Mercredi 22 septembre 3 22 /09 /Sep 22:37

Il fait un temps magnifique ce dimanche. Monsieur a eu la maudite idée d’inviter la voisine pour se joindre à notre ballade dominicale. De plus elle n’est pas venue seule. Sa sœur est de passage et souhaite se joindre à nous. Cette sœur reflète à mes yeux la caricature de la citadine. Outre son petit air hautain, elle a déjà profité pour nous exprimer généreusement son indulgence pour les mœurs de nos campagnes. C’est comme se promener au de  temps de non grands-parents quand le monde tournait encore rond. Quand le mari était encore le chef de la famille et surveillait étroitement son épouse.

 

Petit regard amusé, lancé à mon égard qui parle en long et en large de fort probables discussions entre sœurs. Discussions se portant sur moi, mon couple et nos « habitudes ». Sur les détails qu’un voisinage plus qu’attentif, arrive à espionner par ses yeux ou oreilles sur un jeune ménage.

 

Mon chéri et moi, nous vivons dans cette jolie maison à la campagne depuis quelques mois. Mon bonheur sera parfait s’il n’y avait pas la voisine. Je déteste cette femme. Elle est curieuse comme tout et semble passer sa journée à pister le moindre de mes pas. Et mes faux pas aussi par la même occasion.

 

Quand mon comportement laisse vraiment trop à désirer mon homme a pris l’habitude de me corriger par beau temps sur notre terrasse.

 

Rien de mieux qu’une bonne fessée en plein air pour remettre en place les idées d’une grande fille mal élevée.

 

Cul nu, cela va de soi. Nous sommes respectueux envers une longue tradition qui a livré d’excellents résultats sur d’autres « grandes filles », aussi récalcitrantes que moi.

 

Evidement, tradition oblige, il y a un martinet à la maison. La patine de ses lanières n’est pas due à une exposition prolongée au soleil qui rentre dès l’aube par les portes fenêtres de la cuisine, rejoignant ainsi notre martinet, suspendu à côté d’autres indispensable de la parfaite ménagère.

 

Non, la patine est due à un emploi fréquent sur la peau de mes fesses et il est facile à deviner la place du martinet dans le mécanisme de cause à effet qui est sensé chez nous de rendre justement la ménagère parfaite.

 

La voisine l’a vu un jour quand elle est passée sous prétexte de manquer une pincé de sel. Son regard s’est attardé, puis m’a valu un sourire de confirmation. Confirmation, car l’épaisse haie entre les deux terrains, ne laisse passer aucun regard indiscret sur la maison. Par contre je doute de son efficacité au niveau de sonorité. Monsieur ne veut rien entende à ce sujet. Il a adopté le langage de campagne.

 

Après tout, nous sommes chez nous, isabelle et les éventuels bavardages du voisinage ne nous regardent pas. Tu n’as qu’à te tenir au carreau si tu veux éviter tes punitions.

 

Logique implacable que j’approuve en troussant ma robe ou jupe selon les jours et en baissant ma culotte pour mon entretien avec mon coach perso, le martinet qui est toujours selon mes expériences de très bon conseil. Rien de mieux qu’un fessier brulant pour adopter des bonnes résolutions. Je me rends compte à quel point je suis en phase avec les points de vu de mon homme.

 

A suivre…

 

Par isabelle183 - Publié dans : Mes récits - Communauté : La fessée
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