Dimanche 28 novembre 7 28 /11 /Nov 15:52

Catherine, une collègue de travail, ravissante blonde aux formes pulpeuses, avait passé avec moi un pari dont nous avions oublié l’objet, mais pas l’enjeu, car en effet si elle gagnait, je devais lui offrir une glace aux griottes et si elle perdait, je pouvais la fesser, car depuis que nous nous connaissions, la fessée revenait régulièrement dans nos conversations et il faut dire que l’éventualité de recevoir une fessée n’effrayait pas la ravissante étourdie qui avec une bonne paire de fesses, avait de quoi l’amortir du moment que son honneur était sauf.

Eventuellement fessée jupe retroussée, mais surtout pas culotte baissée !!!

Nous avions passé cet accord avant l’été et les congés et lorsque la rentrée arriva, quelques jours plus tard, Catherine vint me retrouver et me rappela notre enjeu, regrettant de n’avoir pu manger une glace.

Mais elle n’avait pas gagné, ni moi non plus…

Sa réponse m’étonna car elle suggéra que puisqu’il n’y avait ni vainqueur ni perdant, tout le monde avait donc gagné : elle recevrait la fessée, mais une bonne fessée classique, sans jupe retroussée et dégusterait ensuite sa glace pendant la pause de midi. Nous décidâmes de nous retrouver aux archives, une fois que tous nos collègues seraient sortis pour déjeuner ; elle y monterait la première, préparerait les lieux et m’y attendrait ; il me suffirait de frapper à la porte.

A midi, une fois tout le personnel parti, je montai aux archives et je n’eus pas à frapper à la porte puisque Catherine m’y attendait. Les archives occupaient une grande pièce sans fenêtres que divisaient plusieurs rangées d’étagères remplies de classeurs et de boîtes à archives. Une fois tous deux à l’intérieur, Catherine referma et verrouilla la porte, derrière nous en me précisant :

« Je veux bien que nous rigolions tous les deux, mais je ne veux pas en faire profiter tout le monde, alors jure-moi que tu n’en parleras à personne ».

Je n’en avais nullement l’intention et lui promettais un silence tombal.

Elle m’invita à la suivre vers les dernières rangées d’étagères entre lesquelles, elle avait positionné une chaise, Catherine ayant tout prévu, m’avoua être une amatrice de la fessée classique « sur les genoux », et qu’elle restait sur sa faim, son mari n’étant pas trop amateur de cette fantaisie.  Elle m’invita à m’y assoir et me fit jurer de la fesser uniquement par-dessus sa jupe, pour cette première, justifiant son choix par la fin de l’été, qu’elle ne portait pas de collant et redoutait qu’une fois à plat ventre sur mes genoux, jupe retroussée, de se retrouver petite culotte baissée pour recevoir la fessée « cul nu », ce pourquoi, elle ne se sentait pas encore prête … pas tout à fait … promettant mi sérieuse, mi coquine, qu’à l’automne prochain, elle se laisserait peut-être tenté par une fessée jupe retroussée, mais avec un collant bien opaque …

Je lui promis de tenir ma promesse et vu la courte longueur de la jupe et le tissu léger dont elle était faite, qu’elle le veuille ou non, une fois à plat ventre sur mes genoux et penchée bien en avant Catherine m’offrirait quand même une vue plongeante sous sa jupe dont la faible épaisseur n’amortirait pas les claques sur son derrière potelé serré dans le tissu étroit de la jupe.

Elle prit donc position sur mes genoux, à plat ventre, se tenant des deux mains aux pieds de la chaise, les jambes tendues au sol. Sans perdre de temps, la maintenant à la taille d’une main,  à la fois pour lui éviter de tomber, mais aussi de s’échapper, j’entrepris de la fesser comme elle le demandait, tout en observant que je ne mettais pas trop trompé. Malgré le côte pudique et effarouché de Catherine, j’avais sous les yeux le haut de ses cuisses et le bas en dentelle de sa culotte satinée, car en se penchant trop bien en avant après s’être allongée sur mes genoux, elle n’avait pu empêcher le tissu de la jupe remonter le long de ses jambes.

Ma main droite tomba en cadence, alternativement d’une fesse sur l’autre et entre chaque claque, son derrière, s’il s’était instinctivement contracté dès les premières claques, se tendait vers la claque suivante et la main qui le corrigeait, qui en tombant bien à plat sur le tissu tendu, le faisait tressauter sous la jupe, laquelle tandis que plus que Catherine gigotait et se trémoussait, était remontée plus haut que ses cuisses et depuis j’avais une vue plongeante sur une magnifique paire de fesses galbées que le tissu d’une culotte pastel avait un peu de mal à contenir, révélant les fossettes des deux fesses, qui rougissaient à vue d’œil.

Sous l’intensité et le rythme de la fessée, Catherine battait des jambes, sous chaque claque et au bout de longues minutes et plusieurs paires de claques, elle me demanda d’arrêter puisque j’avais gagné mon pari, c’était à son tour d’avoir le sien et de nous rendre au restaurant pour qu’elle y déguste une glace aux griottes, dont ses fesses devaient avoir, je suppose, la même couleur.

 

Je pris alors le temps d’examiner cette « grande chipie » de 35 ans qui pour l’occasion s’était vêtue de façon sage et classique, chemisier clair, jupe foncée à plis, collant chair opaque et escarpins noirs … elle prit même le temps de tourner sur elle-même, faisant virevolter sa jupe comme une enfant en m’annonçant que je n’avais pas encore tout vu … S’arrêtant, elle prit une chaise de visiteur qu’elle plaça au milieu de la pièce, m’invita à y prendre place, ce que je fis, sans me faire prier … Catherine s’avança vers moi, mains croisées dans le dos, un sourire coquin aux lèvres et m’annonça :

 

« En avant pour la fessée … et  encore mieux que la dernière fois … j’en ai trop envie … quand cela suffira, je te le dirai … je veux de la fessée claquante et cuisante et jupe retroussée !!! »

 

 

Et sans perdre une minute de plus, Catherine s’installa en travers de mes cuisses, à plat ventre, se tenant à l’horizontale, d’une main au dossier de la chaise et de l’autre à l’un des pieds de la chaise. Sans perdre de temps, la ceinturant fermement par la taille de mon bras gauche, je pris quand même le temps de retroussée lentement la jupe de cette « effrontée », le long de ses mollets, puis de ses cuisses, jusqu’aux hanches et en rabattant le tissu au dessus de la cambrure de ses reins, j’eus l’agréable surprise de constater que Catherine portait certes un collant bien opaque, sans démarcation et que sous ce collant, elle ne portait pas la moindre petite culotte et malgré l’opacité du collant  ses fesses potelées et nues, ainsi que la fente qui les séparait comme un fruit bien mûr, apparaissaient comme en plein jour ; elle éclata alors de rire en m’annonçant qu’elle m’avait bien eu et regrettait que si moi je pouvais plus que deviner ses fesses, elle était un peu déçue de ne pas voir ma tête !!!

 

Je lui promis de tenir ma promesse et vu la courte longueur de la jupe et le tissu léger dont elle était faite, qu’elle le veuille ou non, une fois à plat ventre sur mes genoux et penchée bien en avant Catherine m’offrirait quand même une vue plongeante sous sa jupe dont la faible épaisseur n’amortirait pas les claques sur son derrière potelé serré dans le tissu étroit de la jupe.

« Quand je pense qu’il y a de cela quelques mois, tu m’exposais ta théorie sur la fessée jupe retroussée, mais surtout pas culotte baissée pour laquelle tu ne te sentais pas prête, je trouve que tu t’es rapidement dévergondée et je vais tout faire pour ne pas te décevoir !!! »

Pour toute réponse, je vis ses fesses se contracter sous le nylon du collant et je commençais à fesser Catherine énergiquement, d’une fesse à l’autre, pour ne pas faire de jalouse, la paume de ma main droite rebondissant sous les claques d’un globe à l’autre, les martelant à cadence rapide et chaque fois que ma main tombait à plat sur le derrière tendu vers moi, la trace de ma paume et de mes cinq doigts s’imprimaient sur la fesse qui venait d’être corrigée et malgré le collant opaque, je voyais la couleur des fesses rougir à vue d’œil !!!

Chaque fois que ma main claquait la croupe de Catherine, le bruit sec de la claque résonnait dans la pièce close et suivant l’intensité de la claque ou Catherine faisait un commentaire dans le style « aïe … celle la elle fait mal … ouille, mais ça chauffe » ou si elle ne disait rien, repliait en bloc ses deux jambes sur ses cuisses, mais au fil des minutes, Catherine cessa ses commentaires, la cadence de la fessée s’accélérant, je l’imaginais, serrant les dents, car je la voyais serrer les fesses sous le collant depuis quelques minutes et elle commençait à battre l’air des jambes, perdant même un de ses escarpins, se tortillant en espérant pouvoir échapper aux claques, ses jambes, ses fesses et sa queue de cheval battant l’air en cadence et la rougeur de ses fesses tranchant sur l’opacité du collant lui gainant cuisses et jambes !!!

Enfin, elle cria grâce :

« Arrête s’il te plaît, arrête, je n’en peux plus, mes fesses sont en feu !!! »

Je respectais la règle du jeu, je m’arrêtais et Catherine ne perdit pas de temps pour se relever et après avoir récupéré et remis sa chaussure, elle me fit face, se frottant énergiquement les fesses à deux mains sous la jupe …

« S’il avait fait moins froid ce matin et si j’en avais eu le temps et si aussi mon mari était parti avant moi, j’aurais mis des bas et pas de culotte pour t’embarrasser … » avoua-t-elle en éclatant de rire, ce à quoi je lui répondis que je n’en aurais pas perdu la vue et que malgré qu’elle portait un collant, ce dernier ne cachait pas grand-chose de ses charmes …

« Bon, fit-elle, il va falloir quand même rentrer chez nous respectivement, mais avant je dois remettre ma culotte que j’avais enlevée avant de venir recevoir ma fessée … j’espère que je n’ai pas de bleus » et à mon étonnement elle me tourna le dos, relevant sa jupe comme une danseuse de french cancan, m’exposant ses fesses et me demandant de les examiner.

« Des rougeurs, mais je te rassure, pas de bleus, du moins je n’en vois pas à travers ton collant »

« Tu en es sûr ??? »

Et tout en se redressant, elle prit à deux mains l’élastique du collant qu’elle baissa  sous les globes de ses fesses et là je pus rapidement constater, mais sans en perdre une miette qu’elle avait des fesses bien rouges, mais pas la moindre trace de bleus ou de petits vaisseaux éclatés. Rassurée, elle se reculotta et je sortis pour la laisser remettre ses dessous et reprendre sa vie digne de parfaite collègue de bureau. Quelques minutes plus tard, elle ressortit, fila chercher son manteau dans son bureau, tandis que je l’attendais dans le hall devant la porte de sortie verrouillée où elle me rejoignit rapidement, le feu aux joues, mais aussi ailleurs … cela, il n’y avait qu’elle et moi qui le savions !!!

« Mon bonhomme ne rentre qu’en fin de soirée, je vais pouvoir me refroidir les fesses dans un bain glacé car j’ai le derrière en feu. Je ne pensais pas que quelqu’un aussi  poupon que toi pouvait avoir une telle poigne !!! » et pour la première fois depuis que nous travaillions ensemble, Catherine me fit une grosse bise sur chaque joue avant de nous séparer.
 

J’avais décidé de changer d’emploi, attiré par une société me proposant un nouveau profile de carrière beaucoup plus avantageux et le fis savoir à mes employeurs, ainsi qu’à mes plus proches collègues, dont Catherine.

Quelques semaines avant mon départ définitif de l’Est de la France, pour gagner après les congés d’hiver le grand Ouest, au cours d’une pause café après le déjeuner, Catherine et moi nous prenions en commun un café avant de retourner dans nos bureaux respectifs et Catherine m’annonça très sérieuse qu’après mon départ, elle ne connaîtrait jamais la joie d’une bonne fessée jupe retroussée et culotte baissée, comme une « sale gamine » !!!

Je lui répondais qu’elle aurait du se décider plus tôt, vu que mon départ était imminent en fin de semaine … elle m’annonça que cela la tentait, mais ni aux archives, ni aux bureau et me proposa avant cette fin de semaine, de ne pas aller à la cantine le midi, de nous échapper pendant la pause du déjeuner, non pour aller chez elle, mais chez une de ses copines dont elle avait les clés du studio pour en soigner les plantes … aussi ravi qu’elle, j’acceptais et nous fixions cette « entrevue » au dernier jour de la semaine, le vendredi.

Le vendredi arriva et à la pause du midi et Catherine me communiqua l’adresse de l’appartement où tous deux devions nous retrouver devant l’entrée et comme cela n’était guère éloigné de nos bureaux, en quelques minutes nous étions rapidement sur place et quelques minutes plus tard, devant la porte de l’appartement. A cette heure du déjeuner, aucun bruit dans la case d’escalier, l’immeuble était désert. Catherine ouvrit la porte de l’appartement, s’y engouffra et je la suivais. C’était un petit deux pièces dans lequel on accédait via un petit couloir bordé de placards, puis par une nouvelle porte, on arrivait dans la pièce principale, meublée d’une table ronde et de deux chaises et aussi d’un canapé.

Catherine referma l’entrée principale, puis la porte du couloir et une fois dans cette pièce, elle fit ce qu’elle devait faire, c'est-à-dire arroser les plantes de sa copine et une fois ceci terminé, elle tira rideaux et double rideaux, pour plonger la pièce dans une semi obscurité, mais surtout pour éviter la vue de la scène qui allait se dérouler depuis les fenêtres des immeubles voisins.

Catherine m’avoua qu’elle avait fortement envie que cette dernière fessée dure et qu’elle souhaitait être confortablement installée pour la recevoir et plutôt que se retrouver plaquée sur mes genoux, tête en bas, jambes pendantes et fesses en l’air ; elle préférait être fessée sur le canapé vers lequel elle se dirigea et prêt duquel elle alluma une lampe abat-jour, pour que je puisse contrôler l’évolution des rougeurs et ne pas en perdre une miette.

Après avoir ôté mon manteau, je m’installais donc sur le milieu du canapé tandis que Catherine se débarrassant aussi de son manteau et de son sac à main, vint vers moi et  après avoir ôté ses escarpins, s’agenouilla sur le canapé, sur ma droite, avant de s’installer confortablement à plat ventre en travers de mes cuisses, jambes relevées et coudes en appui sur les coussins. Je posais ma main droite sur ses jambes gainées de nylon noir et en glissant le long, je pris tout mon temps pour retrousser sa robe noire qui heureusement n’était pas moulante. Lorsque j’arrivais à la cambrure de ses reins, passant l’obstacle de ses hanches, je pus rabattre le bas de sa robe sur sa taille, découvrant ses fesses encore protégées par le collant et une culotte noire aussi. 

Catherine s’allongea alors, joue contre le coussin et m’encouragea à continuer. Je pris alors le collant à deux mains sur les bords et le baissait lentement, attrapant par la même occasion les bords de la culotte et fit glisser l’ensemble le long de ses fesses pour le baisser juste sous ses fesses, Catherine se souleva, décollant son ventre de mes cuisses comme pour m’aider à franchir plus facilement l’obstacle de ses hanches et exposer son derrière blanc laiteux, mis en valeur par le noir de la robe retroussée et le noir du collant gainant ses cuisses.

Une fois entièrement déculottée, fesses à l’air au milieu du salon, confortablement installée en travers de mes cuisses sur le canapé, Catherine se recoucha à plat ventre et attendit. Au lieu de la saisir à la taille comme je l’avais fait jusqu’à présent, ma main gauche la saisit par sa hanche gauche et je posais la paume de ma main droite sur sa fesse gauche, comme pour en mesurer la surface, pour mieux viser, mieux les claquer … instinctivement Catherine serra ses fesses tièdes, au point que la fente qui les séparait généreusement fut si étroite que l’on aurait pu y glisser un doigt … et le duvet blond de ses fesses généreuses se hérissa, pourtant il faisait chaud dans la pièce … au lieu de commencer à la fesser, je lui caressais une fesse, puis l’autre, comme pour les apprivoiser … au bout de quelques caresses, Catherine saisit de sa main droite, ma main qui la maintenait au niveau de la hanche, souleva un peu ses hanches de mes cuisses pour tendre ses fesses potelées vers la fessée qui se faisait trop attendre et me murmura :

« Fesse moi comme une sale gamine … aussi longtemps que tu le veux … vite !!! »

La première claque tomba sur sa fesse droite et sous l’impact Catherine se tendit … une première claque suivit d’une autre  … jusqu’au nombre de cinq, avant  que je change de fesse et lui applique le même traitement … plus les claques tombaient, plus Catherine me serrait la main ; après ces quelques claques, je me décidais de prendre une cadence de bonne fessée, claquante et cuisante et c’est alternativement, d’une fesse à l’autre, que je me mis à claquer à cadence soutenue, avec énergie les fesses musclées de Catherine qui accompagnait chaque impact sur sa croupe tendue et ferme d’un « aïe » ou d’un « ouille » … les minutes passaient, rythmées par le bruit sec des gifles s’abattant sur une croupe qui rougissait à vue d’œil et dont la ravissante propriétaire poussait moins de cris de douleur, préférant mordre dans le coussin du canapé, certainement de douleur, mais aussi de plaisir, tout en commençant à battre des jambes, entravées par le collant et la culotte, mais de plus en plus vite … et malgré la semi obscurité de la pièce, regardant le derrière de Catherine, plutôt que le plafond, derrière dont le rouge de plus en plus intense tranchait sur  le noir de la robe et aussi des cuisses gainées du collant noir, baissé juste sous les rondeurs de ses fesses, fesses qui sous les claques de plus en plus rapprochées et fermes, tressautaient dans tous les sens, Catherine ne pouvant plus les serrer aussi fermement qu’au début de la fessée qui durait depuis plusieurs minutes et pour laquelle la paume de ma main commençait aussi à chauffer … Catherine ne criant pas grâce, le visage toujours enfui dans le coussin, je continuais à lui claquer avec toujours autant d’énergie et de rapidité les fesses quand elle se décida enfin à tourner la tête vers moi et tout en continuant à me serrer la main gauche me demanda d’arrêter :

« Arrête s’il-te-plait, arrête je n’en peux plus … mes fesses vont prendre feu !!! »

Je m’arrêtais, tandis que Catherine, les yeux humides, échevelée, émergeait de cette bonne fessée, restant prostrée les fesses à l’air, allongées en travers de mes cuisses sur le canapé … je lui rabattais la robe sur les reins et en lui frôlant les fesses, je pus constater qu’elle n’exagérait pas et que ses rondeurs étaient non seulement écarlates, mais aussi brûlantes.

Nous ne pouvions rester ainsi, elle à attendre que ses fesses reprennent une couleur et une température normales, il fallait retourner au bureau, les préparatifs de la fessée et la fessée proprement dite ayant duré toute presque toute l’heure du déjeuner. Catherine se redressa à genoux à mes côtés, passant ses mains sous sa robe et se frottant énergiquement les fesses comme pour les rafraîchir … enfin, elle se releva et sans la moindre gêne, ôta devant moi son collant qu’elle roula avant de le faire disparaître dans son sac à main dont elle sortit une paire de bas noirs auto fixant qu’elle enfila  devant moi après s’être reculottée en grimaçant…

« J’ai du mal à supporter ma petite culotte, alors avec un collant par-dessus, je ne t’explique pas … heureusement que mon mari est en déplacement car sinon je ne sais pas comment je pourrais justifier mes fesses cramoisies !!! »

 

Nous retournâmes ensemble au travail, à pied, comme nous étions venus, Catherine faisant des commentaires sur l’arrière saison et le vent s’engouffrant sous sa robe, permettant ainsi à sa partie charnue de refroidir un peu plus rapidement.

 

Quelques années après mon départ d’est en ouest, Catherine m’apprit qu’elle avait divorcé … quelques années après, elle m’apprit que son « ex » était décédé … quelques années encore après, elle m’annonça qu’elle avait refait sa vie avec un nouveau mari et que ce dernier n'hésitait pas à la fesser quand elle le méritait !!!



Par isabelle183 - Publié dans : Récits de fessée par mes amis du net - Communauté : La fessée
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