Éducation anglaise

Jeudi 26 mars 4 26 /03 /Mars 12:18

Un sujet délicat qui échauffe tant de personnes

 

Les images qui évoquent le fantasme de la discipline maternelle à l'âge adulte ne manquent pas sur le net. Ce genre de fantasme était très présent chez moi en fin d'adolescence quand je commençais à prendre plaisir de fréquenter les garçons et expérimenter avec eux la vie des adultes. Niveau relations avec mes princes charmants, malgré une certaine maladresse de leur part, due tout simplement à un manque d'expérience, je garde dans l'ensemble de bons souvenirs. Étant largement et surtout correctement informée par mes parents sur le fonctionnement d'un corps de femme, y compris le risque de maladies transmissibles, je n'ai pris ni de risque de me lancer dans le non-protégé, ni ai-je ressenti le stress de devoir atteindre à tout prix le fameux orgasme vaginal. J'ai pu donc avancer à mon rythme, sans céder aux garçons qui veulent à tout prix faire avancer le choses à leur rythme. Puis dans la mesure que je n'avais pas d'attirance pour les bad boys, les esprits tortueux ou taciturnes, je suis toujours tombée (j'ai choisi pour être plus précise) sur de jeunes hommes solides avec les pieds sur terre et les idées en place. Il me semble une erreur grossière de considérer les « natures heureuses », veut dire des jeunes, solidement intégrés dans la société, avec un sourire quasi permanent comme manquant de l'imagination dans les domaines inter-humains. Au contraire. La créativité peut très bien se passer de la bohème et une personne créative, selon me expériences, se montre créative partout. Bref, j'ai pris tellement goût à la chose que je me souciais beaucoup pour mes études. Sachant que pour moi cette voie était liée à un travail très considérable et malgré mon sérieux dans cette tâche, je me trouvai tout de même trop souvent prisonnière des mes culpabilités d'avoir passé trop de temps dans les bras d'un agréable prince au lieu de bûcher sans faille. Culpabilité qui se manifestait après l'acte, tandis qu'avant l'acte les hormones se montraient si impérieux que j'étais souvent déconcentrée autant à l'école qu'à la maison pendant mes devoirs.

 

Voila la situation bien cernée, mes fantasmes se penchaient sur des sévères voisines, gouvernantes, tutrices etc à qui je pouvais non seulement parler aussi librement de mes états d'âmes comme à mes parents, mais aussi d’espérer du moins dans mon imagination de solides corrections au cas où le juste équilibre entre loisir et travail m'échappait. Ce qui donne en quelque sorte un archétype d'un pur fantasme de punition. Du moins en surface.

 

Car effectivement se pose la question pourquoi mes fantasmes ne se tournaient pas vers des messieurs, capables d'assumer un travail éducatif à l'ancienne.

 

De plus, vu que tout se passait dans mes rêveries, il n'y avait aucun risque de tomber sur un homme malhonnête, détournant la situation à son avantage pour caser sa main ci et là. Seulement, l'idée d'un homme ajoutait à la situation disciplinaire d'autres frissons, loin d'être chastes et visant un sérieux suivi de mes études. Sorte de soigner le mal par le mal !

 

Je ne voyais pas la discipline comme un cadre rigide qui s'imposait malgré moi et contre ma volonté, mais comme une aide précieuse pour mettre de l'ordre dans mes pulsions et pour mieux apprendre de les différer.

 

En ce sens j'imaginai un régime recourant aux châtiments corporels au service de ma personne et hautement bénéfique pour moi. Pour mieux me faire comprendre, j'insiste sur le fait que je ne suis pas une personne susceptible à la procrastination, ni en manque de motivation pour faire ce que j'ai à faire. J'ai le travail dans le sang. Je prend plaisir d'être constante et régulière. Mon besoin de punition concerne une forte culpabilité/mauvaise conscience en me disant que je pourrais faire encore plus au détriment de mes loisirs.

 

Et vu qu'il y a des pulsions purement féminines en jeu qui mieux qu'une femme pourrait se mettre à ma place pour me comprendre et pour me conseiller.

 

Il en va de soi que le profil de celle « chargée de mon éducation » n'étais une affaire aisée.

 

Je ne cherchai pas une mauvaise conseillère qui essayait de me détourner du bon chemin en faisant apologie de l'oisiveté. Plutôt une dame solidement ancrée dans la vie sociale, déterminée et bienveillante à la fois. Je ne cherchais pas non plus un atelier « domination entre filles », plutôt un contexte maternel qui mélange sévérité et tendresse. Avec toute une gamme de punitions à but constructif. Toutefois loin de moi de cautionner les châtiments corporels quand il ne s'agit pas d'un libre choix d'un adulte.

 

Je pense qu'il faut une bonne compréhension de soi, une conscience de son besoin de punition et de son fonctionnement pour en tirer éventuellement bénéfice.

 

Disons qu'au bout du compte, c'est un terrain très personnel où les mot seuls n'arrivent plus à porter des fruits.

 

Je constate dernièrement qu'il y a des plus en plus de témoignages sur le net de la part de dames qui cherchent pour des raisons qui leur sont propres une sorte d'encadrement.

 

Cela dénote du net habituel qui jusque maintenant se perdait plutôt dans un lien entre fessée et volupté charnelle. Je ne critique pas, car il me semble parfois plus facile d'apprivoiser d'abord de manière ludique ce qui se trouve au fond de nous.

 

Et de toute façon, mieux vaut jouir de ses propres incohérences qu'en pleurer.

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Éducation anglaise - Communauté : La fessée
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Dimanche 5 juillet 7 05 /07 /Juil 09:23

Avertissement: Vu la délicatesse du sujet, je préfère une publication sous forme de récit "fictif". Je ne cautionne en aucun cas la violence conjugale. Je parle ici seulement d'une pratique par consentement.

 

Emotions et ressentir pendant la fessée

 

Je parlerai ici uniquement de mes  émotions et de mon ressentie pendant une fessée punitive. Pas besoin de savoir quelle faute mon inconscient retient exactement pour me sentir coupable. Il suffit de considérer ici l’effet qui s’impose à ma conscience comme un désir ou besoin punition. Mais compte tenu que la nudité pendant la correction devient enjeu de négociation et de honte, la « faute » s’apparente visiblement à un contexte de l’ordre sexuel. Nous somme donc en quelque sorte dans le péché originel qui réconforte la théorie que le besoin de punition soit issu de notre culture judéo chrétienne. C’est l’explication rationnelle par excellence.

 

Je pense que sans recours à la psychanalyse on ne peut trouver mieux. Puis des explications plus profondes sur la culpabilité n’apportent pas un surplus à ce sujet qui se nourrit essentiellement de non-dits troublants.

 

Les préparatifs de la fessée punitive se servent des non-dits et les mettent en scène de façon théâtrale. Elles poussent la tension nerveuse à vif et augmentent considérablement l’intensité des émotions. Le moindre détail parait exagérément fort. La  pudeur est constamment ébranlée. Le contexte punitif ne tient pas compte de la gêne, éprouvée à vaquer nue à sa correction, mais il s’en sert. Ou il pousse encore plus loin. Par l’obligation de chercher moi-même mon instrument de punition. De manière parfois ridicule.

 

La mise en scène me semble comparable à orage qui se prépare. Des nuages sombres se forment en créant une atmosphère lourde et pesante qui demande une décharge.

 

La fessée à venir ne se présente plus seulement comme une menace douloureuse, mais aussi comme une échappatoire salutaire à une situation insoutenable.

 

Mon vécu à ce moment est tellement dense et immergé par un tourbillon d’appréhension qu’il n’y ait pas place pour un ressenti voluptueux. Je me sens extrêmement stressée et il me tarde de passer au plus vite possible sur les genoux de monsieur. 

 

Pour moi désirer ardemment une punition corporelle n’implique pas forcement d’y prendre un plaisir physique. Tout dépend de la personne. Personnellement je situerais mon plaisir comme un espoir placé dans le avenir, dans le moment où la punition se termine.

 

Ma seule pensée est donc très simple :

 

Pourvu que cela soit déjà fini.

 

 

Pour rendre mes punitions efficaces que je retienne la leçon au mieux et que mon comportement s’améliore, nous avons essayé pas mal de techniques. Comme annoncer la punition pour le soir ou méditions prosternées devant l’instrument.

 

Le résultat n'était pas concluant. Je n’aime pas la douleur, mais elle ne fait pas peur. Il m’arrive d’éprouver la peur de l’inconnu devant un instrument que je ne connais pas. Mais ça s’arrête là. Je considère la douleur seulement comme une sensation très désagréable à laquelle je sais bien résister. Me laisser le temps de me préparer mentalement à ma sentence est une erreur fatale sur un plan éducatif. J’adopte un « approche de sport extrême » et nous entrons dans une autre catégorie loin d’un contexte punitif. Mon ambition se réveille et elle emporte sur la douleur.

 

Puis ma pensée est toujours très concrète. Elle reste dans l’instant sans se projeter trop dans l’avenir. J’anticipe rarement. Ce qui est une chance inouïe dans la vie sociale et professionnelle. Je suis presque exempte de stress au quotidien. Même devant une situation très importante, je ne me sens par harcelée. J’ai confiance en moi de manière réaliste, sachant que je ferai au mieux de mes possibilités.

 

Je vais donc profiter de l’instant pour autre chose. Soit je divague vers mes études, mes écrits ou des pensées complexes que j’aimerais cerner, soit je me m’adonne à mes fantasmes inspirés par la vue de l’instrument et dont la nature du contenu devient visible par une réaction physiologique de mon entrejambe. Cela amuse beaucoup mon homme qui aime en moi, mon non sérieux et ma futilité. Malgré mes apparences sérieuses.

 

Il me punit donc presque toujours sur le champ. Quand cela est possible. En préparant suffisamment le terrain pour que je tire un bénéfice de ma correction.

 

Quand je passe sur ses genoux ou quand je dois adopter une posture impeccable de punition, par exemple penchée en avant, jambes écartées et mes mains autour de mes chevilles, Monsieur arrive par une mise en scène habile de me mener presque au bord d’une crise de nerfs.

 

Une punition très sévère commence souvent par un échauffement de mes fesses. Bien que la notion d’obéissance n’interfère pas dans ma vie professionnelle et sociale, elle devient enjeu essentiel dans ma punition.

 

Dans l’échauffement se confrontent en moi révolte contre un traitement indigne d’une femme adulte, acquise par l’éducation dans mon enfance et désir d’être traitée ainsi en immature qui a besoin d’une main ferme pour filer droit.

 

Je sais que par le biais de la fessée je deviens entre les mains de mon homme une femme malléable et docile. Donc prédisposée à être éduquée selon son échelle de valeurs. Mon acceptation exprime mes penchants profonds, le désir d’être ce que personne ne veut être : immature, perverse, bêtasse, futile et j’en passe. 

 

L’échauffement permet d’augmenter encore ma tension nerveuse qui devient binaire : me révolter ou obéir.

 

Puis commence la véritable punition qui fait très mal. Elle m’apprend que ma révolte n’est que superficielle et motivée par ma fierté. Elle se base sur les règles sociales qui permettent et entretiennent cette fierté. Ce que je ne critique pas du tout. Mais nous ne sommes pas dans le social, mais dans une microstructure de couple et qui permet d’établir ses propres règles entre adultes consentants selon le désir des deux partenaires.

 

Ce n’est pas la douleur en soi qui provoque mes larmes. Elle procure un effondrement rapide de ma fierté et mon penchant d’obéissance emporte sur le politiquement correct. Cette reconversion rapide se manifeste par des sanglots et le sentiment  d’impuissance devant mes désirs. Ce sont des pleurs de rage envers moi-même et nous entrons dans une phase cruciale de la fessée punitive.

 

Comme chez un bébé mon homme sait interpréter mes pleurs. Il s’applique selon un dicton adapté à notre situation :

 

Mal aux fesses fait oublier rage aux dents.

 

Il est intéressant de considérer que le symbolisme du dicton s’apparente à un désir sexuel. Essentiellement dans le sens de la masturbation (rêves de perte de dents etc).

 

Nous sommes dans un acte purement éducatif. C’est la libido qui pousse à la faute envers la personne d’autorité et ses règles. La punition désexualise les énergies en jeu et les oriente vers d’autres buts :

 

L’obéissance qui seule permet un rapport éducatif efficace.

 

C’est par la punition que l’obéissance envers mon homme entre dans ma peau. Je ne me soucis plus du politiquement correct et je laisse parler mon désir profond : de marcher au pas sous ses ordres.

 

Il y a un consensus qui se crée par la punition et qui nous rapproche au plus profond. Je suis prête à accepter pleinement son autorité que mon inconscient traite en synonyme avec un acte viril de pénétration.

 

L’insoutenable tension se dissout sous l’insistance de la fessée et ma rage s’en va. Elle laisse place à un sentiment profond de gratitude de m’avoir remise sur le bon chemin.

 

Cet effet est appelé par les auteurs anglophones : stress relief (évacuation du stress).

 

Mes pleurs changent de sonorité et m’indiquent en fille prête à être sage et heureuse de pouvoir l’être. Je me sens libérée de ma fierté mal place, libérée des contraintes sociales qui interfèrent dans ma vie sexuelle. Je suis préparée à résexualiser ma vie selon d’autres critères et mettre le droit sur ma jouissance entre les mains de mon homme.

 

Je me sens pleinement femme dans ces conditions.

 

Il me parait futile d’évaluer si ce sentiment soit naturel ou une suite d’un syndrome de « stockholm ».  J’utilise cette allusion dans un sens bien précis. Il n’est pas rare que les jeunes filles rêvent d’un enlèvement par un prince charmant.

 

En cette phase de la punition se montre pour moi la distinction entre éducation anglaise et discipline domestique.

 

L’éducation anglaise articule sur le libre droit à la jouissance et ses modes de satisfaction, la discipline domestique articule sur le libre droit à la décision dans le couple, dans la vie sociale ou encore dans la vie professionnelle selon les conceptions diverses.

 

Je trouve très intéressant de lire des blogs sur la discipline domestique des auteurs anglais et de considérer leurs argumentations. Je lis sans approche morale ce qui convient le mieux à ce genre de lecture. Ce que je retiens c’est le désir d’être heureux dans son couple. Je trouve ce but justifiant les moyens. S’il y a consensus entre un homme et une femme.

Et ceci me parait une affaire privée qui ne regarde personne.

 

Malheureusement la vie en couple a grand besoin d’être réglementée par la loi. Il y a enfin prise de conscience de la violence conjugale qui est inacceptable et qui n’a rien avoir avec la discipline domestique qui se base sur un consentement amoureux.

 

Je finis mon exposé : Je suis fervente adepte qu’une fessée punitive se finisse par un bouquet final sonore et particulièrement sévère.

 

C’est comme des cloches qui sonnent l’arrivée d’une ère nouvelle de pardon et de guimauve, la reconquête du  bonheur  « bisounours » où tout est rose et le temps au beau fixe.

 

La douleur finale sert de prévention. A éviter dans l’avenir les mauvais comportements.

 

Quand mon homme cesse ma punition je suis repentie et lavée de mes fautes. Avec la ferme intension de rester sage et de lui plaire autant que cela soit possible.

 

Malgré une douleur stridente dans mes fesses j’ai appris à ne plus trépigner les instruments de discipline comme à mes débuts, mais de les embrasser avec gratitude pour le bien qu’ils me font dans ma quête de devenir une compagne exemplaire pour mon homme.

 

Puis j’embrasse la main qui tient l’instrument et qui ne manque jamais à me mettre à ma place quand il le faut.

 

Il me parait humainement compréhensible que mon éducation procure des tensions dans le caleçon de mon homme.

 

En fait ça me rassure même de constater qu’il prenne autant de plaisir à m’éduquer.

 

Pour moi c’est une magnifique preuve d’amour. On peut mentir avec les mots, mais le langage du corps ne connaît pas le mensonge. Puis quand le corps prend plaisir, le bonheur n’est jamais loin.

 

Quand je me blottis dans les bras de mon homme après ma punition, je suis très heureuse et mes larmes sont des larmes de bonheur. Je suis prête à mettre mon obéissance à l’épreuve et les rituels après la punition servent à ce but. Ils comportent d’autres formes  émotions qui restent à considérer dans le autre volet de cette série.

 

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Éducation anglaise - Communauté : La fessée
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Samedi 4 juillet 6 04 /07 /Juil 12:15

Avertissement: Vu la délicatesse du sujet, je préfère une publication sous forme de récit "fictif". Je ne cautionne en aucun cas la violence conjugale. Je parle ici seulement d'une pratique par consentement.


 

Commencer à introduire la discipline domestique dans mon couple a été une grande joie pour moi. Un rêve fantasmatique qui se réalise enfin et qui sort de l’ombre des « activités solitaires  en cachette ».

 

Plus que je réfléchis, plus que je vois l’éducation anglaise comme une étape préparatoire indispensable à la discipline domestique. On ne s’y fait pas d’un jour à l’autre à une conception de vie qui recourt aux châtiments corporels pour fautes définies de manière purement subjective. Malgré des négociations préalables. Il faut d’abord apprendre et puis roder les mécanismes.

 

Tant que la faute parait comme un élément de jeu, il est impossible de percevoir des progrès  de ce mode de vie qui va beaucoup plus loin que la simple satisfaction des sens.

 

Le premier reflex qui s’installe c’est faute  = punition. Ce n’est pas la nature de la faute qui importe, mais le fait de la sanctionner systématiquement. Et ici tout dépend de la force de caractère du partenaire. Il faut pour une bonne réussite qu’il reste inflexible, juste, mais sévère.

 

La première acceptation se montre quand on ne discute plus le bien-fondé de la faute, mais les modalités de la punition.

 

Quand je commets une faute aujourd’hui j’ai tout de suite mauvaise conscience. Pour moi la faute est bien réelle car elle trahit la convention entre moi et mon homme. Si ma faute reste non découverte, je me sens très mal à l’aise. Mon besoin de punition pour faute est devenue un automatisme. Quand je suis prise sur le fait je me sens honteuse et même si parfois je proteste encore pour la forme je suis convaincue au fond de moi que je mérite le traitement qui va suivre. Et surtout je ne le mets plus en cause. Je me suis faite à l’idée que mon homme me baisse ma culotte

à chaque fois qu’il juge bon et je considère mes punitions comme une preuve d’amour et d’attention.

 

Il me suffit d’entendre le bruit de la porte qui s’ouvre avec détermination pour savoir qu’une faute a été encore découverte.

 

C’est comme une décharge électrique qui traverse mon corps :

 

Ca y est je suis encore bonne…fallait y penser avant de faire des bêtises.

 

Je rougis quand Monsieur me demande : Tu n’as rien à me dire ?

 

Il m’arrive de perdre mon assurance habituelle et j’avoue à petite voix ce qui m’est reproché en essayant de minimaliser, de trouver des excuses, de négocier ma sentence. L’enjeu de la nudité partielle ou intégrale devient un enjeu majeur, comme le fait de devoir chercher l’instrument de ma punition ou le choix de l’instrument. 


Quand je perds mon privilège de baisser moi-même ma culotte ou pire encore de me déshabiller, il m’arrive de fondre en larmes avant la fessée tellement j’ai honte.


Quand j’étais particulièrement odieuse ou fautive et je dois me mettre toute nue au garde à vous devant monsieur pour mon mea culpa je n’en suis jamais fière de moi et j’espère seulement que je ne devrais pas adopter par suite une démarche de parade pour chercher et présenter le martinet ou autre instrument selon un rituel bien rodé.


On peut se demander pourquoi j’accepte tout ça. La réponse est simple: parce que j’y trouve mon compte, même si cela semble difficilement compréhensible. Je parlerai dans un chapitre à part de mes motivations.


Je pense que la préparation seule de la punition serait souvent déjà suffisante que mon comportement s’améliore sur des longues jours.


Il y a aussi quelques uns des mes comportements qui ont définitivement changés au fil du temps grâce à mon éducation et j’en suis fière. Je pense notamment aux « mauvaises habitudes en cachette » après ma punition quand la douleur dans mes fesses se transforme petit à petit en sensations plaisantes. J’ai appris à faire confiance à mon homme qui ne manque rarement de me récompenser quand la punition est enfin levée et le fait d’attendre augmente mon désir.


Je suis aussi honteuse que fière que mon corps ait appris à manifester son besoin de discipline à la vue des instruments quand j’étais désobéissante ou pendant les pauses du drill ou de la gym punitive.


Dans ces moments je me sens déshabillée jusqu’à l’âme devant mon homme en lui exposant la preuve de ma sincère gratitude pour ses efforts éducatifs.


J’approuve que mon homme contrôle mon hygiène intime devant et arrière avant me punir et surtout en été l’idée de pouvoir sentir mauvaise me hante jusqu’à la fin de l’inspection.


Il y a confusion flagrante entre libido, éducation, bonnes manières, fille sage ou modèle dans ces préparatifs rythmés par la gêne et la honte.


Pour moi l’avant fessée sert à libérer une quantité maximale d’émotion en vue d’une transformation bénéfique. Il est donc important de me pousser à mes limites niveau honte et appréhension de la punition, en choisissant méticuleusement des détails qui correspondent à mes fantasmes.


J’ai besoin que mes nerfs soient à vif et que les flux d’émotions soit à son comble quand je passe sur ses genoux.


Penchons nous alors dans le prochain volet sur les émotions pendant la punition

 

 

   

 

   A suivre... 


 

 

 

 

 

 

Par isabelle183 - Publié dans : Éducation anglaise - Communauté : La fessée
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Jeudi 2 juillet 4 02 /07 /Juil 00:29

Avertissement: Vu la délicatesse du sujet, je préfère une publication sous forme de récit "fictif". Je ne cautionne en aucun cas la violence conjugale. Je parle ici seulement d'une pratique par consentement.


La discipline domestique et l'éducation anglaise provoquent un basculement de la réalité. J'aime et je recherche ce basculement, ce (pseudo)sérieux qui donne un piquant supplémentaire à une simple mise en scène, à la base ludique.

 

Quand on passe de la fessée érotique à la fessée punitive, il faut un temps d'adaptation pour bien comprendre ce qui nous arrive.

 

Certains auteurs conseillent de débuter la discipline domestique par une fessée introductrice pour mettre les pendules de la dame à l'heure. Qu'elle comprenne bien que désormais les règles à la maison ont bien changées.

Avec le recul je suis d'accord avec ce conseil et j'aurais préféré de débuter ma nouvelle vie ainsi. Mais Monsieur ne punit que sur faute. Et il est inutile de toucher à ses principes. Puis, de toute façon, c'est lui en chef de la maison, qui décide.

 

Notre relation était encore toute fraîche et je me demandais comment il allait s'y prendre.

Curieuse, je me suis comportée en gamine rien que pour le tester, ce qui ne me correspond pas du tout d'habitude.


Je n'ai fait qu'un seul test. Ma première fessée punitive fut si convaincante que l'envie de recommencer ne s'est plus présentée. Monsieur n'est pas une brute, mais il sait se faire respecter clairement quand il le faut. J'ai eu droit à ma belle strape  toute neuve et plus tard quand je suis sortie du coin plus rien n'était comme avant. J'avais terriblement mal aux fesses, pas la moindre sensation érotique en vu et je réalisais que désormais il fallait filer droit pour de bon.


J'ai dû pour la fin de journée rester en sous-vêtements et exposer mon fessier tout nu au bon plaisir de Monsieur. Cet aspect de ma punition correspond bien à mon avis à pas mal d'hommes. Ce sont des grands enfants qui aiment voir les résultats de leurs actes. Corriger une partenaire récalcitrante est un acte sain et jouissif selon moi qui élimine les tensions non-dits au sein d'un couple. Quoi de plus normal alors que le monsieur se réjouit des marques du châtiment, signe visible de sa nouvelle autorité. 

 

Jusque ce jour j'ai toujours eu un rapport naturel avec ma nudité. Mais ma punition avait provoqué un changement radical. Je me suis sentie très mal à l'aise avec mes globes striés à l'air. Puis quand mon homme m'annonça que la prochaine fois je serais disciplinée toute nue pour bien prendre conscience qui commande dans notre maison et qui est en besoin d'éducation, j'ai rougi en me sentant toute petite. Je commençais à apercevoir la réalité de la place que j'avais tant convoitée.

 

Il a remarqué tout de suite ma réaction en me disant :


Voila un premier pas vers la fille modèle. Une bonne éducation anglaise  porte ses fruits uniquement si elle rougit autant le visage par la honte que le derrière par les claques.

 

J'ai pu me rendre compte très vite sur moi-même que l'éducation anglaise est une relation de transfert à part entière. En quelques jours et quelques corrections plus tard le rapport éducatif s'était installé tout naturellement entre moi et mon homme. Je ne mettais plus son autorité en question et me découvrais vite des comportements que je n'avais jamais crus possibles sur moi. Cette expérience sur mon adaptation aux nouvelles règles de jeu me parait singulièrement intéressante. Elle met radicalement en cause les grandes idées qu'on se fait sur soi et de sa soi-disant maturité d'adulte. J'adaptais vite un comportement semblable à une crise d'adolescence tardive en prenant systématiquement le contre-pied. Peu importe ce que mon homme proposait. Même quand il n'y avait aucun rapport avec mon éducation anglaise.

   

J’ai constaté le basculement de la réalité d’abord par une nouvelle approche à ma nudité qui devenait pesante et honteuse dans un contexte punitif. Quand on connaît pas ou peu la honte de la nudité cette expérience est extrêmement troublante. Il est bien différent de présenter son fessier nu à un homme pour des douces caresses que pour une expérience douloureuse qui est sensée de corriger les mauvais comportements en vue d’une amélioration durable.

 

C’est l’élément « durable «  ou « désormais» qui sème une bonne partie du trouble et l’acceptation intégrer des « nouvelles valeurs ». En étant adulte, l’éducation est reprise un peu à zéro. Et pas n’importe laquelle. Non pas du style laxiste ou de manière explicative, mais autoritaire.

Les interdictions et règlement ne se discutent pas. Soit on obéit, soit on est punie.

 

Il m’est arrivé à maintes reprises de faire l’entêtée en refusant de baisser ma culotte, en protestant vivement contre un traitement indigne ne moi. De vouloir négocier sérieusement à garder certains vêtements. De me mettre en larmes en suppliant de ne pas me mettre complètement à nue et ainsi de suite.

Monsieur restait inflexible au chantage et j’ai dû apprendre à chercher la strape toute nue avant de m’allonger sur les genoux de mon homme.

 

Une punition est toujours douloureuse, cela va de soi. Mais mon homme ne perds pas de vu l’effet éducatif. Il a le flair de doser avec justesse mes corrections pour que amélioration durable s’en suive. Avec lui je ne connais pas le derrière dans un sale état comme on voit dans certains films et sa distinction personnelle entre sévérité et cruauté me convient parfaitement. C’est un excellent éducateur pour « filles adultes » et ses méthodes livrent d’excellents résultats.

 

Il m’est arrivé aussi après des cuisantes corrections de m’en prendre à l’instrument de ma discipline. Stade de transfert particulièrement important car il implique déjà l’acceptation de l’autorité par l’inconscient.

Je me suis mise à trépigner furieusement la strape en poussant même des insultes envers cet objet.


Le fou rire de mon homme agrandissait encore ma colère


« Tu devrait te voir, Isabelle », m’a-t-il lancé.


Simple réflexion qui mets les pendules à l’heure. Une femme adulte toute nue, les fesses marquées par la discipline, le maquillage coulé et qui s’acharne sur un morceau de cuir. Il y a en effet de quoi à éclater de rire pour l’un et de rougir d’une honte encore plus intense pour l’autre.

 

Cela ne m’as empêchée de commettre d’autres gamineries par la suite. Cacher la strape, couper les lanières du martinet ou casser la canne.


Je n’ai pas osé à me prendre vraiment à la strape qui était l’instrument majeur de ma nouvelle condition en craignant une punition hors norme surtout.


Monsieur m’a fait durement travailler mon comportement pour apprendre le respect pour les instruments qui sont les représentants de son autorité.


Surtout claquantes fessée à nue et passages au coin. Mais aussi de m’envoyer tôt au lit après application d’un suppositoire calmant et de me munir d’un dispositif qui empêche les « mauvaises habitudes ». Ou encore corvées de ménage.

 

La strape fut accrochée bien visiblement à la maison ce qui m’a permis de me familiariser avec sa présence au quotidien. L’entretien m’incombait et gare à moi si j’avais oublié de la cirer pour qu’elle brille de partout. Puis s’ajoutèrent le martinet et la canne à côté d’elle.

 

J’ai pris tellement habitude d’entretenir les instruments qu’il m’est inconcevable de vivre sans eux. Une maison sans martinet surtout me parait vide et je ne me sens pas bien. Je devient infernale jusqu’à ce que mon homme m’accroche au moins un martinet quelque part sans oublier de s’en servir avant. Et là nous sommes carrément dans une névrose artificielle de transfert.

 

Le point tournant dans mon éducation fut atteint après quelques semaines lors de la préparation d’une punition.

 

J’étais particulièrement honteuse en présentant la strape pour recevoir ma discipline ce jour-là.

Comme s’il savait, mon homme fit glisser un doigt dans mon entrejambe pour constater l’effet produit en disant :


Je crois que nous sommes sur la bonne voie avec ton éducation. Ton corps approuve le bienfait de la discipline.


Ce jour-là j’ai réussi pour la première fois un mea culpa sincère, convaincue de "mes fautes", en remerciant mon homme pour mon éducation anglaise et sa sévérité sans faille.

Depuis rien ne me flatte de plus que quand mon homme annonce à des nouveaux amis : ma compagne a reçu une excellente éducation.


Par contre je suis toujours honteuse quand je dois me dévêtir devant mon homme pour une punition.

Sans lui je serais sûrement passé à côté de ce délicieux trouble que mon enfance très (trop) libérale m’avait caché. De l’autre côté je me dis, sans cette enfance libérale, j’aurais peut-être perdu maintes années avant d’oser de vivre ce qui se cache en moi et ceci sans mauvaise conscience et dans le bonheur.

 

A suivre...

Par isabelle183 - Publié dans : Éducation anglaise - Communauté : La fessée
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