Mardi 11 avril 2 11 /04 /Avr 21:05

Un grand classique des grands garçons. Espionner discrètement une dame. Notamment quand la dame est parée de belle lingerie et de plus s'applique une petite tape sur ses fesses avec une règle. J'adore quand les messieurs se mettent à raconter ce genre d'anecdotes. Il y a un peu de gêne au début devant une femme, mais quand je commence à rigoler « un peu bêtasse » comme je sais si bien le faire, l'atmosphère se détend et l'ambiance change dans un concours de la plus belle histoire. Alors je rigole encore plus et en échange j'ai droit à encore d'autres confidences. Quoiqu'il en soit, j'ai une réputation de discrétion exemplaire et cela semble délier les bouches.

Par isabelle183
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Jeudi 6 avril 4 06 /04 /Avr 21:42

 

Ah le fantasme de la prof sévère. Avec chignon et lunette s'il vous plaît ! Provocante à souhait sur ses hauts talons, elle fait sa rentrée en tailleur ultracourt avec des inévitables bas et porte-jarretelles, mais surtout sur une musique qui fouette et quand elle tape avec la règle sur table la sonorité est vraiment convaincante. On dirait que mon homme se défoule sur mon derrière. J'ai des petits frissons partout. Et Monsieur aussi, mais pour d'autres raisons. Je crois qu'il fera appel dans les prochains jours à sa parfaite secrétaire.

Par isabelle183 - Communauté : La fessée
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Mercredi 5 avril 3 05 /04 /Avr 22:28

...fait un bien fou à celui qui l'applique !

 

Certains jours mon insolence n'a pas de limites. C'est plus fort que moi et après quelques bienveillantes mises en garde Monsieur se lève pour chercher le martinet. Ah le grand geste. Comme il est fier de faire respecter l'ordre et la discipline à la maison. Trop craquant mon chéri quand il ajoute :

 

Cul nu, jeune dame. Tu l'as bien cherché.

 

Niveau frisson cela marche à chaque fois. Avec le temps j'ai développé quelques réflexes quand il est question de martinet. Pas seulement que je me dépêche pour me déculotter, mais aussi je rougis timidement. Car la position a adopter est de plus impudique. Mes jambes en peu écartées, je dois me pencher en avant, mes mains sur mes mollets. D'un simple coup d’œil on y voit tout les secrets d'une fille. Il est facile à comprendre que Monsieur prend tout son temps. Puis c'est le moment de passer à l'acte.

 

En fin connaisseur de ma psychologie, il s'applique avec modération. En variant surtout les alentours de ce qui va se passer . C'est ainsi que se construit un suspense de la petite aventure au quotidien qui ne craint pas de la violence fessière. D'accord c'est toujours une expérience douloureuse (ce qui est la nature même de cette pratique), mais il n'y a pas d'abus et en plus pas de tripotage vicieux.

 

Non, non, on ne badine pas avec la discipline.

 

Bref, il marque son domaine, l'autorité de me punir quand il le juge bon...

 

Il est important de bien comprendre l'expression...juger bon... car notre discipline domestique se base sur mon besoin de punition...et aussi sur le besoin de punir de mon homme.

 

Évidement il est très délicat de parler d'un besoin de punir. Et il vaut mieux connaître le contenu exact de cette notion pour ne pas tomber de haut ou plutôt dans des pratiques non souhaitées.

 

Mais, mais, mais...

 

...parfois j'arrive vraiment à agacer mon homme par mes comportements. Et dans ce cas, par accord commun, rien de mieux que la fessée dans le sens que Françoise Dolto  -selon les on-dits- lui a attribuée :

 

Elle n'éduque pas, mais soulage la personne qui l'applique.

 

Pour ma part, je dois dire, je me sens soulagée aussi...

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits
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Jeudi 26 mars 4 26 /03 /Mars 12:18

Un sujet délicat qui échauffe tant de personnes

 

Les images qui évoquent le fantasme de la discipline maternelle à l'âge adulte ne manquent pas sur le net. Ce genre de fantasme était très présent chez moi en fin d'adolescence quand je commençais à prendre plaisir de fréquenter les garçons et expérimenter avec eux la vie des adultes. Niveau relations avec mes princes charmants, malgré une certaine maladresse de leur part, due tout simplement à un manque d'expérience, je garde dans l'ensemble de bons souvenirs. Étant largement et surtout correctement informée par mes parents sur le fonctionnement d'un corps de femme, y compris le risque de maladies transmissibles, je n'ai pris ni de risque de me lancer dans le non-protégé, ni ai-je ressenti le stress de devoir atteindre à tout prix le fameux orgasme vaginal. J'ai pu donc avancer à mon rythme, sans céder aux garçons qui veulent à tout prix faire avancer le choses à leur rythme. Puis dans la mesure que je n'avais pas d'attirance pour les bad boys, les esprits tortueux ou taciturnes, je suis toujours tombée (j'ai choisi pour être plus précise) sur de jeunes hommes solides avec les pieds sur terre et les idées en place. Il me semble une erreur grossière de considérer les « natures heureuses », veut dire des jeunes, solidement intégrés dans la société, avec un sourire quasi permanent comme manquant de l'imagination dans les domaines inter-humains. Au contraire. La créativité peut très bien se passer de la bohème et une personne créative, selon me expériences, se montre créative partout. Bref, j'ai pris tellement goût à la chose que je me souciais beaucoup pour mes études. Sachant que pour moi cette voie était liée à un travail très considérable et malgré mon sérieux dans cette tâche, je me trouvai tout de même trop souvent prisonnière des mes culpabilités d'avoir passé trop de temps dans les bras d'un agréable prince au lieu de bûcher sans faille. Culpabilité qui se manifestait après l'acte, tandis qu'avant l'acte les hormones se montraient si impérieux que j'étais souvent déconcentrée autant à l'école qu'à la maison pendant mes devoirs.

 

Voila la situation bien cernée, mes fantasmes se penchaient sur des sévères voisines, gouvernantes, tutrices etc à qui je pouvais non seulement parler aussi librement de mes états d'âmes comme à mes parents, mais aussi d’espérer du moins dans mon imagination de solides corrections au cas où le juste équilibre entre loisir et travail m'échappait. Ce qui donne en quelque sorte un archétype d'un pur fantasme de punition. Du moins en surface.

 

Car effectivement se pose la question pourquoi mes fantasmes ne se tournaient pas vers des messieurs, capables d'assumer un travail éducatif à l'ancienne.

 

De plus, vu que tout se passait dans mes rêveries, il n'y avait aucun risque de tomber sur un homme malhonnête, détournant la situation à son avantage pour caser sa main ci et là. Seulement, l'idée d'un homme ajoutait à la situation disciplinaire d'autres frissons, loin d'être chastes et visant un sérieux suivi de mes études. Sorte de soigner le mal par le mal !

 

Je ne voyais pas la discipline comme un cadre rigide qui s'imposait malgré moi et contre ma volonté, mais comme une aide précieuse pour mettre de l'ordre dans mes pulsions et pour mieux apprendre de les différer.

 

En ce sens j'imaginai un régime recourant aux châtiments corporels au service de ma personne et hautement bénéfique pour moi. Pour mieux me faire comprendre, j'insiste sur le fait que je ne suis pas une personne susceptible à la procrastination, ni en manque de motivation pour faire ce que j'ai à faire. J'ai le travail dans le sang. Je prend plaisir d'être constante et régulière. Mon besoin de punition concerne une forte culpabilité/mauvaise conscience en me disant que je pourrais faire encore plus au détriment de mes loisirs.

 

Et vu qu'il y a des pulsions purement féminines en jeu qui mieux qu'une femme pourrait se mettre à ma place pour me comprendre et pour me conseiller.

 

Il en va de soi que le profil de celle « chargée de mon éducation » n'étais une affaire aisée.

 

Je ne cherchai pas une mauvaise conseillère qui essayait de me détourner du bon chemin en faisant apologie de l'oisiveté. Plutôt une dame solidement ancrée dans la vie sociale, déterminée et bienveillante à la fois. Je ne cherchais pas non plus un atelier « domination entre filles », plutôt un contexte maternel qui mélange sévérité et tendresse. Avec toute une gamme de punitions à but constructif. Toutefois loin de moi de cautionner les châtiments corporels quand il ne s'agit pas d'un libre choix d'un adulte.

 

Je pense qu'il faut une bonne compréhension de soi, une conscience de son besoin de punition et de son fonctionnement pour en tirer éventuellement bénéfice.

 

Disons qu'au bout du compte, c'est un terrain très personnel où les mot seuls n'arrivent plus à porter des fruits.

 

Je constate dernièrement qu'il y a des plus en plus de témoignages sur le net de la part de dames qui cherchent pour des raisons qui leur sont propres une sorte d'encadrement.

 

Cela dénote du net habituel qui jusque maintenant se perdait plutôt dans un lien entre fessée et volupté charnelle. Je ne critique pas, car il me semble parfois plus facile d'apprivoiser d'abord de manière ludique ce qui se trouve au fond de nous.

 

Et de toute façon, mieux vaut jouir de ses propres incohérences qu'en pleurer.

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Éducation anglaise - Communauté : La fessée
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Vendredi 27 février 5 27 /02 /Fév 14:09

Devant ou derrière ?

 

Je ne me considère pas comme particulièrement pudique. Mais dans le temps, avant mon épilation définitive, en période de repousse entre deux séances de bonne cire, je ne me sentais pas bien à l'aise. Je me trouvais négligée et je n'avais aucune envie de partager cet état « nature » avec de regards indiscrets. Il m'arrivait même d'être odieuse avec mon homme, car ma broussaille me gênait pour le petit câlin du soir.

 

Alors, mise à cette époque devant le choix de devoir dévoiler mon derrière fraîchement châtié ou mon pubis envahi de poils, j'aurais préféré sans hésiter cacher ce dernier.

 

Heureusement, grâce à la technique moderne, que je suis toute lisse depuis de nombreux années. Depuis ce temps, étrangement ma pudeur s'est déplacée. Peut-être parce que mon postérieur, mis à l'honneur dans nos divers rituels punitifs, n'a pas le moindre droit à la pudeur. Selon les positions, on voit plus ou moins bien. Par exemple quand la canne fait son apparition et je me retrouve penchée en avant, les mains autour de mes chevilles et les jambes écartées, il en va de soi que la pudeur se fait discrète. Surtout quand j'entends mon homme proclamer :

 

En position, isabelle, la discipline passe avant la pudeur !

 

Il arrive parfois que malgré la délicatesse de ma position que je me trouve encore un agréable air d'insolence en pensant pouvoir garder la face en ne montrant que ma lune. Mais mon chéri semble lire sur mes fesses.

 

Commence à faire des clin d’œil à la canne, isabelle !

 

Pas besoin de faire un dessin pour montrer de quel œil il parle. Il faudrait un esprit bien naïf pour imaginer que tout ce petit ménage s'effectue exclusivement en vu de réaliser de désirs érotiques. Personnellement je pense, notamment pour déclencher des phénomènes de honte qui font intégralement partie de punition, il faut chercher un peu plus loin. N'oublions pas que l'impulsion d'un fantasme n'est pas uniquement le désir charnel. Très souvent (peut-être c'est plutôt un truc de filles ?) les impulsions de base sont plutôt de l'ordre narcissiques et concernent un désir ambitieux pour exalter sa personnalité. Seulement comme prouve ma situation :

 

La roche Tarpéienne est proche du Capitole !

 

Librement traduit par : La disgrâce n'est jamais loin des honneurs. Et se retrouver après un envol d'orgueil en position de pénitente qui est invitée d'apprendre par la peau des ses fesses, n'est peut-être pas ce que je considère comme une exaltation de la personnalité. C'est un prix à payer pour obtenir un pardon ou du moins une réhabilitation. Ce qui montre que considérer seulement la composante de l'interdit et de sa transgression dans le désir, s'apparente à se mettre des œillères pour cacher l'aspect obscène du désir qui crée toute une panoplie de riches émotions.

 

Toutefois la mise à l'épreuve de ma pudeur est de courte durée. Il suffit une première application de notre canne pour que mes préoccupations changent de cible.

 

La séance punitive est souvent courte, mais intense et calme plaisamment mon besoin de punition ainsi que le besoin de punir de mon homme.

 

A chacun sa place, à chacun sa position dans une mécanisme bien rodé. Nous avons naturellement le reflex fessée quand la situation s'y prête. Mon chéri, il tient beaucoup que je montre du respect pour les instruments. Pratique fort utile comme j'ai pu comprendre très vite au début de notre relation. En fait, la méchante c'est canne et toute ma haine se porte envers elle. Il suffit de me voir, une fois ma sanction finie, coin y compris, quand je suis priée de la rapporter à sa place. Cela prend parfois des allures d'un petit dialogue, rempli de méchancetés. Et je suis certainement loin de me soucier de ma pudeur pour mes fesses striées et toujours en l'air. Mais une fois posé l'objet qui est censée parfaire mon éducation, je me blottis de bon cœur dans les bras de mon chéri qui ne se prive pas de me monter par ses mots doux et ses caresses mon entière réhabilitation. Il arrive très souvent que mon corps, à un moment ou un autre après ma punition, produise cette moiteur qui fait tant briller un entrejambe tout glabre. C'est le signe visible que la punition a atteint son but, apaiser efficacement mon besoin de punition, parce qu'effectivement j'ai payé le juste prix pour ma faute ou pour mon écart de comportement et apparaissent les signes dans le langage du corps qui réclame une tendre réconciliation sur l'oreiller. Loin de pratiques extravagantes dans un tel instant, mes aspirations se portent plutôt vers la vanille pure.

Par isabelle183
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Mardi 13 janvier 2 13 /01 /Jan 11:17

J'ai ouvert un nouveau blog sur la discipline domesique inversée :

 

Du côté de chez Maîtresse isabelle

 

 

 

Par isabelle183
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Mardi 13 janvier 2 13 /01 /Jan 11:03
Par isabelle183
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Dimanche 11 mai 7 11 /05 /Mai 10:10

renifleur de petites culottes-copie-1

R1-copie-1.jpg

 

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 Un joli dessin de l'ami Georges qui m'a tout de suite inspirée. Pour lire le texte il suffit de cliquer sur le lien :

Le nez dans les culottes des filles

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Georges
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Mardi 24 décembre 2 24 /12 /Déc 12:04

Meileurs-Souvenirs-du-Tyrol123.jpg

 

Mais oui, il y a des situations qui me donnent envie de baisser le pantalon d'un grand garçon. Comme piquer du nez dans un verre de bière. Comme trouver le monsieur avachi dans son fauteuil devant la télé en suivant le foot. De préférence habillé d'un pantalon de jogging et d'un t-shirt tout déformé. Comme faire le beau en me montrant que les limitations de vitesse pour les voitures ne concernent pas tout le monde. Comme faire un clin d’œil à une commerçante pendant des courses en commun. Comme une barbe de trois jours, comme des cheveux qui commencent à couvrir les oreilles. Comme passer des soirées entières avec des copains d'un âge mental de douze ans. Bon j’arrête, sinon ma liste deviendra trop longue. D'une je suis exigeante et d'autre je ne suis pas commode quand on me contrarie. Pas étonnant alors que la poésie de la mère fouettarde m'inspire fortement. Pendant l'adolescence au moment de donner une forme plus précise à mon fantasme de discipline, j'ai hésité entre une solide éducation aux allures amoureuses que me faisait parvenir un encore hypothétique homme de ma vie, sérieux sous tout point de vue et une vie de dame qui prend les affaires en main et qui tient la baguette. Cette dernière possibilité me séduisait par son apparente facilite. Car les hommes souhaitant se mettre au service d'une dame se trouvent assez facilement (même parmi ceux qui aiment donner des fessées à la dame, comme quoi!) et de plus il ont quelque chose de vraiment touchant à mes yeux tellement il débordent de dévotion. Pas sur qu'ils préfèrent forcement une éducation à l'ancienne de la part de leur partenaire, mais on ne sait jamais. Une petite fessée bien claquante sur le « podex » comme on dit souvent en Allemagne pour désigner le siège de la discipline peut faire des vraies miracles. Et une fois la mise au plie faite il suffit de continuer dans la bonne voie.

 

Je vous souhaite à tous et toutes un joyeux Noël !

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Georges - Communauté : La fessée
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Dimanche 8 décembre 7 08 /12 /Déc 21:12

Moment de grande intimité quand mon homme se penche sur mon éducation, celle que l'on nomme aussi anglaise. Inspiré par la situation l'ami Georges nous livre sa version qui me fait rire. Bon, ce n'est pas moi qui s'occupe du budget du ménage, mais je dois dire que je suis très raisonnablement dépensière. J'ai des petites envies comme tout le monde sans tomber dans l'excès et par conséquence ce sont d'autres défaut qui me valent mes punitions...

 

parfaite-secretaire-6.1.jpg

 

Amis moralistes passez votre chemin.

 

Il n'est pas dans mes intentions de discréditer un métier. Je parle de deux amoureux. Sans être liés par un rapport professionnel. Toutefois notre « parfaite secrétaire » transpirera sous peu, à grosses gouttes. Malgré un déo vanté comme sur ! En confessant non pas ses fautes professionnelles - trop facile comme truc, puis je n'aime pas les scénarios prétextes – mais son mal-être réel dans son boulot qui est cause d'un récurant besoin de punition.

 

Nous en parlerons à 5 heures pile dans mon étude, isabelle ! Je t'attend en tenue de parfaite secrétaire.

 

J'ai rêvé d'une telle situation pendant des années. Être convoquée de manière de plus formelle pour un entretien disciplinaire. Ma tenue et la disposition de l'étude de mon homme s'accordent à la merveille. Comme si cette pièce était spécialement conçue pour moi. Je ne sais pas pourquoi il m'a convoquée.

 

Pour un petit jeu parce sa main le démange ?

 

Pas son style. Il aime punir pour ce qui est convenu comme vraies fautes. Nous sommes encore à nos débuts et notre règlement de maison est rudimentaire. Toutefois il (le règlement !) établit clairement ce qui est faute ou pas. Aucun rapport avec une dialectique habile qui rend fautive la dame par principe.

 

Un subite envie de me faire danser sur ses genoux ?

 

Pas son style non plus. Quand il me baisse la culotte pour envies subites il s'agit de quelque chose plus classique. Mais oui, la banalité n'est pas une tare à mes yeux.

 

Alors pourquoi ? Pour mieux me comprendre ?

 

Ben oui ! Il est à la recherche de réponses sur moi. Cerner quelques particularités de mon besoin de punition. Assis dans son fauteuil il me regarde de la tête au pied. Émerveillé. A côté de lui sur la petite table basse une sorte de strap d'école d'anglaise.

 

J'attends ton mea culpa, isabelle !

 

Je doute qu'il fait allusion à mon interlude sur le parking.

 

Ne sois pas ridicule, isabelle !

 

Cet étrange interrogatoire avance lentement.

 

Tu n'es donc pas secrétaire ?

 

Bien sur que non. Mais on me demande de jouer un rôle auquel j'essaye de m’adapter au mieux. Je parle de mon travail, de mes responsabilités

Je ne m'y plais pas. Au fond je suis faite pour la documentation. La recherche dans la littérature au service de la vérité. Sans le côté mercenaire de l'esprit qui demande surtout du sophisme. Rentabilité oblige.

 

Certaines situations me gardent dans un état de stress permanent sans que je puisse identifier clairement mon besoin de punition. D'autres fois il se réveille clairement identifiable pour une cause précise.

 

Comme cette semaine un litige avec un collègue. Et je rentre à la maison en me disant :

 

parfaite-secretaire-6.2A.jpg

 

Tu mériterais une fessée de taille, ma grande.

 

Alors vivement que quelqu'un puisse me siffle la marche en sortant du boulot. M'appliquer une discipline expiatoire pour que je retrouve le bien-être dans ma peau.

 

Comme ça ?

 

Monsieur tient le paddle dans une main et tape avec dans l'autre. Le puissant son me traverse comme une décharge électrique. Je me rend compte que je viens de prononcer mon mea culpa. En fournissant une raison de plus valable pour revoir ma correction. Aussi ai-je pu exprimer ce que je garde depuis des mois pour moi. Rien que pour cela je me sens déjà soulagée.

 

De plus la perceptive d'une réelle discipline a quelque chose de libératoire.

 

Et la persepctive de la recevoir toute nue se rapporte plus à l'envie de retrouver le paradis perdu de l'esprit tranquille et moins à une honte émoustillante pour transgresser les règles de la pudeur. Quitter ma seconde peau de parfaite secrétaire et devenir moi. Allongée sur les cuisses de mon homme, pédalant en l'air avec mes jambes en braillant à haute voix pour accompagner la mélodie du paddle.

 

Home sweet home !

 

Et quand mon homme me relâche pour me lancer un de ses :

 

Désormais...

 

j'éprouve une immense gratitude. Parce que je sais qu'il ne plaisante pas et tant que je garderai cet étrange besoin de punition, il sera là pour veiller sur ma discipline.

 

Bien évidement, il faut un partenaire compréhensif pour exprimer des tels dessous d'un fantasme de fessée. Un qui ne pointe pas dans la direction médicale, allusion « normalité ». Un qui comprend qu'il s'agit d'une manifestation particulière du besoin de punition sans pour autant le résumer et encore moins de résumer la psychologie entière de la personne. Un aussi, capable de suivre d'aussi longues explications que cette histoire.

 

Ah oui, avant de terminer, mes confessions tiennent une place de choix dans notre discipline domestique. Elles permettent à mon homme de rester au plus proche de mon état d'esprit et d'établir en cas de besoin des nouvelles règles ou de modifier des anciennes. Monsieur se charge de la didactique punitive et du « folklore » en imposant des rituels et tenues.

 

Et moi en parfaite secrétaire je me charge comme ici du compte rendu !

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Georges - Communauté : La fessée
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Jeudi 21 novembre 4 21 /11 /Nov 10:29

Parfaite-secretaire-5.jpgImaginons un monde dans lequel les autres savent ce qui vous arrive quand vos prestations professionnelles laissent à désirer. L'ami Georges s'est penché sur cette thématique. Alors le lundi matin quand la patronne affiche une démarche quelque peu étrange tout le monde est au courant de l'origine de son mal... La situation me semble personnellement bien plus honteuse que de me trouver allongée sur les genoux de mon homme pour goutter à la discipline domestique en cas de mérite !

 

 

 

Puis nous sommes partis chez monsieur. Il n'a pas pu s’empêcher en conduisant de me jeter continuellement des regards...ardents. Trop content de passer le week-end entier avec « une parfaite secrétaire » à sa disposition. Je voyais bien que pour lui un rêve d'adolescence était en train de se réaliser. C'était excitant et flatteur à la fois.

 

Regarde la route, chéri. Tu pourras m'inspecter plus tard dans le moindre recoin !

 

J'ai essayé de le calmer un peu quand son regard ne se détachait plus mes jambes.

 

Non, ce ne sont pas des bas, mais un collant porte-jarretelles.

 

En y ajoutant des explications :

 

Pour éviter le pincement des bas-up et pour ne pas égayer mes collègues de travail. Une attache de bas qui se dessine facilement sous une jupe droite quand on se penche. Tu le sais très bien.

 

Au bout d'un moment, craignant un peu trop pour notre sécurité, j'ai trouvé un prétexte pour s’arrêter sur une aire de repos...souvent désertes dans cette région. Connaissant un peu les ardeurs masculines, j'avais décidé de me pencher sérieusement sur la source du manque de concentration en offrant à mon amoureux une détente agréable et efficace à la fois pour faire baisser la pression sanguine.

 

On parle souvent de la dame particulièrement...hm disons motivée...qui ne peut attendre le retour à la maison pour commencer à tripoter le monsieur. Oh là sal...

 

Ben voyons !

 

Personne ne semble penser qu'il s'agit parfois d'une simple sécurité routière qui se base sur le principe de l'éthylotest. On ouvre l'emballage, on sort la chose et on la met après l'avoir examinée dans la bouche. Sauf que le but n'est pas le changement de couleur (enfin un peu aussi), mais de provoquer un genre d'éruption qui souligne un aspect plutôt ludique.

 

Et pleinement apaisé, le monsieur retrouvera le goût de la conduite pendant plus ou moins de kilomètres selon sa vigueur, son âge, la puissance de la voiture et les limitations de la vitesse...

 

parfaite-secretaire5.jpgJ'aime le travail soigné. Accompli sans me presser et ...sans presser. Avec élégance et surtout avec une profonde passion pour ce que je fais et qui se montre dans mon attention pour moindre détail. Comme dans une conversation où je relevé ce qui est vraiment significatif, je change de registre en m'inspirant des manifestations du corps de mon partenaire.

 

Monsieur m'a laissée faire. Il aime mon expression libre, mon plaisir de faire plaisir.

 

Comme m'a avouée plus tard mon homme cet élément (je parle des faveurs de ma bouche) prenait une importance particulière dans ses fantasmes de la « parfaite secrétaire » et justement le qualificatif « parfaite » s'y attachait.

 

Bref, une fois détendu, en voyant la qualité de ma prestation, sans la sans la moindre trace sur le pantalon, ni quelque part ailleurs, « secrétaire parfaite » et très particulière oblige, mon homme m'a gratifié d'une conversation de plus agréable pour le reste du chemin.

 

Et la fessée de la parfaite secrétaire ?

 

Patience ! Il ne s'agit pas de quelques claques plus ou moins fortes pour fautes d'orthographe. Nous allons sonder en profondeur ce qui doit être expié par un châtiment d'autrefois. Malheureusement oublié trop souvent de nos jours, mais bien présent dans ma tête...qui met en mot ce que mes fesses réclament.

 

A suivre...

 

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Georges - Communauté : La fessée
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Mercredi 13 novembre 3 13 /11 /Nov 11:06

Comme promis pour cette fois-ci la vision de mon ami Georges de l'inspection hebdomadaire par un inspecteur intraitable. Le public moqueur me paraît un élément très important dans les rêveries de châtiments corporels entre adultes. C'est en quelque sorte le reflet d’extérieur de l'instance en nous qui reste critique envers nos petits faiblesses et qui ne manque pas de regarder notre comportement avec humour . Peut-être la meilleure façon de s'approcher de nos fantasmes aussi étranges qu'ils puissent être. Quant à moi je parlerai dans ce volet d'un autre de mes grands fantasmes : les cheveux courts. Fantasme facile à réaliser de nos jours et de plus bien vu socialement par son aspect de dynamisme de la dame pleinement impliquée dans le monde du travail.

 

 

 

inspecteur 1A la fin de mes études, j'avais envie de me donner un air de jeune femme bien sérieuse et dynamique. J'ai pris alors rendez-vous avec ma coiffeuse, prévenue depuis longue date que je souhaitais me changer radicalement la tête pour entrer dans la vie active. N'ayant pas eu trop d'idée concrète, je lui avait demandé quelque chose qu'elle voyait bien sur moi. Je lui avait dit aussi surtout de ne pas hésiter à couper ...ce qu'elle fit avec une lourde main !

Je suis sortie du salon avec mes cheveux teints en blond clair, avec une coupe ultracourte à la garçonne qui m'allait comme j'ai pu vite m'en apercevoir à la merveille. Des compliments de partout.

 

Ajoutons à cela une nouvelle paire de lunettes pour corriger ma myopie prononcée, car je ne supporte pas -hélas- les lentilles. Un joli maquillage. Vernis à ongles. Tailleur de couleur discret avec jupe droite de longueur convenable. Portée avec un chemisier ou un petit pull et des chaussures avec des talons de hauteur un peu plus que raisonnable sans tomber dans l'excès.

 

Ce look me convenait bien. J'aimais particulièrement mon petit côté sévère dès que j’arrêtais de sourire.

 

Alors en digne fille de papa, je suis allée voir le mien pour avoir son avis et son approbation. Et voilà son cris de cœur :

 

On dirait que tu te prépares à une carrière de parfaite secrétaire, isabelle !

 

Je suis allée loin … dans un sens géographique.

 

Et un jour en visitant des monuments historiques dans les Pyrénées j'ai fait la rencontre de mon homme. J'étais en tenue adaptée à ce genre d'excursion, jeans, petit haut et chaussures solides. Décontractée sans maquillage et d'autres artifices.

 

Il a suffit simplement de mon sourire pour m'attirer les faveurs de mon futur compagnon. Quoique...

 

avec le recul je dirais que le fantasme d'inculquer des bonnes manières à une insolente garçonne blonde en jeans très moulant a dû lui traverser très vite l'esprit.

 

Comme moi pour ma part, en découvrant son naturel agréablement autoritaire et en reluquant ses superbes jambes je m'y voyais déjà ... allongée sur ses cuisses musclées en train de payer mes fautes et écarts de comportement par une fessée rythmique en crescendo sonore. Loin de me douter que mon vœux de discipline éducative stricte allait enfin se réaliser.

 

Arriva le jour où mon homme - notre relation encore toute fraîche - me vit pour la première fois en tenue de travail. Ma coupe de cheveux refaite, frôlant selon ses mots l'indécence.

 

inspecteur-2.jpg

 

Il a laissé libre cour à ses émotions :

 

T'es vraiment craquante en parfaite secrétaire, isabelle.

 

Sans encore y ajouter un des ses futurs grands classiques :

 

Tu mériterais une fessée pour harcèlement sexuel !

 

A suivre...

Par isabelle183 - Publié dans : Dessins de Georges - Communauté : Les amateurs de Fessées
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