plusieurs paires de claques, elle me demanda d’arrêter puisque j’avais gagné mon pari, c’était à son tour d’avoir le sien et de nous rendre au restaurant pour qu’elle y déguste une glace aux griottes, dont ses fesses devaient avoir, je suppose, la même couleur.

 

Je pris alors le temps d’examiner cette « grande chipie » de 35 ans qui pour l’occasion s’était vêtue de façon sage et classique, chemisier clair, jupe foncée à plis, collant chair opaque et escarpins noirs … elle prit même le temps de tourner sur elle-même, faisant virevolter sa jupe comme une enfant en m’annonçant que je n’avais pas encore tout vu … S’arrêtant, elle prit une chaise de visiteur qu’elle plaça au milieu de la pièce, m’invita à y prendre place, ce que je fis, sans me faire prier … Catherine s’avança vers moi, mains croisées dans le dos, un sourire coquin aux lèvres et m’annonça :

 

« En avant pour la fessée … et  encore mieux que la dernière fois … j’en ai trop envie … quand cela suffira, je te le dirai … je veux de la fessée claquante et cuisante et jupe retroussée !!! »

 

 

Et sans perdre une minute de plus, Catherine s’installa en travers de mes cuisses, à plat ventre, se tenant à l’horizontale, d’une main au dossier de la chaise et de l’autre à l’un des pieds de la chaise. Sans perdre de temps, la ceinturant fermement par la taille de mon bras gauche, je pris quand même le temps de retroussée lentement la jupe de cette « effrontée », le long de ses mollets, puis de ses cuisses, jusqu’aux hanches et en rabattant le tissu au dessus de la cambrure de ses reins, j’eus l’agréable surprise de constater que Catherine portait certes un collant bien opaque, sans démarcation et que sous ce collant, elle ne portait pas la moindre petite culotte et malgré l’opacité du collant  ses fesses potelées et nues, ainsi que la fente qui les séparait comme un fruit bien mûr, apparaissaient comme en plein jour ; elle éclata alors de rire en m’annonçant qu’elle m’avait bien eu et regrettait que si moi je pouvais plus que deviner ses fesses, elle était un peu déçue de ne pas voir ma tête !!!

 

Je lui promis de tenir ma promesse et vu la courte longueur de la jupe et le tissu léger dont elle était faite, qu’elle le veuille ou non, une fois à plat ventre sur mes genoux et penchée bien en avant Catherine m’offrirait quand même une vue plongeante sous sa jupe dont la faible épaisseur n’amortirait pas les claques sur son derrière potelé serré dans le tissu étroit de la jupe.

« Quand je pense qu’il y a de cela quelques mois, tu m’exposais ta théorie sur la fessée jupe retroussée, mais surtout pas culotte baissée pour laquelle tu ne te sentais pas prête, je trouve que tu t’es rapidement dévergondée et je vais tout faire pour ne pas te décevoir !!! »

Pour toute réponse, je vis ses fesses se contracter sous le nylon du collant et je commençais à fesser Catherine énergiquement, d’une fesse à l’autre, pour ne pas faire de jalouse, la paume de ma main droite rebondissant sous les claques d’un globe à l’autre, les martelant à cadence rapide et chaque fois que ma main tombait à plat sur le derrière tendu vers moi, la trace de ma paume et de mes cinq doigts s’imprimaient sur la fesse qui venait d’être corrigée et malgré le collant opaque, je voyais la couleur des fesses rougir à vue d’œil !!!

Chaque fois que ma main claquait la croupe de Catherine, le bruit sec de la claque résonnait dans la pièce close et suivant l’intensité de la claque ou Catherine faisait un commentaire dans le style « aïe … celle la elle fait mal … ouille, mais ça chauffe » ou si elle ne disait rien, repliait en bloc ses deux jambes sur ses cuisses, mais au fil des minutes, Catherine cessa ses commentaires, la cadence de la fessée s’accélérant, je l’imaginais, serrant les dents, car je la voyais serrer les fesses sous le collant depuis quelques minutes et elle commençait à battre l’air des jambes, perdant même un de ses escarpins, se tortillant en espérant pouvoir échapper aux claques, ses jambes, ses fesses et sa queue de cheval battant l’air en cadence et la rougeur de ses fesses tranchant sur l’opacité du collant lui gainant cuisses et jambes !!!

Enfin, elle cria grâce :

« Arrête s’il te plaît, arrête, je n’en peux plus, mes fesses sont en feu !!! »

Je respectais la règle du jeu, je m’arrêtais et Catherine ne perdit pas de temps pour se relever et après avoir récupéré et remis sa chaussure, elle me fit face, se frottant énergiquement les fesses à deux mains sous la jupe …

« S’il avait fait moins froid ce matin et si j’en avais eu le temps et si aussi mon mari était parti avant moi, j’aurais mis des bas et pas de culotte pour t’embarrasser … » avoua-t-elle en éclatant de rire, ce à quoi je lui répondis que je n’en aurais pas perdu la vue et que malgré qu’elle portait un collant, ce dernier ne cachait pas grand-chose de ses charmes …

« Bon, fit-elle, il va falloir quand même rentrer chez nous respectivement, mais avant je dois remettre ma culotte que j’avais enlevée avant de venir recevoir ma fessée … j’espère que je n’ai pas de bleus » et à mon étonnement elle me tourna le dos, relevant sa jupe comme une danseuse de french cancan, m’exposant ses fesses et me demandant de les examiner.

« Des rougeurs, mais je te rassure, pas de bleus, du moins je n’en vois pas à travers ton collant »

« Tu en es sûr ??? »

Et tout en se redressant, elle prit à deux mains l’élastique du collant qu’elle baissa  sous les globes de ses fesses et là je pus rapidement constater, mais sans en perdre une miette qu’elle avait des fesses bien rouges, mais pas la moindre trace de bleus ou de petits vaisseaux éclatés. Rassurée, elle se reculotta et je sortis pour la laisser remettre ses dessous et reprendre sa vie digne de parfaite collègue de bureau. Quelques minutes plus tard, elle ressortit, fila chercher son manteau dans son bureau, tandis que je l’attendais dans le hall devant la porte de sortie verrouillée où elle me rejoignit rapidement, le feu aux joues, mais aussi ailleurs … cela, il n’y avait qu’elle et moi qui le savions !!!

« Mon bonhomme ne rentre qu’en fin de soirée, je vais pouvoir me refroidir les fesses dans un bain glacé car j’ai le derrière en feu. Je ne pensais pas que quelqu’un aussi  poupon que toi pouvait avoir une telle poigne !!! » et pour la première fois depuis que nous travaillions ensemble, Catherine me fit une grosse bise sur chaque joue avant de nous séparer.
 

J’avais décidé de changer d’emploi, attiré par une société me proposant un nouveau profile de carrière beaucoup plus avantageux et le fis savoir à mes employeurs, ainsi qu’à mes plus proches collègues, dont Catherine.

Quelques semaines avant mon départ définitif de l’Est de la France, pour gagner après les congés d’hiver le grand Ouest, au cours d’une pause café après le déjeuner, Catherine et moi nous prenions en commun un café avant de retourner dans nos bureaux respectifs et Catherine m’annonça très sérieuse qu’après mon départ, elle ne connaîtrait jamais la joie d’une bonne fessée jupe retroussée et culotte baissée, comme une « sale gamine » !!!

Je lui répondais qu’elle aurait du se décider plus tôt, vu que mon départ était imminent en fin de semaine … elle m’annonça que cela la tentait, mais ni aux archives, ni aux bureau et me proposa avant cette fin de semaine, de ne pas aller à la cantine le midi, de nous échapper pendant la pause du déjeuner, non pour aller chez elle, mais chez une de ses copines dont elle avait les clés du studio pour en soigner les plantes … aussi ravi qu’elle, j’acceptais et nous fixions cette « entrevue » au dernier jour de la semaine, le vendredi.

Le vendredi arriva et à la pause du midi et Catherine me communiqua l’adresse de l’appartement où tous deux devions nous retrouver devant l’entrée et comme cela n’était guère éloigné de nos bureaux, en quelques minutes nous étions rapidement sur place et quelques minutes plus tard, devant la porte de l’appartement. A cette heure du déjeuner, aucun bruit dans la case d’escalier, l’immeuble était désert. Catherine ouvrit la porte de l’appartement, s’y engouffra et je la suivais. C’était un petit deux pièces dans lequel on accédait via un petit couloir bordé de placards, puis par une nouvelle porte, on arrivait dans la pièce principale, meublée d’une table ronde et de deux chaises et aussi d’un canapé.

Catherine referma l’entrée principale, puis la porte du couloir et une fois dans cette pièce, elle fit ce qu’elle devait faire, c'est-à-dire arroser les plantes de sa copine et une fois ceci terminé, elle tira rideaux et double rideaux, pour plonger la pièce dans une semi obscurité, mais surtout pour éviter la vue de la scène qui allait se dérouler depuis les fenêtres des immeubles voisins.

Catherine m’avoua qu’elle avait fortement envie que cette dernière fessée dure et qu’elle souhaitait être confortablement installée pour la recevoir et plutôt que se retrouver plaquée sur mes genoux, tête en bas, jambes pendantes et fesses en l’air ; elle préférait être fessée sur le canapé vers lequel elle se dirigea et prêt duquel elle alluma une lampe abat-jour, pour que je puisse contrôler l’évolution des rougeurs et ne pas en perdre une miette.

Après avoir ôté mon manteau, je m’installais donc sur le milieu du canapé tandis que Catherine se débarrassant aussi de son manteau et de son sac à main, vint vers moi et  après avoir ôté ses escarpins, s’agenouilla sur le canapé, sur ma droite, avant de s’installer confortablement à plat ventre en travers de mes cuisses, jambes relevées et coudes en appui sur les coussins. Je posais ma main droite sur ses jambes gainées de nylon noir et en glissant le long, je pris tout mon temps pour retrousser sa robe noire qui heureusement n’était pas moulante. Lorsque j’arrivais à la cambrure de ses reins, passant l’obstacle de ses hanches, je pus rabattre le bas de sa robe sur sa taille, découvrant ses fesses encore protégées par le collant et une culotte noire aussi. 

Catherine s’allongea alors, joue contre le coussin et m’encouragea à continuer. Je pris alors le collant à deux mains sur les bords et le baissait lentement, attrapant par la même occasion les bords de la culotte et fit glisser l’ensemble le long de ses fesses pour le baisser juste sous ses fesses, Catherine se souleva, décollant son ventre de mes cuisses comme pour m’aider à franchir plus facilement l’obstacle de ses hanches et exposer son derrière blanc laiteux, mis en valeur par le noir de la robe retroussée et le noir du collant gainant ses cuisses.

Une fois entièrement déculottée, fesses à l’air au milieu du salon, confortablement installée en travers de mes cuisses sur le canapé, Catherine se recoucha à plat ventre et attendit. Au lieu de la saisir à la taille comme je l’avais fait jusqu’à présent, ma main gauche la saisit par sa hanche gauche et je posais la paume de ma main droite sur sa fesse gauche, comme pour en mesurer la surface, pour mieux viser, mieux les claquer … instinctivement Catherine serra ses fesses tièdes, au point que la fente qui les séparait généreusement fut si étroite que l’on aurait pu y glisser un doigt … et le duvet blond de ses fesses généreuses se hérissa, pourtant il faisait chaud dans la pièce … au lieu de commencer à la fesser, je lui caressais une fesse, puis l’autre, comme pour les apprivoiser … au bout de quelques caresses, Catherine saisit de sa main droite, ma main qui la maintenait au niveau de la hanche, souleva un peu ses hanches de mes cuisses pour tendre ses fesses potelées vers la fessée qui se faisait trop attendre et me murmura :

« Fesse moi comme une sale gamine … aussi longtemps que tu le veux … vite !!! »

La première claque tomba sur sa fesse droite et sous l’impact Catherine se tendit … une première claque suivit d’une autre  … jusqu’au nombre de cinq, avant  que je change de fesse et lui applique le même traitement … plus les claques tombaient, plus Catherine me serrait la main ; après ces quelques claques, je me décidais de prendre une cadence de bonne fessée, claquante et cuisante et c’est alternativement, d’une fesse à l’autre, que je me mis à claquer à cadence soutenue, avec énergie les fesses musclées de Catherine qui accompagnait chaque impact sur sa croupe tendue et ferme d’un « aïe » ou d’un « ouille » … les minutes passaient, rythmées par le bruit sec des gifles s’abattant sur une croupe qui rougissait à vue d’œil et dont la ravissante propriétaire poussait moins de cris de douleur, préférant mordre dans le coussin du canapé, certainement de douleur, mais aussi de plaisir, tout en commençant à battre des jambes, entravées par le collant et la culotte, mais de plus en plus vite … et malgré la semi obscurité de la pièce, regardant le derrière de Catherine, plutôt que le plafond, derrière dont le rouge de plus en plus intense tranchait sur  le noir de la robe et aussi des cuisses gainées du collant noir, baissé juste sous les rondeurs de ses fesses, fesses qui sous les claques de plus en plus rapprochées et fermes, tressautaient dans tous les sens, Catherine ne pouvant plus les serrer aussi fermement qu’au début de la fessée qui durait depuis plusieurs minutes et pour laquelle la paume de ma main commençait aussi à chauffer … Catherine ne criant pas grâce, le visage toujours enfui dans le coussin, je continuais à lui claquer avec toujours autant d’énergie et de rapidité les fesses quand elle se décida enfin à tourner la tête vers moi et tout en continuant à me serrer la main gauche me demanda d’arrêter :

« Arrête s’il-te-plait, arrête je n’en peux plus … mes fesses vont prendre feu !!! »

Je m’arrêtais, tandis que Catherine, les yeux humides, échevelée, émergeait de cette bonne fessée, restant prostrée les fesses à l’air, allongées en travers de mes cuisses sur le canapé … je lui rabattais la robe sur les reins et en lui frôlant les fesses, je pus constater qu’elle n’exagérait pas et que ses rondeurs étaient non seulement écarlates, mais aussi brûlantes.

Nous ne pouvions rester ainsi, elle à attendre que ses fesses reprennent une couleur et une température normales, il fallait retourner au bureau, les préparatifs de la fessée et la fessée proprement dite ayant duré toute presque toute l’heure du déjeuner. Catherine se redressa à genoux à mes côtés, passant ses mains sous sa robe et se frottant énergiquement les fesses comme pour les rafraîchir … enfin, elle se releva et sans la moindre gêne, ôta devant moi son collant qu’elle roula avant de le faire disparaître dans son sac à main dont elle sortit une paire de bas noirs auto fixant qu’elle enfila  devant moi après s’être reculottée en grimaçant…

« J’ai du mal à supporter ma petite culotte, alors avec un collant par-dessus, je ne t’explique pas … heureusement que mon mari est en déplacement car sinon je ne sais pas comment je pourrais justifier mes fesses cramoisies !!! »

 

Nous retournâmes ensemble au travail, à pied, comme nous étions venus, Catherine faisant des commentaires sur l’arrière saison et le vent s’engouffrant sous sa robe, permettant ainsi à sa partie charnue de refroidir un peu plus rapidement.

 

Quelques années après mon départ d’est en ouest, Catherine m’apprit qu’elle avait divorcé … quelques années après, elle m’apprit que son « ex » était décédé … quelques années encore après, elle m’annonça qu’elle avait refait sa vie avec un nouveau mari et que ce dernier n'hésitait pas à la fesser quand elle le méritait !!!



Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 21 novembre 7 21 /11 /Nov 20:51

 

Suite de : La fessée de Claudine  (Un récit d’Alain)

Je ne pensais pas en assistant à la punition de Claudine en ce chaud après-midi d’été des années 80, que beaucoup plus tard, ce serait à moi ou plutôt à ma main que ses fesses auraient à faire …

Au cours du printemps de l’année suivante, Sylvie ne pouvant bénéficier de congés en même temps que moi, m’envoya me reposer quelques jours dans la maison familiale du Massif-Central et en souriant m’invita à me méfier de Claudine et de ses mauvais tours, mais elle savait qu’au pire je connaissais le bon moyen pour la faire revenir dans le bon chemin et tout en souriant m’invita à n’en user qu’en cas d’absolue nécessité … elle ne croyait pas si bien dire.

Claudine était en école d’infirmière et bien qu’elle détienne son permis de conduire, elle ne possédait pas de voiture et si je peux dire ainsi, rongeait son frein. Elle avait à maintes reprises essayé de me charmer pour que je lui prête ma Renault 5, ce à quoi je n’avais pas cédé.

Un vendredi soir, je l’avais invitée à dîner à la maison familiale, plutôt qu’elle se morfonde dans sa chambre d’étudiante et j’étais passé la chercher à la sortie de ses cours et ensemble avions rejoint la maison familiale où Sylvie devait nous rejoindre en cette soirée de fin de semaine. J’étais sorti chercher du bois pour la cheminée, quand du fond de la grange, j’entendis ma voiture démarrer et j’eus juste le temps de la voir sortir à toute vitesse du hameau, Claudine au volant, qui avec la chaussé humide, couverte de feuilles mortes, négocia mal le virage de sortie et alla directement au fossé. Les bûches m’en tombèrent des bras et je me précipitais au pas de course jusqu’au virage pour y trouver Claudine prostrée au volant et ne bougeant pas ; j’ouvrais la porte inquiet et c’est une Claudine hilarante que je récupérais alors que je m’attendais au pire …

Je lui ordonnais de rejoindre la maison, de m’y attendre car nous allions avoir tous deux une discussion sérieuse, tandis que je faisais l’inspection de la voiture qui à première vue ne semblait avoir subi aucun dommage. Rassuré, je me dirigeais vers la grange où je savais pouvoir y trouver le tracteur remisé du grand-père et aussi quelques cordes et chaînes pour m’aider à extraire ma voiture du fossé, ce qui me prit quand même pas mal de temps pour manœuvrer, puis remiser le tracteur et de récupérer ma voiture pour la reconduire de la cour qu’elle n’aurait jamais du quitter si je n’avais pas laissé mes clés à la vue de Claudine qu’à son tour je n’avais pas surveillée !!!

Je retrouvais, après m’être lavé les mains couverte de graisse, de boue et de terre, dans la pièce principale une Claudine toujours aussi hilare. Je regardais cette grande fille de 20 ans, dans son pull over à col roulé, sa jupe style kilt et ses bottes d’où seuls émergeaient ses genoux gainés de nylon foncé. Je n’avais nullement envie de discuter pour lui signifier ma mauvaise humeur et décidais à mon tour après l’épisode de l’été passé, de lui administrer séance une bonne fessée que cette « petite peste » n’allait pas être prête d’oublier.
Je pris une chaise de la salle à manger que je plaçais éloignée de la table, m’y asseyait et annonçait à Claudine :

A : « Retrousse ta jupe ! Viens t’installer sur mes genoux pour y recevoir une bonne fessée ! Et crois-moi tu ne sortiras pas de cette pièce tant que tu ne l’auras pas reçue !»

C : « D’accord pour la fessée … j’ai l’habitude depuis l’été dernier … et de quoi l’amortir … mais hors de question que je me soumette à tes exigences vestimentaires ! »

Et Claudine s’approchant de moi, s’installa confortablement en travers de mes cuisses avec un sourire provocateur. J’avais décidé de ne pas perdre de temps ni en discussion, ni en préparation, alors je retroussais amplement le kilt jusqu’à sa taille, mais même si je m’étais régalé l’été dernier de la vue de ses fesses nues tandis que Sylvie la corrigeait pour un vol d’argent, j’hésitais quand même à lui baisser séance tenant son collant et sa culotte et entrepris de la fesser par-dessus son collant d’une longue, claquante, cuisante fessée, alternant les gifles d’une fesse à l’autre, qui tressautaient sous l’énergie et l’intensité des claques, et bien que contenues, comprimées dans le collant nylon tressautaient en tout sens, l’une après l’autre chaque fois que la paume de ma main s’abattait sur elles.

A la cadence et à l’intensité de la fessée, Claudine se débattit, se trémoussant dans tous les sens, battant avec l’énergie du désespoir l’air de ses deux jambes, poussant des cris de douleur sous chaque gifle, remplissant la pièce de « aïe … ouille … aïe-aïe-aïe … ouille-ouille-ouille !!! », cherchant des deux mains à protéger ses rondeurs, mais sans y parvenir, je finis par les lui saisir aux poignets pour les lui regrouper au creux des reins et continuer à la fesser avec plus de force et de vigueur, si bien qu’elle finit courbée sur mes cuisses haut du corps et jambes inertes des deux côtés opposés, le dernier rehaussé et continuant à tressauter sous les claques. Je m’arrêtais jugeant la punition suffisante, bien que l’opacité du collant m’empêchait de voir ou de deviner la couleur des muscles fessiers de l’insolente, mais en posant ma main après la dernière claque sur le fond du collant, je puis constater que le derrière de Claudine, si je ne pouvais en juger la couleur, devait avoir une température supérieure à la pièce dans laquelle nous nous trouvions depuis de longues minutes.

Je la poussais hors de mes cuisses dont elle tomba, le derrière en premier sur le tapis, ce qui lui arracha un dernier cri de douleur et lui annonçais que la punition serait complète lorsqu’elle aurait nettoyé la carrosserie de ma voiture couverte de boue, ce dont elle s’exécuta immédiatement, en sanglotant et en essuyant ses larmes de la manche de son pull. Après de longues minutes d’absence, elle revint et je pus constater par la fenêtre de la pièce que plus aucune trace du séjour de mon véhicule dans le fossé n’apparaissait sur sa carrosserie et annonçait à Claudine qu’elle pouvait aller se refaire une toilette avant l’arrivée de Sylvie, sa cousine. Claudine disparut en se frottant énergiquement les fesses par-dessus le fond du kilt à deux mains, pour ne réapparaître que quelques minutes, juste avant l’arrivée de Sylvie, à laquelle aucun commentaire sur les événements qui venaient de se produire ne fut fait.

Quelques années plus tard, Claudine s’aventura à raconter ses mésaventures d’emprunt de véhicule sans autorisation et de la magistrale fessée qu’elle avait reçue à l’issue à Sylvie, laquelle fit cet unique commentaire :

« Je ne reprocherai que deux choses à Alain : ne pas t’avoir fessé ni assez fort, ni assez longtemps que tu le méritais !!! ».
Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 16 novembre 2 16 /11 /Nov 21:47

Il m’a été donné d’assister à une autre séance de fessée « entre filles » dans les années 80 et ce fut Claudine, une cousine de ma femme qui en fut l’« héroïne ».

Cet été là, j’étais venu retrouver Sylvie dans la maison de campagne familiale où elle passait ses vacances avec ses trois cousines. J’ai été ainsi pendant quelques jours, le seul garçon au milieu de quatre filles âgées de 15 ans à 25 ans. Ma femme étant l’aînée, puis venait Claudine, âgée de 20 ans et enfin les deux sœurs Carole 17 ans et Isabelle 15 ans.  

Un après-midi, alors que je cueillais des fruits avec les deux plus jeunes, Sylvie vint nous chercher en urgence pour participer à un « conseil de famille». Dès que nous entrâmes dans la pièce, à la tête que faisait Claudine, bras croisés et regardant la pointe de ses chaussures, je devinais que c’était du sérieux.

Sylvie nous annonça qu’elle avait surpris Claudine à fouiller dans son sac à main pour y prendre de l’argent, précisa qu’elle n’était qu’une voleuse et méritait d’être punie comme telle, telle une gamine. Aussi nous proposa-t-elle que, malgré ses 20 ans, Claudine reçoive une bonne fessée devant nous tous rassemblés, en espérant que cela serve aussi de leçon aux deux plus jeunes. Cette proposition fit l’unanimité de Carole et Isabelle, mais pas trop celle de Claudine qui bien que ne contestant pas la sanction, demanda à pouvoir être fessée dans l’intimité.

Sylvie ne  lui laissa pas le temps ni de négocier, ni de pleurnicher et se levant, la saisit par le bras et l’entraîna vers le milieu de la pièce. Prenant une chaise par le dossier, toujours sans lâcher Claudine et une fois assise, elle la renversa en travers de ses cuisses, et tout en la maintenant fermement par la taille,  sans perdre de temps, retroussa la courte jupe d’été,  la rabattant largement sur la taille de la coupable, saisit l’élastique de la culotte en coton, tandis que Claudine essayait bien de l’en empêcher, culotte qu’elle fit glisser rapidement jusqu’à la pliure des genoux, nous dévoilant ainsi une belle paire de fesses bien rondes d’un blanc laiteux.

 Tandis qu’elle la ceinturait plus fermement pour l’empêcher de bouger, tout en lui saisissant les deux mains avec lesquelles Claudine essayait désespérément de protéger ses rondeurs déjà serrées, prêtes instinctivement à la correction en public qui les attendait et à laquelle leur propriétaire ne pouvait plus échapper !!!

Le bras droit de Sylvie se leva et la paume de sa main se mit à marteler à cadence rapide la croupe de la coupable, d’une fesse à l’autre, sans aucun répit… chaque fois que la main claquait le derrière tendu, la trace rouge de la paume de la main et de ses cinq doigts s’imprimait sur le globe fessier où elle venait de tomber tandis que la pièce résonnait d’un bruit sec suivi d’un cri de douleur faisant sursauter les deux jeunettes… qui ne perdaient aucune miette du spectacle et ceci me fit penser qu’elles avaient dû connaître pareille mésaventure de la main de leurs deux aînées et à voir leur sourire, il n’y avait aucun doute qu’elles se voyaient vengées des fessées qu’avait dû leur administrer Claudine !

Tout en se tortillant, battant des jambes, entravées dans la culotte pour tenter d’échapper aux claquées, Claudine poussait maintenant des cris de douleur et, entre deux sanglots, suppliait Sylvie de cesser. Mais Sylvie ne se laissait pas attendrir et savourait, sourire aux lèvres, cette fessée qu’elle administrait en laissant tomber sa longue et fine main sur un derrière qui avait perdu sa pâleur initiale pour rosir puis rougir en passant par toute la gamme des rouges et ressemblait maintenant à une tomate bien mûre prête à être cueillie !!!

La fessée ne dura pas très longtemps mais fut intense et lorsque Sylvie s’arrêta et relâcha, Claudine, celle-ci avait les fesses écarlates et des larmes plein les yeux. Elle ne perdit pas de temps et se releva aussitôt, remonta sa culotte du mieux qu’elle put tout en se précipitant dans l’escalier pour pouvoir regagner sa chambre tout en se frottant le derrière à deux mains sous sa jupe d’où elle ne réapparut qu’en fin de soirée au moment du dîner.

Sylvie sermonna Carole et Isabelle avant de les renvoyer continuer à cueillir les fruits, non sans les avoir menacées du même châtiment si l’envie leur prenait d’imiter Claudine. 

Une fois seuls, Sylvie m’avoua qu’elle avait éprouvé un « certain plaisir » à claquer le derrière de jeune femme de Claudine et qu’elle comprenait le plaisir que pouvaient éprouver les garçons en fessant les « vilaines grandes filles » !

 A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 11 novembre 4 11 /11 /Nov 10:33

 

Début de l’histoire

 

A mon tour, les yeux dans les yeux, je lui annonçais que j’allais la fesser comme elle le méritait et le cherchait depuis tant d’années et que j’espérais que son collant n’était quand même pas trop opaque afin de pouvoir contrôler l’évolution de la couleur de son « charmant petit popotin musclé ». Nadine ne dit mot, mais mit en sourdine un CD de musique et quelques minutes plus tard, je me retrouvais assis sur une chaise au milieu de la salle à manger,  Nadine confortablement installée et allongée en travers de mes genoux, jambes tendues d’un côté, se tenant des deux mains aux pieds de la chaise. Je lui rappelais, qu’il avait été convenu entre nous que la fessée serait donnée et reçue jupe ou robe retroussée ... Nadine acquiesça … il fallait donc le faire … et je le fis, retroussant sans aucun mal la robe évasée, tout en prenant mon temps, découvrant tout d’abord ses cuisses au-dessus de ses genoux et découvrant avec surprise, une fois le haut des cuisses atteint, qu’elle ne portait pas du tout de collant, mais des bas lycra très opaque, maintenus par un porte jarretelles noir, jarretelles tendues à l’extrême, le tout avec une culotte noire assortie qui tout en préservant sa pudeur, laissait deviner à travers la dentelle ajourée, la peau pâle de ses fesses, ni trop minces, ni trop potelées… je rabattais la robe au-dessus de sa taille, Nadine contracta ses rondeurs … l’atmosphère était lourde dans la pièce …elle croisa les jambes au niveau des chevilles,  faisant crisser ses bas, tendit le derrière vers moi tout en le contractant encore plus … je lui serrai la taille du bras gauche, non par crainte qu’elle ne s’échappe, mais pour lui éviter de glisser et de tomber, surtout si elle venait à se débattre sous les claques de la fessée …

 

Au début, je me pris au jeu et les claques commencèrent à crépiter timidement sur ses fesses, et de plus en plus fermement et rythmées, Nadine encaissant sans un commentaire, sans un cri, son « charmant petit popotin musclé » tressautant quand même sous chaque claque.


Combien de temps dura cette fessée ? je n’en sais rien car le temps ne comptait pas et ne compte jamais dans une fessée et de toute façon je regardais les fesses magnifiques que j’avais sous les yeux et je ne comptais pas les claques … Nadine non plus … au bout d’un temps assez long, ses fesses devinrent moins fermes, tressautant plus rapidement et amplement sous chaque claque et Nadine de la main droite me saisit la main qui la tenait à la taille, la serrant très fort, tout en repliant ses cuisses vers ses hanches, chaque fois que mon autre main claquait une de ses fesses …

une petite voix annonça : « pouce, je te promets de ne plus être en retard !!! »

Je cessais de la fesser et le temps qu’elle se relève, je pus constater, la couleur  rouge vif de ses fesses avec le noir de ses dessous et bas … que les fesses de Nadine avaient une belle couleur … quant à la chaleur, j’avoue qu’une fois la fessée terminée, je ne les ai pas touchées, même si cela me tentait … Nadine se releva de mes genoux, remis un peu d’ordre dans sa tenue, prit le temps de retendre ses bas, défroissa sa jupe, avant de la rabaisser et me surpris en venant s’assoir sur mes genoux, chose qu’elle n’avait jamais fait … et malgré l’épaisseur de sa robe d’hiver et aussi de mon pantalon, je sentis la chaleur de ses fesses et provocation supplémentaire, elle m’avoua qu’en s’habillant le matin même, elle avait longtemps hésité entre un collant ou des bas … et me demanda ce que je préférais ; je lui répondis qu’à la prochaine fessée, si toutefois celle-ci ne suffisait pas, les bas seraient plus pratiques pour lui donner une vraie fessée jupe retroussée et culotte baissée !!!

« Tu n’oserais quand même pas ???» me demanda-t-elle ; je répondis: « pourquoi pas ! »


Il était tard et il me fallait rejoindre mon studio ; Nadine me raccompagna jusqu’au hall de sa résidence et m’embrassa généreusement sur les deux joues, me chuchotant à l’oreille :

 

« Je crois bien que je vais devoir dormir sur le ventre car mes fesses me chauffent un peu !!! »

 

Depuis il m’a été donné une fois d’apercevoir ses fesses nues car de passage chez elle il y a deux ans, je préparais le déjeuner et Nadine avait mis du pain à griller ; le grille pain s’est emballé, ne projetant pas la tartine et j’ai vu Nadine émerger de sa salle de bain, le devant du corps caché par une serviette, mais quand elle est repartie aussi vite qu’apparue, j’ai quand même entrevu son « charmant petit popotin musclé » !!!

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 10 novembre 3 10 /11 /Nov 10:35

 

Depuis plus de trente ans, je garde des contacts avec Nadine, une camarade de classe de collège, puis de lycée et que cette dernière, s’est toujours amusée depuis le temps à jouer de ma patience en arrivant soit en retard à des rendez-vous, soit en les oubliant depuis notre adolescence. 

 

Les hasards de la vie ont fait que j’ai travaillé quelques années sur Paris, laissant ma famille en province, mais en la retrouvant les week-ends, mais aussi de pouvoir retrouver Nadine, sur place, notre camaraderie de classe, d’adolescence s’étant au fil des années, malgré la séparation géographique, transformée en amitié longue et durable. Nous nous sommes tous deux mariés de notre côté à une année d’intervalle, mais Nadine n’a pas eu beaucoup de chance, puisqu’il y a quelques années de cela, elle a divorcé d’un mari volage …

 

Nous avons donc profité de mon séjour parisien pour renforcer nos liens et aussi profiter de cette amitié pour l’aider dans ses malheurs. Il faut dire que Nadine et moi, nous nous adorons, voir nous aimons plus que frère et sœur, mais moins que mari et femme … sans toutefois nous désirer sexuellement l’un et l’autre !!!


Nous avions pris l’habitude de nous téléphoner une fois par semaine et de nous retrouver de temps en temps, soit dans un restaurant, soit pour une sortie cinéma ou théâtre, sortie auxquelles bien sûr, Nadine arrivait toujours en retard !!! Lors de l’une de nos conversations téléphoniques, alors que je lui reprochais tous ses retards et tous les tours pendables de notre jeunesse qu’elle avait pu me jouer, elle m’avoua que depuis que nous nous connaissions, elle rêvait de me pousser à bout pour connaître les limites à ne pas dépasser, tout en voulant connaître ce qu’elle risquait à ce jeu. Je lui demandais si elle aurait le cran de me répéter tout ceci les yeux dans les yeux et que si vraiment elle réussissait à me « pousser à bout », ce qu’elle risquait au pire, c’était de recevoir une bonne fessée, jupe retroussée, fessée méritée depuis pas mal d’années et qu’en y réfléchissant, c’était plus l’occasion qui m’avait manqué que l’envie de la lui donner … elle me répondit par des éclats de rire, précisant même que son « charmant petit popotin musclé » résisterait à la punition !!! Avant de nous quitter, nous convînmes d’une sortie restaurant pour la semaine à venir et l’invitais à être à l’heure, sous peine de fessée en cas de retard, et l’invitais à porter des collants opaques, car au moins en cas de fessée jupe retroussée, son honneur serait sauf car je ne verrai pas ses dessous.

 

La semaine suivante, nous nous retrouvâmes à l’heure, ce qui était exceptionnel, devant le restaurant convenu où elle arriva en m’annonçant que pour une fois elle était à l’heure car elle avait eu une peur bleue de la fessée et tout cela bien sûr le sourire aux lèvres … en la regardant, je remarquais que pour cette soirée, elle avait revêtue une robe assez ample et qu’elle portait des collants très opaques ; avait-elle prévu d’être en retard ??? La soirée fut comme toujours formidable et comme elle m’avait rejoint dans Paris par les transports en commun, nous convînmes qu’il était hors de question qu’elle rejoigne son domicile à cette heure si tardive par le métro, puis le train et comme presque à chaque fois, je la raccompagnais chez elle, dans les Yvelines voisines.

 

En arrivant à son domicile, elle me demanda de l’y accompagner car elle avait quelques cadeaux pour mes enfants. Une fois dans le salon, elle me remit les cadeaux et s’approchant de moi avec son sourire d’ingénue, me demanda que si elle avait vraiment été en retard, est-ce que j’aurais osé lui donner la fessée comme promis ? Je lui répondis que la fessée était en sursis pour cette fois jusqu’à notre prochaine rencontre, mais que vu la tenue qu’elle portait, elle avait certainement tenu compte de mes conseils et avait certainement pensé être en retard … elle enchérit sur le fait qu’elle doutait vraiment de cette fessée.

 

S’approchant de moi, ses yeux bleus dans mes yeux verts, elle me mit au défit de la lui donner vraiment un jour et qu’elle pensait qu’elle resterait toujours sur sa faim, mais qu’à l’avenir, elle allait tester encore plus ma patience … la tentation était trop forte, mais après toutes ces années de provocations, pourquoi en attendre encore d’autres ???

 

A suivre…

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 4 novembre 4 04 /11 /Nov 10:40

Voici le récit d'une fessée féminine sur des fesses féminines dont je fus le témoin il y a quelques années :
 
 

Lorsque j’étais encore célibataire, nous passions souvent des samedis soirs entre copains et copines dans l’appartement ou le studio de l’un ou l’une d’entre nous autour d’un plat régional ou tout simplement une pizza.

 

Ce soir là, je me retrouvais le seul homme avec trois copines et collègues Valérie, Nathalie et Patricia. Ce soir là, nous étions chez cette dernière et le repas terminé, la table débarrassée,  elle nous proposa une soirée poker, dont peu de nous autres, mis à part Patricia, ne semblait trop maîtriser les règles de jeu. Nathalie, l’aînée « fille » du groupe semblait bien connaître Patricia pour sa malchance au jeu de hasard et surtout d’argent, aussi la règle de ne pas miser d’argent fut décidée, ainsi que la durée d’une heure pour la partie où l’argent des mises fut remplacé par des haricots secs et tous décidèrent que le gagnant fixerait un jeu au perdant.

 

Tous étant d’accord, la partie commença, les cartes tombèrent, les enchères fictives flambèrent. A 22h30, sonna la fin de la partie et le temps des comptes, dépenses et recettes, pertes et gains et Patricia était la grande perdante … Valérie la grande gagnante, Nathalie et moi-même recouvrant nos mises de départ.

 

Encore tous autour de la table, Valérie annonça qu’elle avait choisi son gage pour Patricia, gage particulier qui, souhaitait-elle, lui ferait passer l’envie de jouer à des jeux d’argent et de risquer, comme cela était déjà arrivé et su d’elle, que Patricia perde une grosse partie de son salaire et tire le reste du mois le diable par la queue … ce gage allait être très particulier et devrait plaire à tous sauf à Patricia … Valérie annonça :

 

V – «  Nathalie et Alain vont prendre tous deux place dans le canapé, tandis que je vais te prendre sur mes genoux Patricia et te donner la fessée ! ».

 

Valérie plaça une chaise devant le canapé où tous deux Nathalie et moi étions confortablement installés et à dire vrai, ravis d’assister au spectacle d’une jolie fille de 25 ans qui allait se faire rougir les fesses, sans trop savoir comment, ni nous deux non plus …

 

Une fois assise, Valérie fit signe à Patricia de s’approcher d’elle et une fois à sa portée, la renversa sans trop de mal sur ses genoux, retroussa la courte jupe de la « perdante » sous laquelle elle portait heureusement un collant foncé, mais Valérie ne s’arrêta pas à ce détail et saisissant ensemble collant et culotte, déculotta généreusement Patricia jusqu’aux genoux, laquelle poussa un « oh » de surprise, suivi d’un « oh !!! » d’indignation, avant de promettre, de jurer, de ne plus jamais jouer à des jeux d’argent.

 

V -  « Il fallait y réfléchir avant ma petite ; je propose donc que tu reçoives de suite une douzaine de claques par jouer … nous étions quatre … j’arrondis donc à cinquante les claques que tu vas compter en cadence !!! ».

 

P – « Mon pauvre derrière ne va jamais supporter cela … je ne peux pas garder mon collant et ma culotte ? »

 

Et pour toute réponse, les claques se mirent à tomber sur le derrière nu, placé face à nous deux, Nathalie et moi, derrière qui bien que musclé et ferme, tressautait sous les impacts, tandis que de l’autre côté nous pouvions voir Patricia grimacer, serrer des dents, appréhender cette fessée s’éternisant, Patricia comptant de 1 à … si bien qu’à partir de 20 claques, non seulement les fesses de Patricia se dodelinaient, ses jambes battaient l’air, ainsi que sa queue de cheval, Patricia serrant à deux mains les pieds de la chaise sur laquelle officiait Valérie. Attendant que la « punie » annonce le chiffre et si elle tardait, une claque plus sèche s’abattait sur sa croupe, l’incitant à ne pas perdre de temps et à ne pas se tromper … Patricia prononça 50 et Valérie cessa … Patricia se releva rapidement, jupe froissée, jambes empêtrées dans le collant et la culotte baissés pour disparaître vers sa salle de bain, les fesses rouges comme des tomates bien rouges.

 

Valérie nous rejoignit entre nous deux sur le canapé, se frottant les deux mains comme si elle était satisfaite de l’ouvrage bien fait.

 

V – « Patricia sait maintenant qu’il vaut mieux rembourser ses dettes avec ses fesses surtout quand elles sont mieux rembourrées que son porte-monnaie !!! ».

 

Nous ne fîmes aucun commentaire encore surpris et ravis de la scène à laquelle nous venions d’assister. Depuis la salle de bain, nous entendions couler de l’eau et je pense sans me tromper que Patricia devait prendre un bon bain de siège, fesses à l’air dans le bidet rempli d’eau fraîche. Enfin, au bout de longues minutes, Patricia réapparut, ayant remis de l’ordre dans sa tenue, ayant abandonné son collant, la jupe sagement lissé sur ses hanches et jambes, les pommettes des joues rouge.

 

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 30 octobre 6 30 /10 /Oct 10:40

Début de l’histoire

 

…à force de chercher une vrai fessée, on finit par la recevoir !!!

suite et fin  des mésaventures claquantes et cuisantes de Martine et Dominique

Episode 5 : à force de chercher une vrai fessée, on finit par la recevoir !!!


Je pensais que cette fessée calmerait Dominique, mais c’était bien mal la connaître car cette adorable nantaise, avait de la suite dans les idées … et quelques semaines plus tard, profitant de la durée tardive d’une étude de dossiers, avant de nous séparer, elle renouvela son expérience de me mettre en colère en renversant tout ce qui se trouvait son bureau, ce qui me lui fit dire ce commentaire :

 

A – « Inutile de perdre ton temps ma petite … puisque la fessée de la dernière fois ne semble pas t’avoir totalement convaincue, je vais renouveler l’expérience !!! ».

 

Et joignant le geste à la parole, je me levais, reculais mon siège de bureau, fixait cette jeune trentenaire qui pour une fois ne s’était pas habillée en jeune fille de bonne famille, mais portait un pull col roulé, une jupe kilt assez courte, les jambes gainées de nylon clair et chaussée d’escarpins à talons, avant de lui saisir le poignet, de l’attirer vers moi, derrière le bureau où je reprenais place en m’y asseyant et sans perdre de temps, la couchais allongée en travers de mes cuisses, la maintenant par la taille d’un bras  et retroussant la courte jupe qui par la position était déjà remontée à mi-cuisses et d’avoir la surprise de découvrir que Dominique en cette fin de journée, portait des bas style « Dim-Up » au lieu d’un collant virginal !!! Me remémorant ses paroles :

 

« je suis un peu déçue car je m’attendais à la recevoir déculottée !!! »

 

sans la moindre hésitation, je lui affirmais :

 

A – « Puisque tu pense qu’une bonne fessée se donne et se reçoit déculottée, je ne veux pas te décevoir … »

 

et saisissant la minuscule culotte blanche, je la lui baissais, non pas à mi-cuisses, mais juste sous les fossettes des fesses, Dominique m’exposant en plein visage, son derrière nu entre le tissu de sa jupe froissée et la lisière dentelée de ses bas … sans me faire le moindre commentaire, sans ajouter la moindre réticence, comme soumise !!! ce qui m’encouragea sans hésiter, à la fesser méthodiquement, en cadence, d’une fesse à l’autre, fesses peu larges et peu potelées, plutôt plates, dont la résistance me surprit, ainsi que celle de leur ravissante propriétaire, tête en bas et fesses en l’air et à l’air …

 

Depuis ce jour, j’ai constaté que ce ne sont pas toujours celles qui possèdent une magnifique paire de fesses larges et potelées, qui sont les plus résistantes à la fessée car les plus menues sont bien souvent plus résistantes, mais parfois au lieu que leurs rondeurs passent par tous les tons du rouge, elles ne rougissent pas, mais gardent trop souvent des marques, des traces de bleus, virant parfois au violacé … même en modérant, contrôlant l’intensité des claques … mais cet inconvénient, je ne le découvris quand arrêtant momentanément de la fesser pour admirer mon ouvrage … ce qui devant l’étendue des dégâts me décida à arrêter la « punition » qui avait quand même duré plusieurs minutes !!!

Relâchant ma force au niveau du tour de taille de Dominique, cette dernière se releva pour me faire face, tout en rabattant sa jupe sur ses hanches, sous laquelle elle glissa ses deux mains pour remonter discrètement en se contorsionnant, sa minuscule petite culotte sur ses hanches ; une fois rhabillée, mi-figue, mi-raisin, tout en se frottant le fond de la jupe à deux mains, elle me fit ce commentaire :

 

D - « Je ne m’attendais pas à ce qu’une fessée déculottée fasse autant de bruit et me picote et me chauffe autant le derrière ! »

et s’approchant de moi, elle me chuchota à l’oreille :

D – « Quand tu veux, tu recommences quand tu veux !!! »

 

Mais le lendemain matin, dans un moment d’intimité, elle me confia :

 

« Lorsque je suis rentrée chez moi hier soir, j’ai regardé mon derrière dans ma glace d’armoire … bonjour les dégâts … j’ai dû étaler de la crème d’arnica sur mes fesses pour faire disparaître les bleus ».

 

Mais ceci ne l’empêcha pas de renouveler l’expérience et je ne me fis pas prier pour recommencer presque une fois par mois et fus toujours surpris de constater que depuis Dominique, hiver comme été, portais toujours des bas.

 

(Merci Alain !)

 

Contacter l’auteur

Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés